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Impressions d’Algérie, un recueil de photographies commentées décrivant un pays en mutation sociale et économique, a été présenté lundi soir à Paris devant la presse, à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance nationale.
Présenté via data show par grappes de photographies, prises par le photographe-reporter Philippe Lafond entre 1988 et 1993, l’ouvrage se propose de "rompre avec les clichés diabolisant l’Algérie et faisant d’elle un pays à feu et à sang", selon ses auteurs.
Evoquées par thèmes (cafés, paysages, jeunesse etc), les photographies, loin d’être de "simples cartes postales", décrivent un pays dans sa dimension humaine, essentiellement, avec un focus sur une jeunesse qui vit et une économie "qui tourne en plein régime".
L’image mise en avant, dans ce cadre, est celle du complexe sidérurgique d’El-Hadjar, près d’Annaba, considéré comme le fleuron de l’industrie algérienne.
Les richesses culturelle et humaine de l’Algérie sont également mises en avant par les auteurs de l’ouvrage, à travers notamment ses sites historiques, ses cafés maures et sa jeunesse.
Pour l’écrivain-journaliste Abdelkader Djemai, le propos est de faire le portait d’un pays "qui vit". "La dimension humaine, les gens, les visages, les paysages, la vie de tous les jours, le quotidien : ce sont ces aspects que l’ouvrage veut faire (re) découvrir", a-t-il indiqué à l’APS.
Ancien journaliste-reporter, Abdelkader Djemaï, installé en France depuis 1993, est l’auteur de nombreux romans, notamment de Camping, de Gare du Nord, du Nez sur la vitre, de Zorah sur la terrasse tous parus aux éditions Le Seuil.
Son dernier ouvrage Impressions d’Algérie paraitra le 11 octobre prochain aux éditions La Martinière.
La présentation en "avant-première" de son recueil de photographies a été organisée dans le cadre du rendez-vous du 17, des rencontres mensuelles devant prolonger, jusqu’à fin 2012, la mémoire et le débat sur les massacres des Algériens le 17 octobre 1961 à Paris et aller dans le sens d’une reconnaissance officielle par la France de ces faits de l’histoire.
Par APS
Présenté via data show par grappes de photographies, prises par le photographe-reporter Philippe Lafond entre 1988 et 1993, l’ouvrage se propose de "rompre avec les clichés diabolisant l’Algérie et faisant d’elle un pays à feu et à sang", selon ses auteurs.
Evoquées par thèmes (cafés, paysages, jeunesse etc), les photographies, loin d’être de "simples cartes postales", décrivent un pays dans sa dimension humaine, essentiellement, avec un focus sur une jeunesse qui vit et une économie "qui tourne en plein régime".
L’image mise en avant, dans ce cadre, est celle du complexe sidérurgique d’El-Hadjar, près d’Annaba, considéré comme le fleuron de l’industrie algérienne.
Les richesses culturelle et humaine de l’Algérie sont également mises en avant par les auteurs de l’ouvrage, à travers notamment ses sites historiques, ses cafés maures et sa jeunesse.
Pour l’écrivain-journaliste Abdelkader Djemai, le propos est de faire le portait d’un pays "qui vit". "La dimension humaine, les gens, les visages, les paysages, la vie de tous les jours, le quotidien : ce sont ces aspects que l’ouvrage veut faire (re) découvrir", a-t-il indiqué à l’APS.
Ancien journaliste-reporter, Abdelkader Djemaï, installé en France depuis 1993, est l’auteur de nombreux romans, notamment de Camping, de Gare du Nord, du Nez sur la vitre, de Zorah sur la terrasse tous parus aux éditions Le Seuil.
Son dernier ouvrage Impressions d’Algérie paraitra le 11 octobre prochain aux éditions La Martinière.
La présentation en "avant-première" de son recueil de photographies a été organisée dans le cadre du rendez-vous du 17, des rencontres mensuelles devant prolonger, jusqu’à fin 2012, la mémoire et le débat sur les massacres des Algériens le 17 octobre 1961 à Paris et aller dans le sens d’une reconnaissance officielle par la France de ces faits de l’histoire.
Par APS