Lancé en 2005, le programme de dessalement d’eau de mer porte sur 30 stations monobloc et 13 mégastations dans le nord du pays en vue de produire 2,26 millions de m3/j d’eau dessalée.
L’ensemble de ces réalisations qui assureront environ 10% de l’alimentation en eau potable en Algérie, correspond à un montant de près de 300 millions de dollars chacune.
Sur le plan technique, Sonatrach et Sonelgaz se joignirent en mai 2001 pour créer l’AEC (Algerian Energy Compagny), une société dont l’activité est concentrée sur le dessalement d’eau de mer.
Sur les 13 stations prévues par le programme de l’Etat, 8 unités sont opérationnelles, à savoir celles de
Kahrama (à Oran) depuis 2005 (90 000 m3/jour )
Bousfer depuis 2005 (12 480 m3/jour )
El Hamma (à Alger) depuis 2008 (200 000 m3/jour)
Skikda, début 2009 (100 000 m3/jour)
Beni Saf (à Aïn Temouchent) depuis 2010 (200 000 m3/jour)
Souk Tleta (à Tlemcen), début 2011 (200 000 m3jour)
Fouka (à Tipasa), fin 2011(120 000 m3/jour)
Mostaganem, début 2012 (200 000m3/jour).
Les stations restantes sont en phase de réalisation. Il s’agit de la station de
Honaïne, à Tlemcen (200 000 m3/jour)
Ténès (200 000 m3/jour)
Oued Sebt, à Tipasa (100 000 m3/jour)
Cap Djinet, à Boumerdès (100 000 m3/jour)
Magtaa, à Oran (500 000 m3/jour).
Concernant le coût de l’eau dessalée, il est revu à la baisse, selon le ministre des Ressources en eau. Aujourd’hui, il n’est pas très loin du prix du mètre cube d’eau d’un barrage. L’eau transférée d’un barrage revient à 32 DA/m3, alors que l’eau dessalée est de 48 DA/m3.
S: le Soir
L’ensemble de ces réalisations qui assureront environ 10% de l’alimentation en eau potable en Algérie, correspond à un montant de près de 300 millions de dollars chacune.
Sur le plan technique, Sonatrach et Sonelgaz se joignirent en mai 2001 pour créer l’AEC (Algerian Energy Compagny), une société dont l’activité est concentrée sur le dessalement d’eau de mer.
Sur les 13 stations prévues par le programme de l’Etat, 8 unités sont opérationnelles, à savoir celles de
Kahrama (à Oran) depuis 2005 (90 000 m3/jour )
Bousfer depuis 2005 (12 480 m3/jour )
El Hamma (à Alger) depuis 2008 (200 000 m3/jour)
Skikda, début 2009 (100 000 m3/jour)
Beni Saf (à Aïn Temouchent) depuis 2010 (200 000 m3/jour)
Souk Tleta (à Tlemcen), début 2011 (200 000 m3jour)
Fouka (à Tipasa), fin 2011(120 000 m3/jour)
Mostaganem, début 2012 (200 000m3/jour).
Les stations restantes sont en phase de réalisation. Il s’agit de la station de
Honaïne, à Tlemcen (200 000 m3/jour)
Ténès (200 000 m3/jour)
Oued Sebt, à Tipasa (100 000 m3/jour)
Cap Djinet, à Boumerdès (100 000 m3/jour)
Magtaa, à Oran (500 000 m3/jour).
Concernant le coût de l’eau dessalée, il est revu à la baisse, selon le ministre des Ressources en eau. Aujourd’hui, il n’est pas très loin du prix du mètre cube d’eau d’un barrage. L’eau transférée d’un barrage revient à 32 DA/m3, alors que l’eau dessalée est de 48 DA/m3.
S: le Soir
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