Un millier de personnes manifestaient samedi à Paris contre "l'agression israélienne" et pour demander à la communauté internationale de protéger le Liban. "Beyrouth, capitale de la douleur", proclamait une banderole lors de ce rassemblement, place du Trocadéro, dans le centre de Paris, à l'initiative des "Forces du 14 mars".
Le coordonnateur à Paris de ce mouvement, né après l'assassinat en 2005 de l'ex-premier ministre Rafic Hariri, Elie Abdelhai, a appelé la communauté internationale "à protéger l'embryon de démocratie qu'est le Liban". D'autres orateurs ont appelé la communauté internationale à agir et à faire pression sur Israël pour qu'il stoppe son offensive contre le Liban.
"NON AU TERRORISME DE L'ÉTAT ISRAÉLIEN"
"Nous sommes ici pour dénoncer l'agression israélienne contre nos infrastructures et pour réclamer que l'Etat libanais soit le seul à détenir les armes et l'autorité", a aussi déclaré un des organisateurs, Pierre Bouassi, en référence au Hezbollah, soutenu par la Syrie et l'Iran, dont l'enlèvement de deux soldats israéliens a amené la riposte d'Israël.
"L'aéroport de Beyrouth, symbole de la résurrection du Liban, nous rappelle aujourd'hui les pires moments de la guerre civile", a-t-il dit.
"Israéliens, assassins de bébés et de civils innocents", "Non au terrorisme de l'état israélien", "Le Liban n'est pas l'otage des axes régionaux", proclamaient les banderoles.
Quelque 200 000 Libanais résident en France, et de nombreux mouvements libanais antisyriens y sont actifs. Plusieurs responsables sont venus se réfugier ou effectuer des séjours à Paris après une série d'assassinats de personnalités politiques et de journalistes imputés à Damas.
Par Le monde, avec AFP
Le coordonnateur à Paris de ce mouvement, né après l'assassinat en 2005 de l'ex-premier ministre Rafic Hariri, Elie Abdelhai, a appelé la communauté internationale "à protéger l'embryon de démocratie qu'est le Liban". D'autres orateurs ont appelé la communauté internationale à agir et à faire pression sur Israël pour qu'il stoppe son offensive contre le Liban.
"NON AU TERRORISME DE L'ÉTAT ISRAÉLIEN"
"Nous sommes ici pour dénoncer l'agression israélienne contre nos infrastructures et pour réclamer que l'Etat libanais soit le seul à détenir les armes et l'autorité", a aussi déclaré un des organisateurs, Pierre Bouassi, en référence au Hezbollah, soutenu par la Syrie et l'Iran, dont l'enlèvement de deux soldats israéliens a amené la riposte d'Israël.
"L'aéroport de Beyrouth, symbole de la résurrection du Liban, nous rappelle aujourd'hui les pires moments de la guerre civile", a-t-il dit.
"Israéliens, assassins de bébés et de civils innocents", "Non au terrorisme de l'état israélien", "Le Liban n'est pas l'otage des axes régionaux", proclamaient les banderoles.
Quelque 200 000 Libanais résident en France, et de nombreux mouvements libanais antisyriens y sont actifs. Plusieurs responsables sont venus se réfugier ou effectuer des séjours à Paris après une série d'assassinats de personnalités politiques et de journalistes imputés à Damas.
Par Le monde, avec AFP
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