Le ministre saoudien du Pétrole, Ali Al Nouaïmi, a estimé, hier, que le prix élevé du brut ne se justifiait pas par les fondamentaux du marché, «bien équilibré», selon lui.
«Les prix élevés actuels ne sont simplement pas soutenus par les fondamentaux du marché, qui est bien équilibré en ce qui concerne l’offre, la demande et le niveau des stocks», a souligné le ministre dans un communiqué. «L’Arabie Saoudite, qui suit l’évolution du marché pétrolier mondial, prend toujours les décisions nécessaires pour ajuster l’offre et la demande. Le royaume va répondre aux besoins de tous ses clients parmi les compagnies pétrolières», a ajouté le ministre.
Selon Al Nouaïmi, l’Arabie Saoudite, qui produit plus de 11 millions de barils/jour, et en exporte 7,7, continuera, en coopération avec les monarchies pétrolières du Conseil de coopération du Golfe (CCG) et les membres de l’OPEP à préserver la stabilité du marché pétrolier international. Déjà premier exportateur mondial, l’Arabie Saoudite est devenue, en mars, le premier producteur de pétrole de la planète, devançant la production russe de 9,920 millions de barils par jour.
Le pétrole et ses dérivés entrent pour environ la moitié dans la production d’électricité du royaume.
Hier matin en Asie, le pétrole était mitigé, tiraillé entre l’espoir d’un geste de la banque centrale américaine (Fed) et les chiffres décevants de la production industrielle en Chine publiés la veille.
Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en octobre perdait 14 cents, à 96,28 dollars, dans les échanges électroniques matinaux en Asie, tandis que le baril de brent de la mer du Nord pour la même échéance perdait 7 cents, à 114,32 dollars.
Vendredi dernier, le baril de WTI pour livraison en octobre s’était apprécié de 89 cents sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), à 96,42 dollars à la clôture. A Londres, le baril de brent de la mer du Nord pour la même échéance, échangé sur l’Intercontinental Exchange (ICE),
a fini à 114,25 dollars, en hausse de
76 cents.
source: el watan
«Les prix élevés actuels ne sont simplement pas soutenus par les fondamentaux du marché, qui est bien équilibré en ce qui concerne l’offre, la demande et le niveau des stocks», a souligné le ministre dans un communiqué. «L’Arabie Saoudite, qui suit l’évolution du marché pétrolier mondial, prend toujours les décisions nécessaires pour ajuster l’offre et la demande. Le royaume va répondre aux besoins de tous ses clients parmi les compagnies pétrolières», a ajouté le ministre.
Selon Al Nouaïmi, l’Arabie Saoudite, qui produit plus de 11 millions de barils/jour, et en exporte 7,7, continuera, en coopération avec les monarchies pétrolières du Conseil de coopération du Golfe (CCG) et les membres de l’OPEP à préserver la stabilité du marché pétrolier international. Déjà premier exportateur mondial, l’Arabie Saoudite est devenue, en mars, le premier producteur de pétrole de la planète, devançant la production russe de 9,920 millions de barils par jour.
Le pétrole et ses dérivés entrent pour environ la moitié dans la production d’électricité du royaume.
Hier matin en Asie, le pétrole était mitigé, tiraillé entre l’espoir d’un geste de la banque centrale américaine (Fed) et les chiffres décevants de la production industrielle en Chine publiés la veille.
Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en octobre perdait 14 cents, à 96,28 dollars, dans les échanges électroniques matinaux en Asie, tandis que le baril de brent de la mer du Nord pour la même échéance perdait 7 cents, à 114,32 dollars.
Vendredi dernier, le baril de WTI pour livraison en octobre s’était apprécié de 89 cents sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), à 96,42 dollars à la clôture. A Londres, le baril de brent de la mer du Nord pour la même échéance, échangé sur l’Intercontinental Exchange (ICE),
a fini à 114,25 dollars, en hausse de
76 cents.
source: el watan
Commentaire