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La Suisse conserve la palme de la compétitivité

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  • La Suisse conserve la palme de la compétitivité

    Pour la quatrième année d'affilée, la Confédération décroche la palme du pays le plus compétitif au monde devant Singapour et la Finlande, pointe le World Economic Forum dans son rapport 2012. Les Etats-Unis et la France reculent dans ce classement.

    « Persévérer dans l'excellence », telle pourrait être la devise de la Suisse qui demeure, pour la quatrième année d'affilée, le pays le plus compétitif au monde dans le rapport sur la compétitivité mondiale (édition 2012) publié par le World Economic Forum (WEF). Singapour conserve sa deuxième place, tandis que la Finlande se classe troisième, faisant reculer la Suède à la quatrième place, suivis des Pays-Bas et de l'Allemagne.
    « La Suisse mérite la première place grâce à l'innovation, aux performances de son système scolaire, aux dépenses élevées en recherche et développement et la solide coopération entre le monde universitaire et le secteur privé », a souligné le WEF qui a réalisé son étude auprès de 15.000 chefs d'entreprises dans 144 pays. Autres point forts de la Confédération : l'efficacité de son marché du travail, la stabilité de son environnement macroéconomique, l'efficacité de ses institutions, la qualité de son infrastructure et son secteur financier fortement développé.
    Le rapport 2012 voit reculer au classement un certain nombre de pays (voir le classement des 144 pays), notamment du Sud de l'Union européenne, en proie à une grave crise économique. Ainsi, la Grèce, l'un des pays les plus touchés par la crise des dettes publiques, a-t-elle chuté de la 90ème à la 96ème place du classement de 144 pays, le Portugal a perdu quatre rangs, à la 49ème place, tandis que Espagne conservait cette année sa 36ème position.
    La Chine occupe le 29 ème rang, le Brésil le 48ème, l'Inde le 59ème et la Russie le 67ème. Haïti, Sierra Leone et Burundi se partagent les trois dernières places du classement.
    France et Etats-Unis reculent

    Dans l'édition 2012, la France perd des points importants. Elle a quitté le groupe des 20 premiers pays de ce classement, tombant à la 21ème place, alors que l'Hexagone était encore en 18ème position l'année dernière et en 15ème place en 2010. Thierry Geiger, économiste au WEF, a indiqué à l'AFP qu'il voyait dans ce recul une tendance inquiétante. Il y voit un reflet de la baisse de l'efficacité des gouvernements français ces dernières années, ainsi qu'une détérioration de l'environnement économique et notamment du marché du travail.
    Autre glissade remarquée, celle des Etats-Unis _ sur la plus haute marche du podium il y a encore cinq ans _ qui sont, tombés de la cinquième place l'an passé à la septième en 2012. L'économiste du WEF, Margareta Drzeniek Hanouz, a cependant souligné que les Etats-Unis « disposaient toujours d'un des environnements économiques les plus performants au monde ». Ils font cependant face à « d'importantes vulnérabilités macroéconomiques », notamment une hausse du déficit public, des impasses politiques et une perte de confiance dans la classe politique. Ces difficultés résultent de « l'incapacité à répondre à certains problèmes importants », a-t-elle ajouté

    lesechos.fr

  • #2
    le classement des 144 pays

    http://www3.weforum.org/docs/CSI/201...gs_2012-13.pdf

    le classement des pays nord d'afrique
    (2011/2012) (2012/2013)

    Maroc 73 +3 70

    Algerie 87 -23 110

    tunisie ?? ??

    egypte 94 -13 107

    lybie ?? 113

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    • #3
      qatar 11 wahouu
      Ne regrette rien...

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      • #4
        un classement qui ne veut rien dire ,puisqu'on ne peut parler de compétitivité lorsqu'il n'y a pas d'innovation et de Productivité ....
        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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        • #5
          pour toi cell aucun classement ne veut rien dire. le PIB c'est bdion, l'IDH c'est encore pire...
          Ne regrette rien...

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          • #6
            pour toi cell aucun classement ne veut rien dire.

            voilà t'a tout compris , chaque pays est un cas spécifique , et on ne peut etablir des critéres objectifs avec une pondération qui permette une comparaison qui se tient

            le PIB c'est bdion,
            ca c'est pas moi qui le dit , ce sont d'eminents economistes ...... google ets ton ami.

            l'IDH c'est encore pire...
            va classer une pays de 2 millions qui a du petrole et un pays de 80 millions qui n'en a pas
            " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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            • #7
              chacun sa vision des choses moi je pense que malgré certaines incohérences dans les classements, ces derniers RESTENT ET SON un bon repère et le piètre classement de nos pays respectifs (maroc et algérie) n'y change rien

              concernant le PIB, c'est simple : ça mesure la richesse d'un pays. OK c'est pas représentatif de la qualité de vie mais son but et juste et uniquement "mesurer" si puis-je dire la richesse créee par x pays

              maintenant pour l'IDH je suis désolé de te le dire mais ce classement prends en compte pas un seul critère mais PLUSIEURS afin de mesure la qualité de vie des citoyens. tu ne peux pas nier que ce genre de classement soit bidon, ça serait de la mauvaise foi de ta part puisque ce classement ce base sur plusieurs angles de vue : économie, éducation, moyenne de vie, etccccc..........

              et tu me parle de classer un pays de 2m d'hab avec un autre et l'idh est là pour les classer un pays de 2M d'HAB avec des ressources natu vie mieux qu'un pays de 80M d'HAB c'est pourtant logique .....
              Ne regrette rien...

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              • #8
                a part les vaches je ne voix pas se que la Suisse a de compétitivité et en plus elle est en récessions.

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                • #9
                  a part les vaches je ne voix pas se que la Suisse a de compétitivité et en plus elle est en récessions.

                  Glencore avec 187 Mds $ de ca ,Nestlé avec 90 Mds $ de ca, Novartis avec 59 Mds $ de ca ( j'ai les preuves ), ABB, Roche et .....les vaches ne sont là que pour le décor



                  .


                  Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                  • #10
                    Glencore avec 187 Mds $ de ca ,Nestlé avec 90 Mds $ de ca, Novartis avec 59 Mds $ de ca ( j'ai les preuves ), ABB, Roche et .....les vaches ne sont là que pour le décor

                    Je travaille dans l'industrie horlogére de luxe et haut de gamme dans la même entreprise depuis 23 ans.
                    Je connais bien a compétivité et l'inovation!

                    La Suisse n'est pas en recession!

                    De plus en plus de Français viennent travailler en Suisse. Selon les chiffres de l'Office Fédéral de la Statistique (OFS) , la Confédération comptait 231 800 travailleurs frontaliers en 2010, soit une hausse de 4,6% en un an et de 30,4% en cinq ans. "Plus de la moitié de cette main-d'oeuvre frontalière provient de France (52,6%)", note l'OFS.


                    L'économie suisse ne repose pas sur une production de masse, mais sur une activité à haute valeur ajoutée et sur des forces productives très qualifiées.
                    Parmi les secteurs économiques porteurs, citons la microtechnique, les hautes technologies, la biotechnologie, le savoir-faire dans les secteurs banque/assurances, et l'industrie pharmaceutique.

                    De nombreuses entreprises pratiquent une stratégie dite «de niche», c'est-à-dire qu'elles se concentrent dans une gamme restreinte de produits hautement spécialisés. Cette stratégie porte ses fruits puisque des sociétés modestes sont parvenues à dominer le marché mondial dans leur spécialité.

                    L'industrie chimique constitue à cet égard un exemple particulièrement éloquent, puisque près de 90% de sa production commercialisée est constituée de produits de niche. L'un des avantages annexes de cette stratégie est de stimuler la diversification. L'industrie chimique propose ainsi plus de 30 000 produits différents.

                    Les produits suisses se vendent au prix fort sur les marchés étrangers car les consommateurs sont prêts à payer ce qu'il faut pour obtenir la qualité. Mais une telle stratégie empêche les entreprises suisses de se reposer sur leurs lauriers. Il est en effet vital pour elles d'investir dans la recherche et le développement. En Suisse, le pourcentage des personnes travaillant dans ce domaine est supérieur à celui d'autres pays industrialisés.

                    L'effort des entreprises suisses pour la recherche et le développement est considérable. En 2004, 2.9% du produit intérieur brut a été consacré à la recherche, ce qui est beaucoup en comparaison internationale. Seuls Israël, la Suède, la Finlande, le Japon et la Corée font mieux que la Suisse. La majeure partie du financement - soit 70% - provenait du secteur privé, 23% de fonds publics fédéraux ou cantonaux et le reste d'institutions diverses telles que les hautes écoles spécialisées.
                    http://www.swissworld.org/fr/economi...developpement/

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