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Londres confirme la levée de l’embargo sur l’Algérie

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  • Londres confirme la levée de l’embargo sur l’Algérie

    Ces britanniques ne sont intéressés que par nous vendre de l'armement ? C’est ça ce qu’on appel de la coopération hors hydrocarbures ? Ils veulent tous profiter de notre manne pétrolière !!

    __________________________________________________
    Londres confirme la levée de l’embargo sur l’Algérie
    Vente d'armes et manœuvres militaires en perspective


    par Mohamed Khellaf
    le jeune INDEPENDANT

    La Grande-Bretagne devrait s’ajouter à la liste des partenaires de l’Algérie dans le domaine militaire, après un embargo de 16 ans. Les deux pays ont convenu, à l’occasion de la visite de deux jours du président Abdelaziz Bouteflika, de mettre au point un programme de coopération dans le domaine de la défense qui comprend notamment la vente d’équipements militaires britanniques à l’Algérie et l’organisation de manœuvres militaires conjointes.

    Les responsables des deux pays ont décidé, au cours de la visite historique de M. Bouteflika à Londres, d’ouvrir avant la fin de l’année des discussions pour examiner les besoins de l’Algérie en matière d’équipements militaires et d’organiser des manœuvres conjointes, scellant ainsi un partenariat inédit entre les deux pays.

    Cette décision tient lieu de confirmation de la levée de l’embargo, imposé en 1990, sur les ventes d’armes à destination de l’Algérie décidée en juin 2005 par le ministre britannique du commerce. Le ministère avait alors accordé son feu vert aux industriels de l’armement pour engager des transactions portant sur plusieurs contrats de vente d’équipements militaires à notre pays.

    L’Algérie avait tout de même pu acquérir en 2001 de l’armement britannique, mais par le truchement du Qatar qui avait alors acquis, pour le compte de notre pays, des équipements militaires dont des véhicules tout-terrain légers et du matériel léger servant essentiellement à la transmission et à la vision nocturne et infrarouge pour un montant de 7,2 millions de livres.

    Cet achat s’est effectué sous forme de don du Qatar au profit de l’Algérie. En 2003, l’ex-ambassadeur du Royaume-Uni à Alger, Graham Hand, avait indiqué que son pays avait autorisé des sociétés britanniques d’équipements militaires de se rapprocher de l’Algérie pour examiner ses besoins en matière d’armements.

    Mais, depuis, aucune transaction n’a été conclue, bien qu’une délégation militaire britannique ait séjourné la même année en Algérie dans ce but. Depuis le début des années 1990, les sociétés privées de vente d’équipements et d’armes britanniques avaient rompu tout contact avec l’Algérie.

    Selon des responsables britanniques, le marché de l’armement constitue le deuxième domaine économique, après les hydrocarbures, qui intéresse les fournisseurs britanniques, au moment où l’Algérie jouit d’une bonne santé financière qui la rend solvable.

    Cette perspective complète la batterie d’accords de partenariat retenue par Alger et Londres pour promouvoir leur coopération. Cela d’autant que la décision d’envisager un partenariat dans le domaine militaire constitue une nouvelle étape dans les relations algéro-britanniques contrariées, par le passé, par la situation sécuritaire dans notre pays ainsi que par l’affaire des Algériens incarcérés au Royaume-Uni.

    L’affaire de quelque 17 Algériens incarcérés sans procès dans une prison de haute sécurité de Londres ou placés en résidence surveillée a constitué le violon d’Ingres du gouvernement de Tony Blair Ces Algériens ont, toutefois, été rassurés que le président Abdelaziz Bouteflika n’a pas signé, lors de sa première visite à Londres, l’acte de leur renvoi du pays tel que le souhaite depuis des mois la Grande-Bretagne.

    On ignore cependant s’il s’agit d’un sursis ou d’une clôture définitive de ce dossier. Lors dune intervention devant la presse, avant-hier, à l’issue de ses entretiens avec le chef de l’Etat, M. Blair avait évoqué l’affaire de ce qu’il a appelé les «extrémistes» indésirables qui menaceraient la sécurité britannique, un sujet sur lequel Bouteflika n’a pas daigné intervenir.

    Le gouvernement Blair ne cessait de solliciter les autorités algériennes pour qu’elles signent un mémorandum d’entente qui lui servirait de blanc-seing pour expulser ces Algériens qualifiés de terroristes, une accusation jamais étayée par des preuves.

    Le ministère britannique de l’intérieur refuse de fournir les preuves de la culpabilité de ces Algériens, arguant qu’elles relèvent de la sécurité nationale. Les deux pays se sont contentés de signer quatre accords de coopération sécuritaire et judiciaire, le premier concernant l’extradition, le second la coopération dans le domaine pénal, le troisième le domaine de la législation civile et commerciale et le quatrième la manière de faciliter la circulation des personnes.

    Bouteflika avait préféré consacrer sa visite aux moyens de renforcer la coopération entre les deux pays jusque-là confinée aux hydrocarbures.
    Dernière modification par shadok, 13 juillet 2006, 00h05.
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

  • #2
    Bonsoir TLM
    A mon avis il ne sortira rien de bon de coopérer avec ces *******s de british!!!
    y a pas plus traitre!!!
    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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    • #3
      On a pas le choix il faut coopérer avec tout le monde(à part certains pays).
      Et les Anglais ne sont pas plus traitres que les Français alors...

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      • #4
        Investir ou Faire du Commerce ?

        Le problème avec les anglais c’est qu’ils ne veulent pas investir en Algérie. Ils sont plus intéressés à nous vendre leurs produits et services. Voici un extrait d’un article paru aujourd’hui dans le journal El-Watan :

        L’Algérie est un « immense marché » pour les opérateurs
        Bouteflika face au flegme britannique


        J’espère par cet exposé (…) avoir au moins excité la curiosité de certains d’entre vous et que vous serez nombreux à venir sur place réaliser des investissements dont tout le monde vous dira qu’ils seront certainement rentables et profitables, non seulement à l’Algérie et à vous même… »

        En terminant ainsi son long plaidoyer hier devant les opérateurs économiques britanniques, qui l’écoutaient à la City de Londres (Centre financier), Bouteflika espérait sans doute avoir convaincu son auditoire de la nécessité de venir investir chez nous. David Brewe, son hôte, lui a répliqué par une petite phrase sibylline qui n’allait pas forcément dans le sens voulu par Bouteflika. « L’Algérie constitue un marché important pour la Grande-Bretagne. » Le tableau de bord clinquant brossé par le chef de l’Etat des indicateurs économiques de l’Algérie et de la souplesse de son code de l’investissement serait-il uniquement bon aux yeux des investisseurs britanniques que pour faire de bonnes affaires ? Les propos de David Brewe suggèrent-ils que l’Algérie continue à être appréhendée comme un immense marché où il est seulement bon de faire du commerce ? S’il est vrai qu’il est prématuré de juger des intentions des hommes d’affaires britanniques, il est tout aussi vrai que la recette de Bouteflika n’a pas attiré grand monde dans tous les pays où il s’est déjà rendu. Si les indicateurs économiques sont véritablement au vert, la bureaucratie, la corruption et la stérilité du système bancaire algérien rendent la tâche du président dans sa volonté de convaincre très ardue. En l’occurrence, les 64 milliards de dollars de réserve de change que le président a pris le soin de mettre en exergue tout au long de son discours de marketing économique ont certainement fait saliver les hommes d’affaires de Sa Majesté qui y ont vu une sacré cagnotte à prendre à moindres efforts. Le patron de la City de Londres résume à peu près cet état d’esprit typiquement british en se félicitant que « de grandes entreprises économiques britanniques, notamment British Petroleum et Uni Lever, soient présentes en Algérie ». Il n’est pas dit cependant que les entrepreneurs anglais vont se bousculer demain au portillon de l’Algérie par la seule magie du verbe quand bien même notre pays possède une carte de visite économique des plus convoitées parmi les pays émergents.

        ....
        Dernière modification par shadok, 13 juillet 2006, 11h12.
        Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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        • #5
          j'aimerais que les pays du Maghreb se dépèche pour la construction du Grand Maghreb pour creer une zone de grande stabilité et de paix ,afin d'arrêter des défences folles en armement .

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          • #6
            Effectivement, noubat, l'union du maghreb est notre seul espoir de traiter d'égal à égal avec les autres blocs qu'ils soient européens où autres.
            Les tensions entre nos pays profitent aux marchands d'armes de ces pays et diminuent d'autant nos efforts de développement auxquels l' argent dilapidé ( c'est le terme) aurait pu servir.

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            • #7
              Il n'y aura pas de grand maghreb avant la resolution du conflit au sahara.
              Sinon ben c'est dommage que les Anglais ne voit l'Algerie qu'un marcher pour refourguer leur cam...

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              • #8
                toute les cooperations sont bonnes a faire. il est temps d'inviter les anglais a s'installer sur le marche algerien, que ce soit en armement ou autre industrie. les accords militaires ne sont pas exculisivement axe sur la vente d'armement, ca va aussi ouvrir les portes a nos officiers d'effetuer des formations au sein des academies militaires britaniques (comme c'est le cas pour la gendarmerie), ca permit d'acquerir un savoir faire dans de nouvelles branches d'anti-criminalite et autres proffessions.

                Je dis Bravo a monsieur le president et a tout le staff diplomatique pour la visite reussie.

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                • #9
                  Azul Fellawens

                  Comme il as dit algerian_78 toutes coopérations sont bonne et bénéfique mais je ne pense pas qu'ils vont être pire que les américains.., ce que font les américain en ce moment en Algérie c'est la pire chose qui peu arrivé a un pays.
                  Monsieur le président c’est avec cœur lourd que je m’adresse a vous ses quelque phrase d’un condamné qui trancherons la soif de certains individus opprimée

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                  • #10
                    ce que font les américain en ce moment en Algérie c'est la pire chose qui peu arrivé a un pays
                    Farid,Tu peux nous expliquer Stp.

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                    • #11
                      je pense qu il parlait de faire de la Garantita en boite et de la chorba sous vide .......... lol salam!
                      Peace , Love and Happiness !

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