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Iran Manif - L'agence de presse AP rapporte le 13 septembre que les Nations Unies ont accusé 16 nations de réagir négativement aux critiques, affirmant que la plupart des gouvernements de ces pays restent impunis pour leurs représailles.
La Haut Commissaire des Nations Unies pour les droits de l'homme, Navi Pillay, a déclaré lors d'une session spéciale du Conseil des Droits de l’Homme que les 16 nations dans un nouveau rapport « sont loin d'être à la hauteur» pour empêcher les membres de leurs propres gouvernements à intimider et attaquer divers militants ayant émis des critiques.
« Des mesures de représailles et d'intimidation contre des individus continuent d'être signalés », a-t-elle dit au Conseil des 47 pays. « Des personnes semblent être menacées ou harcelées par des responsables gouvernementaux, y compris au travers de déclarations publiques de la part des hautes autorités. Des associations et des ONG peuvent voir leurs activités surveillées ou restreintes. Des campagnes de diffamation contre ceux qui coopèrent avec les Nations Unies peuvent être organisées. Des menaces peuvent être lancées via des appels téléphoniques, des textos ou même des contacts directs. Les gens peuvent également être arrêtés, battus ou torturés et même tués."
Pillay a dit qu’il y a eu également un « manque de transparence en ce qui concerne la majorité des cas de représailles signalés ».
Le rapport présenté au Conseil à Genève lors de sa session, ce mois-ci, détaille des affaires de meurtres, de passages à tabac, de tortures, d'arrestations, de menaces, de harcèlement et de campagnes de diffamation contre des défenseurs des Droits de l'Homme, certains découlant du contrecoup du printemps arabe, l'année dernière. Le rapport couvre la période de mi-juin 2011 à mi-juillet 2012 et cite des affaires en Algérie, au Bahreïn, en Biélorussie, en Chine, en Colombie, en Iran, au Kazakhstan, au Kenya, au Liban, à Malawi, au Rwanda, en Arabie saoudite, au Sri Lanka, au Soudan, en Ouzbékistan et au Venezuela ...
Mardi, 18 Septembre 2012 10:30 | Écrit par Iran Manif |
La Haut Commissaire des Nations Unies pour les droits de l'homme, Navi Pillay, a déclaré lors d'une session spéciale du Conseil des Droits de l’Homme que les 16 nations dans un nouveau rapport « sont loin d'être à la hauteur» pour empêcher les membres de leurs propres gouvernements à intimider et attaquer divers militants ayant émis des critiques.
« Des mesures de représailles et d'intimidation contre des individus continuent d'être signalés », a-t-elle dit au Conseil des 47 pays. « Des personnes semblent être menacées ou harcelées par des responsables gouvernementaux, y compris au travers de déclarations publiques de la part des hautes autorités. Des associations et des ONG peuvent voir leurs activités surveillées ou restreintes. Des campagnes de diffamation contre ceux qui coopèrent avec les Nations Unies peuvent être organisées. Des menaces peuvent être lancées via des appels téléphoniques, des textos ou même des contacts directs. Les gens peuvent également être arrêtés, battus ou torturés et même tués."
Pillay a dit qu’il y a eu également un « manque de transparence en ce qui concerne la majorité des cas de représailles signalés ».
Le rapport présenté au Conseil à Genève lors de sa session, ce mois-ci, détaille des affaires de meurtres, de passages à tabac, de tortures, d'arrestations, de menaces, de harcèlement et de campagnes de diffamation contre des défenseurs des Droits de l'Homme, certains découlant du contrecoup du printemps arabe, l'année dernière. Le rapport couvre la période de mi-juin 2011 à mi-juillet 2012 et cite des affaires en Algérie, au Bahreïn, en Biélorussie, en Chine, en Colombie, en Iran, au Kazakhstan, au Kenya, au Liban, à Malawi, au Rwanda, en Arabie saoudite, au Sri Lanka, au Soudan, en Ouzbékistan et au Venezuela ...
Mardi, 18 Septembre 2012 10:30 | Écrit par Iran Manif |