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Quatrième mandat présidentiel de Bouteflika en 2014

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  • Quatrième mandat présidentiel de Bouteflika en 2014

    L’énigmatique réponse d’Abdelaziz Belkhadem sur ses ambitions présidentielles

    Le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, conditionne sa candidature à l’élection présidentielle de 2014 par celle du président Abdelaziz Bouteflika. « Lorsque le président de la République décidera de ne pas se représenter [à ces élections], posez‑moi la question et je vous répondrai », a répliqué de façon énigmatique M. Belkhadem ce mercredi 12 septembre, lors d’une conférence de presse tenue à Tipaza à l’issue de la clôture de l’université d’été de son parti.
    Autrement dit, le patron de l’ex‑parti unique ne sera pas candidat aux présidentielles de 2014 si Bouteflika décide de briguer un quatrième mandat présidentiel ! La réponse de Belkhadem laisse entendre que Bouteflika pourrait se représenter à la magistrature suprême en 2014. Le sourire aux lèvres, le regard dur et le ton ferme, Abdelaziz Belkhadem a tenté, pendant près d’une heure, de donner l’image d’un homme serein, confiant et inébranlable face à tous ces changements survenus, depuis quelques jours, avec la nomination d’un nouveau gouvernement. « Il ne faut pas perdre de vue que le président de la République est notre président d’honneur et que lorsqu’il décide, il décide avec la double casquette », a remarqué M. Belkhadem en évoquant le remaniement au sein du gouvernement.

    Il a rappelé que la désignation des membres de l’exécutif fait partie des prérogatives du président et qu’il n’est pas homme à courir derrière les postes. Il a affirmé n’avoir pas confectionné de liste de ministres pour la proposer à Abdelaziz Bouteflika, à qui il continue d’afficher son soutien indéfectible. « Je soutiens le président de la République en tant que secrétaire général ou simple citoyen, en tant que ministre ou Premier ministre », a‑t‑il clamé.

    M. Belkhadem a également répondu à ses adversaires au sein du Comité central du parti. « La moitié des membres du Comité central dont les noms figurent sur la liste [publiée aujourd’hui par certains journaux] sont présents avec nous pour l’université d’été et vous pouvez leur parler », a‑t‑il lancé avec un air de défi. Abdelaziz Belkhadem est revenu sur cette liste, dont il a détaillé les tares. « Il y a même le nom d’une personne décédée », a‑t‑il noté avant de conseiller à ses détracteurs de « toiletter » leur texte « avant de le publier sous forme de placard publicitaire ». « Ce qui est vrai n’a pas besoin d’être vendu », a‑t‑l estimé.

    TSA

  • #2
    Lors du discours du Président Bouteflika à Sétif, un citoyen demande au Président et insiste pour que Le Président Bouteflika avoir un 04 èmes mandant le président a répondu directe au citoyen.
    « TAB DJENANI » donc une réponse claire nette et précise.
    "Les grands hommes proposent à leurs peuples un destin, quant aux autres ils proposent que des dessins".

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    • #3
      quand on voit les ministres désignés dernièrement ,ou plutôt confortés a leur postes ,on se dit que ce tab jenani est juste un slogan de campagne populiste

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      • #4
        @ Digital

        quand on voit les ministres désignés dernièrement ,ou plutôt confortés a leur postes ,on se dit que ce tab jenani est juste un slogan de campagne populiste
        félicitons nous de voir le vieux encore en place
        imaginons ce que deviendrait l'Algérie en ce moment de guerres à ses frontières avec une révolution colorée et les homologues des décideurs libyens au pouvoir. Nous ne vivrions plus in JENAN même taïb mais une JAHANAMA harra.

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        • #5
          Nous ne vivrions plus in JENAN même taïb mais une JAHANAMA harra.
          Oui, après moi le déluge.

          Il y a des centaines, voire des milliers d'algériens qui sont capables de briguer la magistrature suprême, il suffit de leur faire confiance.

          Allez chercher n'importe quel gérant d'une alimentation générale ou d'une quincaillerie il fera l'affaire mieux que ceux qui sont en place.
          Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

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          • #6
            @ Massnsen

            Oui, après moi le déluge.

            Il y a des centaines, voire des milliers d'algériens qui sont capables de briguer la magistrature suprême, il suffit de leur faire confiance.

            Allez chercher n'importe quel gérant d'une alimentation générale ou d'une quincaillerie il fera l'affaire mieux que ceux qui sont en place.
            demande un peu aux Tunisiens ou aux Libyens ce qu'ils en pensent
            les premiers après avoir chassé Ben ALI ont du supplier ses vieux diplomates de reprendre du service , les seconds malgré la présence de nombreus déserteurs de l'équipe de KHADAFI en sont à être repris en mains par les Américains. Les Egyptiens s'en sortent mieux grâce à MORSI qui dispose d'un Etat solide hérité de NASSER avec des militaires maintenus à tous les échelons.

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            • #7
              « Lorsque le président de la République décidera de ne pas se représenter [à ces élections], posez‑moi la question et je vous répondrai »,
              Un président de 75 ans, malade qui se tient a peine débout, qui n'exerce presque pas ses fonctions, aucun réunion ministérielle, aucune déplacement à l’intérieur ou à l’Étranger depuis presque un an, juste quelque audience protocolaire bref à quelques visiteur étranger le temps d'une photo.

              Et ce monsieur veut encore le garder comme dirigeant de l’Algérie pendant encore 5 ans en plus des 2ans qui lui reste. On peut dire avec certitude qu'il ne reste aucun grain d'amour, de combat, d’intérêt pour l’Algérie chez ce monsieur. Même un harki aurait eu plus de compassion pour l’Algérie et demandait au président de démissionner vu son état de santé.

              Je me demande comment plus d'un million d'Algérien ont été berné et voté pour ce monsieur et son parti au dernière élection.

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              • #8
                Belkhadem hier à la clôture de l’université d’été du FLN

                “Si Bouteflika souhaite mon départ, je pars”

                Liberté du 13/09/12 - Par : Nadia Mellal
                “Si le président souhaite mon départ, il me téléphone et je pars.” C’est à travers cette phrase que Abdelaziz Belkhadem, le SG du FLN, a clarifié hier la position du chef de l’État vis-à-vis de lui.

                Intervenant à l’occasion de la clôture de l’université d’été de son parti, organisée, à Tipasa, le SG de la formation majoritaire a ainsi répondu à la contestation qui le remet en cause au sein du FLN et qui le voit affaibli depuis son éviction du gouvernement. “Je soutiens Bouteflika en tant que secrétaire général du FLN et en tant que simple militant”, dit-il, avant d’affirmer : “Quand le Président m’avait désigné ministre des Affaires étrangères, je n’étais même pas membre du comité central.” À propos de la contestation au FLN, Belkhadem dénonce la liste des signataires du comité central rendue publique, hier. “Plus de la moitié de ces signataires a participé à l’université d’été et il y a même ceux qui ont signé uniquement pour exiger une session extraordinaire du comité central et non pas un retrait de confiance pour le SG. J’ai moi-même une liste de signataires avalisée par un huissier de justice”, lance-t-il, avant d’expliquer : “Faites un toilettage de votre liste avant de la publier”, recommande-t-il aux meneurs de la contestation. Chiffre à l’appui, il remettra en cause le nombre de 221 membres du comité central (CC) qui auront basculé dans la contestation. “Ils n’ont pas besoin de 221 membres du CC pour un retrait de confiance au SG. Il leur faut 172 membres seulement”, dit-il, avant de les défier : “Si réellement vous avez 221 membres du CC qui vous soutiennent pourquoi tout ce boucan ? Venez à la salle et passez à l’action.” Aussi et tout en estimant que la contestation au FLN “n’a pas de soutien d’en haut, mais plutôt de l’intérieur du parti”, le SG du FLN indiquera qu’il a “honte pour leur échec”. Et pour cause “ils ont tout essayé, mais ont échoué”, estime-t-il avant de relever qu’“actuellement, ils font de la contestation devant le siège du parti. Mais s’ils rentrent, nous les ferons sortir”, promet-il. Visiblement très gêné par le recours de la contestation aux médias, Belkhadem leur explique que “ce n’est pas en connaissant des journalistes, des directeurs de journaux que vous pouvez vous placer”. “Ce ne sont pas eux qui décident”, fait-il observer. Questionné sur une liste de cadres du FLN ministrables qu’il aurait soumise au président de la République à la veille du récent changement de gouvernement, Belkhadem a révélé que “je n’ai soumis aucune liste au Président, mais je l’ai fait lors des précédents changements de gouvernement”. Dans ce cadre, il estimera que son éviction du gouvernement “ne l’affaiblit pas et n’affaiblit pas le parti”. “Le Président n’est pas obligé de nommer un Premier ministre de la majorité parlementaire”, dit-il, arguant que “la valeur d’un homme n’est pas mesurée par son poste”. Sollicité, en outre, à propos de sa candidature pour l’élection présidentielle de 2014, il expliquera que “le président de la République est encore président jusqu’à 2014, reposez-moi la question s’il décide de ne pas se représenter”. Interrogé sur la révision de la Constitution, il rappela que le FLN est pour une révision qui plaide pour un régime présidentiel avec de larges prérogatives pour le Parlement.
                Othmane BENZAGHOU

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                • #9
                  Personne de raisonné ne peut immaginer un quatrième mandat pour l'actuel locataire d'El Mouradia. Le troisième mandat, est déjà un mandat de trop, pour un président agé, même si la conjoncture internationale est telle que l'experience et le sens du timing du président Bouteflika est plus un attout pour l'Algérie sur le plan diplomatique.

                  En lisant attentivement la déclaration de Belkhadem, il me semble qu'il manifeste surtout une fidélité absolue au président, et continue dans sa lancée disant que tant que le président n'a rien décidé sur son choix pour 2014 (à entendre plutôt la préfèrence de Bouteflika pour 2014), lui ne le fait pas encore...
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #10
                    il me semble qu'il manifeste surtout une fidélité absolue au président
                    Je ne crois pas que dans les rangs du FLN il y a ce qu'on peut appeler fidélité et depuis 62, aujourd'hui comme hier les trahisons se répètent et se succèdent. Ils ne suivent que leur intérêt et retournent leur veste en fonction des maitres du moment.

                    Bouteflika est aujourd’hui très puissant, Belkhadem sait que comme lui les membres du FLN suivent le plus puissant par intérêts personel et ses plus fidèles du CC lui retourneront la veste pour le dégager si Bouteflika le souhaiter.

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                    • #11
                      Personne de raisonné peut immaginer un quatrième mandat pour l'actuel locataire d'El Mouradia.
                      On disait ça déjà du troisième mandat quand on pensait que le sieur Bouheff était un homme d'Etat!
                      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                      • #12
                        Envoyé par ott
                        Personne de raisonné peut immaginer un quatrième mandat pour l'actuel locataire d'El Mouradia.
                        Je ne serais pas surpris que Bouteflika se maintienne au pouvoir pour un 4ème mandat. Bouteflika est avant tout un politicard assoiffé de pouvoir. Si au moins il était compétent comme président, ce qui n'est pas le cas. Ce vieux politicard s'accroche au pouvoir en végétant à El-Mouradia pendant que de nombreux Algériens souffrent à cause de l'incompétence de Bouteflika et de ses ministres.

                        Dès qu'il est malade, Bouteflika s'envole vers l'Europe pour se faire soigner par les meilleurs spécialistes, pendant que la majorité des Algériens se contentent d'un système de santé parmi les plus médiocres du monde.

                        Le minable Bouteflika et son administration sont tellement incompétents qu'ils laissent des rumeurs de son décès se propager pendant des jours alors qu'on vit à l'ère d'Internet et du tout-instantané.

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                        • #13
                          Personne de raisonné peut immaginer un quatrième mandat pour l'actuel locataire d'El Mouradia.
                          De toute façon ce n'est pas lui qui décide. Le 3e mandat n'était pas possible si la Nomenklatura n'avait pas été unanime pour le reconduire.

                          Pour le 4e mandat, Boutef devra présenter un solide dossier médical à cette Nomenklatura pour le laisser partir

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                          • #14
                            @ nassim

                            Un ministre très compétent dans son domaine, peut être totallement incompétent dans son ministère, et vice versa...

                            La politqiue est l'art du possible et l'art de faire bouger les lignes, mais quand les lignes sont figées, on a beau être compétent, rien n'y fait...
                            Othmane BENZAGHOU

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                            • #15
                              Je ne crois pas que dans les rangs du FLN il y a ce qu'on peut appeler fidélité et depuis 62, aujourd'hui comme hier les trahisons se répètent et se succèdent. Ils ne suivent que leur intérêt et retournent leur veste en fonction des maitres du moment.

                              Bouteflika est aujourd’hui très puissant, Belkhadem sait que comme lui les membres du FLN suivent le plus puissant par intérêts personel et ses plus fidèles du CC lui retourneront la veste pour le dégager si Bouteflika le souhaiter.
                              Malheureusement, la politique n'est aps toujours compatible avec la fidélité, c'est un autre sujet. La déclaration de Belkhadem est biensur à considérer dans un contexte, celui d'une étape de préparation de 2014, et je ne crois pas que Belkhadem puisse être une source d'innovation politique....
                              Othmane BENZAGHOU

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