Actualisé à 12 h 30 –
« Il n’y a pas de nouveau ! » C’est par cette phrase que Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, a répondu ce lundi 3 septembre à la question de TSA sur l’exécution du diplomate algérien par le Mujao et le sort des autres otages algériens au Mali.
Deux jours après l’annonce par le Mujao de l’exécution du vice‑consul d’Algérie à Gao, le ministre des Affaires étrangères, qui s’est rendu ce matin à l’Assemblée nationale populaire (APN) pour assister à l’ouverture de la session d’automne du Parlement, n’a ni confirmé ni démenti l’information. Hier, au lendemain de l’annonce de l’exécution de l’otage, le ministère des Affaires étrangères s’était contenté d’un communiqué dans lequel il affirmait que l’information était en cours de vérification. Depuis, aucune communication.
Le Premier ministre Ahmed Ouyahia était également présent à l’APN. Mais il a refusé de répondre aux questions des journalistes sur le sort des otages. D’autres ministres du gouvernement ont également été interrogés. Mais ils ont tous choisi le silence. Les membres du gouvernement devaient quitter l’APN vers 11 heures pour se rendre au Conseil de la Nation afin d’assister à l’ouverture de la session d’automne.
Au Conseil de la Nation, le même mutisme
Interrogé une nouvelle fois au Conseil de la Nation sur le sort des otages algériens au Mali, notamment sur l’annonce par le Mujao de l’exécution du vice‑consul d’Algérie, Mourad Medelci a répondu : « Nous avons reçu quelques informations. Nous les avons communiquées à l’opinion publique nationale et internationale. Aujourd’hui nous n’avons aucune information supplémentaire ». Pour sa part, Ahmed Ouyahia a répondu : « Je ne ferai aucune déclaration ». Enfin, Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général du FLN et représentant personnel du chef de l’État, s’est contenté de dire : « Si l’information se confirme, je présente mes condoléances à la famille ! »
« Il n’y a pas de nouveau ! » C’est par cette phrase que Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, a répondu ce lundi 3 septembre à la question de TSA sur l’exécution du diplomate algérien par le Mujao et le sort des autres otages algériens au Mali.
Deux jours après l’annonce par le Mujao de l’exécution du vice‑consul d’Algérie à Gao, le ministre des Affaires étrangères, qui s’est rendu ce matin à l’Assemblée nationale populaire (APN) pour assister à l’ouverture de la session d’automne du Parlement, n’a ni confirmé ni démenti l’information. Hier, au lendemain de l’annonce de l’exécution de l’otage, le ministère des Affaires étrangères s’était contenté d’un communiqué dans lequel il affirmait que l’information était en cours de vérification. Depuis, aucune communication.
Le Premier ministre Ahmed Ouyahia était également présent à l’APN. Mais il a refusé de répondre aux questions des journalistes sur le sort des otages. D’autres ministres du gouvernement ont également été interrogés. Mais ils ont tous choisi le silence. Les membres du gouvernement devaient quitter l’APN vers 11 heures pour se rendre au Conseil de la Nation afin d’assister à l’ouverture de la session d’automne.
Au Conseil de la Nation, le même mutisme
Interrogé une nouvelle fois au Conseil de la Nation sur le sort des otages algériens au Mali, notamment sur l’annonce par le Mujao de l’exécution du vice‑consul d’Algérie, Mourad Medelci a répondu : « Nous avons reçu quelques informations. Nous les avons communiquées à l’opinion publique nationale et internationale. Aujourd’hui nous n’avons aucune information supplémentaire ». Pour sa part, Ahmed Ouyahia a répondu : « Je ne ferai aucune déclaration ». Enfin, Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général du FLN et représentant personnel du chef de l’État, s’est contenté de dire : « Si l’information se confirme, je présente mes condoléances à la famille ! »
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