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La Libye post-Kadhafi, qui est dans ses tous petits souliers… diplomatiques depuis la chute de Kadhafi et la montée en puissance de petits seigneurs de la guerre, dont beaucoup étaient d'anciens « patrons » du GICL, branche locale d'Al- Qaïda, ne sait franchement plus à quel saint se vouer pour tenter de cacher au reste du monde qu'elle a sombré dans le chaos, et que son État-fantôme ne contrôle absolument rien.
Quelle mouche a bien pu piquer le «président » libyen, Mohammed al-Megaryef, pour s'en aller balancer des mensonges éhontés sur les ondes de la chaîne américaine CBS News en évoquant l'attaque dont a été victime le consulat américain à Benghazi, et qui s'est soldée par le décès de l'ambassadeur accrédité dans ce pays.
Mohammed al-Megaryef, qui essaie de donner l'impression qu'il maîtrise la situation, alors que son pays est entre les mains de chefs de guerre, qui se partagent des provinces et des districts, après avoir été des terroristes notoires, mondialement recherchés, à l'instar d'Abdelhakim Belhadj, l'actuel chef militaire de Tripoli, et qui a même séjourné dans des prisons secrètes de la CIA, vient nous annoncer doctement que les assaillants étaient au nombre de 50, et que l'acte criminel aurait été planifié depuis plusieurs mois par des groupes venus de l'extérieur de la Libye.
Jusque-là, il est permis de se montrer condescendants, en se disant que ce «gus» tente de sauver la face en refusant d'admettre que le consulat US a été pris pour cible de manière spontanée par une foule en furie qui n'a pas accepté que l'Islam soit attaqué de la manière que l'on sait.
Preuve en est que des scènes de violence quasi similaires ont également été observées dans plusieurs autres pays musulmans, principalement l'Égypte, la Tunisie, le Soudan, l'Afghanistan, le Yémen et le Pakistan. Car, s'il fallait accréditer la thèse de Mohammed al- Megaryef, il nous faudrait supposer aussi que ces assaillants étaient également au courant du tournage de ce film attentatoire à l'Islam. Ils auraient même pu y jouer des rôles, tant qu'on y est.
Si en Libye l'attaque a été autrement plus violente, carrément mortelle, c'est tout simplement qu'une bonne partie de ce peuple est lourdement armée. Ces armes, d'ailleurs, ils les tiennent des forces de l'OTAN qui, transgressant outrageusement le mandat de du Conseil de Sécurité de l'ONU, ont largué des quantités phénoménales d'armements sur la Libye quand il fallait coûte que coûte abattre Kadhafi.
Bref, Mohammed al- Megaryef ne digère peut-être pas mal le fait que des marines aient décidé de prendre pied en Libye, signifiant par là que ce pays est bel et bien incapable d'assurer par lui-même la sécurité de ses représentations consulaires, ce qui est en soi une humiliation diplomatique de plus.
Mais venons-en à ce qui nous intéresse personnellement. Mohammed al- Megaryef tente de défendre cette thèse farfelue selon laquelle certains des assaillants seraient venus du Mali et… d'Algérie.
Outre le fait que la Libye n'a franchement pas besoin de faire appel à un quelconque apport étranger en matière de «ressources humaines» terroristes, force est de souligner ici, avec toute la force voulue que l'Algérie a soigneusement bouclé ses frontières afin que les armes et les criminels, qui circulent librement en Libye, ne viennent pas contaminer tout le sud de notre pays.
Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si plusieurs convois venant de l'extérieur, et désirant entrer chez nous, ont été victorieusement interceptés par les troupes de l'ANP.
En revanche, un flux inverse est tout bonnement inenvisageable aussi bien parce que l'Algérie a bel et bien vaincu le terrorisme intra-muros, que ce sont d'autres pays, comme la Libye, pour ne citer que ce cas, qui se débattent face au douloureux retour de flamme lié à leur insidieuse politique consistant à traficoter avec ce genre de dangereux criminels.
Ali Oussi
Quelle mouche a bien pu piquer le «président » libyen, Mohammed al-Megaryef, pour s'en aller balancer des mensonges éhontés sur les ondes de la chaîne américaine CBS News en évoquant l'attaque dont a été victime le consulat américain à Benghazi, et qui s'est soldée par le décès de l'ambassadeur accrédité dans ce pays.
Mohammed al-Megaryef, qui essaie de donner l'impression qu'il maîtrise la situation, alors que son pays est entre les mains de chefs de guerre, qui se partagent des provinces et des districts, après avoir été des terroristes notoires, mondialement recherchés, à l'instar d'Abdelhakim Belhadj, l'actuel chef militaire de Tripoli, et qui a même séjourné dans des prisons secrètes de la CIA, vient nous annoncer doctement que les assaillants étaient au nombre de 50, et que l'acte criminel aurait été planifié depuis plusieurs mois par des groupes venus de l'extérieur de la Libye.
Jusque-là, il est permis de se montrer condescendants, en se disant que ce «gus» tente de sauver la face en refusant d'admettre que le consulat US a été pris pour cible de manière spontanée par une foule en furie qui n'a pas accepté que l'Islam soit attaqué de la manière que l'on sait.
Preuve en est que des scènes de violence quasi similaires ont également été observées dans plusieurs autres pays musulmans, principalement l'Égypte, la Tunisie, le Soudan, l'Afghanistan, le Yémen et le Pakistan. Car, s'il fallait accréditer la thèse de Mohammed al- Megaryef, il nous faudrait supposer aussi que ces assaillants étaient également au courant du tournage de ce film attentatoire à l'Islam. Ils auraient même pu y jouer des rôles, tant qu'on y est.
Si en Libye l'attaque a été autrement plus violente, carrément mortelle, c'est tout simplement qu'une bonne partie de ce peuple est lourdement armée. Ces armes, d'ailleurs, ils les tiennent des forces de l'OTAN qui, transgressant outrageusement le mandat de du Conseil de Sécurité de l'ONU, ont largué des quantités phénoménales d'armements sur la Libye quand il fallait coûte que coûte abattre Kadhafi.
Bref, Mohammed al- Megaryef ne digère peut-être pas mal le fait que des marines aient décidé de prendre pied en Libye, signifiant par là que ce pays est bel et bien incapable d'assurer par lui-même la sécurité de ses représentations consulaires, ce qui est en soi une humiliation diplomatique de plus.
Mais venons-en à ce qui nous intéresse personnellement. Mohammed al- Megaryef tente de défendre cette thèse farfelue selon laquelle certains des assaillants seraient venus du Mali et… d'Algérie.
Outre le fait que la Libye n'a franchement pas besoin de faire appel à un quelconque apport étranger en matière de «ressources humaines» terroristes, force est de souligner ici, avec toute la force voulue que l'Algérie a soigneusement bouclé ses frontières afin que les armes et les criminels, qui circulent librement en Libye, ne viennent pas contaminer tout le sud de notre pays.
Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si plusieurs convois venant de l'extérieur, et désirant entrer chez nous, ont été victorieusement interceptés par les troupes de l'ANP.
En revanche, un flux inverse est tout bonnement inenvisageable aussi bien parce que l'Algérie a bel et bien vaincu le terrorisme intra-muros, que ce sont d'autres pays, comme la Libye, pour ne citer que ce cas, qui se débattent face au douloureux retour de flamme lié à leur insidieuse politique consistant à traficoter avec ce genre de dangereux criminels.
Ali Oussi
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