Encore une fois les cibles des terroristes wahabites sont des syriens de confession chrétienne et des druzes! les terroristes de l'ASL croinent que seuls cette catégorie de syriens sont pro régime!
Bilan provisoire 18 morts!
Nouvelle attaque à la voiture piégée à Damas
Une explosion a visé une banlieue prorégime de la capitale, où des habitants commencent à prendre les armes contre les rebelles.
Un nouvel attentat à la voiture piégée a tué lundi au moins cinq personnes et en a blessé 27 autres à Jaramana, une banlieue prorégime de Damas, déjà visée la semaine dernière par une attaque similaire. Selon l'agence officielle Sana, «une bombe collée à une voiture (…) a explosé dans le quartier al-Wahda de Jaramana», peuplé surtout de chrétiens et de druzes, des minorités encore acquises au président syrien Bachar el-Assad. Le 28 août, 27 personnes avaient été tuées à Jaramana dans un attentat similaire visant des funérailles de partisans du régime. Depuis, des habitants de Jaramana ont commencé de prendre les armes contre les rebelles. «Il y a une augmentation des attentats à la voiture piégée», a reconnu à l'AFP Rami Abdelrahman, le directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), basé à Londres.
Non loin de là, à la périphérie de Mazzé, un quartier chic dans l'ouest de Damas, les forces du régime ont poursuivi leur campagne de destruction de maisons et de commerces et ont obligé les habitants à repeindre les murs pour effacer les slogans anti-Assad.
À Alep, dans le nord du pays, des avions de combat ont frappé à l'aube lundi des positions rebelles, ainsi que sur la ville voisine d'al-Bab, base arrière des insurgés. Les bombardements auraient fait une vingtaine de morts à al-Bab, dix hommes, six femmes et deux enfants, qui s'étaient réfugiés dans un immeuble. À Alep même, une journaliste de l'AFP a vu les corps de dix personnes - un homme, une femme et huit enfants - transportés dans un hôpital civil, avant d'être enterrés sans cérémonie dans un cimetière dans l'est de la ville, théâtre d'une féroce bataille depuis six semaines entre loyalistes et opposants à Assad. À travers le pays, les violences ont fait lundi au moins 60 morts, ce qui porte à plus de 26 200 le nombre des personnes tuées depuis le début de l'insurrection en mars 2011.
Le Figaro
Bilan provisoire 18 morts!
Nouvelle attaque à la voiture piégée à Damas
Une explosion a visé une banlieue prorégime de la capitale, où des habitants commencent à prendre les armes contre les rebelles.
Un nouvel attentat à la voiture piégée a tué lundi au moins cinq personnes et en a blessé 27 autres à Jaramana, une banlieue prorégime de Damas, déjà visée la semaine dernière par une attaque similaire. Selon l'agence officielle Sana, «une bombe collée à une voiture (…) a explosé dans le quartier al-Wahda de Jaramana», peuplé surtout de chrétiens et de druzes, des minorités encore acquises au président syrien Bachar el-Assad. Le 28 août, 27 personnes avaient été tuées à Jaramana dans un attentat similaire visant des funérailles de partisans du régime. Depuis, des habitants de Jaramana ont commencé de prendre les armes contre les rebelles. «Il y a une augmentation des attentats à la voiture piégée», a reconnu à l'AFP Rami Abdelrahman, le directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), basé à Londres.
Non loin de là, à la périphérie de Mazzé, un quartier chic dans l'ouest de Damas, les forces du régime ont poursuivi leur campagne de destruction de maisons et de commerces et ont obligé les habitants à repeindre les murs pour effacer les slogans anti-Assad.
À Alep, dans le nord du pays, des avions de combat ont frappé à l'aube lundi des positions rebelles, ainsi que sur la ville voisine d'al-Bab, base arrière des insurgés. Les bombardements auraient fait une vingtaine de morts à al-Bab, dix hommes, six femmes et deux enfants, qui s'étaient réfugiés dans un immeuble. À Alep même, une journaliste de l'AFP a vu les corps de dix personnes - un homme, une femme et huit enfants - transportés dans un hôpital civil, avant d'être enterrés sans cérémonie dans un cimetière dans l'est de la ville, théâtre d'une féroce bataille depuis six semaines entre loyalistes et opposants à Assad. À travers le pays, les violences ont fait lundi au moins 60 morts, ce qui porte à plus de 26 200 le nombre des personnes tuées depuis le début de l'insurrection en mars 2011.
Le Figaro
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