Après presque quatre mois d’attente, le nouveau staff de l’exécutif est composé avec, à sa tête Abdelmalek Sellal au poste de premier ministre, l’information n’a pas beaucoup surpris puisque le nom de l’ex ministre des ressources hydriques a déjà circulé.
On ne saura pas plus encore de façon officielle quant à la composante humaine de cet exécutif si, ce n’est quelques indiscrétions donnant particulièrement le départ en retraite de Aboubaker Benbouzid ministre de l’éducation nationale qui s’est distingué par la longévité au poste, il y’a aussi Nouara Djaafar qui part et avec elle le ministère de la famille qui dorénavant a été supprimé après qu’elle l’a occupé neuf ans.
Parmi les revenants il y’a Amara Benyounes, qui revient à la tête du ministère de la santé mais sous la casquette de son nouveau parti MPA avec lequel, il a obtenu six sièges dans le nouveau parlement.
La présence FLN est également remarquée par la nomination de Abdelkader Hadjar à la tête du ministère de l’éducation nationale, quant à Cherif Rahmani il est désormais locataire du ministère de l’intérieur et des collectivités locales en remplacement à Daho Oueld Kablia.
Le premier ministre Ahmed Ouahia qui va s’occuper, toujours selon certaines indiscrétions, des affaires étrangères aura surtout à voir plus clair dans l’affaire des diplomates algériens en otage début avril à Gao au Mali et dont la presse internationale a fait état hier de l’exécution de l’un deux, un fonctionnaire consulaire Tahat Touati. Le dernier communiqué du ministère des affaires étrangères enquête sur « l'authenticité » de l’information.
S.Mana
On ne saura pas plus encore de façon officielle quant à la composante humaine de cet exécutif si, ce n’est quelques indiscrétions donnant particulièrement le départ en retraite de Aboubaker Benbouzid ministre de l’éducation nationale qui s’est distingué par la longévité au poste, il y’a aussi Nouara Djaafar qui part et avec elle le ministère de la famille qui dorénavant a été supprimé après qu’elle l’a occupé neuf ans.
Parmi les revenants il y’a Amara Benyounes, qui revient à la tête du ministère de la santé mais sous la casquette de son nouveau parti MPA avec lequel, il a obtenu six sièges dans le nouveau parlement.
La présence FLN est également remarquée par la nomination de Abdelkader Hadjar à la tête du ministère de l’éducation nationale, quant à Cherif Rahmani il est désormais locataire du ministère de l’intérieur et des collectivités locales en remplacement à Daho Oueld Kablia.
Le premier ministre Ahmed Ouahia qui va s’occuper, toujours selon certaines indiscrétions, des affaires étrangères aura surtout à voir plus clair dans l’affaire des diplomates algériens en otage début avril à Gao au Mali et dont la presse internationale a fait état hier de l’exécution de l’un deux, un fonctionnaire consulaire Tahat Touati. Le dernier communiqué du ministère des affaires étrangères enquête sur « l'authenticité » de l’information.
S.Mana
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