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grève illimitée des universités dès ce dimanche 23 septembre

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  • grève illimitée des universités dès ce dimanche 23 septembre

    Le mouvement de protestation gagne les universités algériennes. Le mouvement de grève avait été suspendu le 5 mai pour permettre un bon déroulement des élections législatives, mais les universités algériennes relanceront leur grève pour une durée illimitée dès ce dimanche 23 septembre.


    Les travailleurs du secteur de l’enseignement supérieur ont décidé de reconduire le mouvement de grève, gelé le 5 mai dernier en raison des élections législatives. Ils se remettent ainsi en grève illimitée et ce dès dimanche 23 septembre. Cette décision prise lors d’une réunion ayant regroupé 19 représentants de bureaux de coordination à Bejaïa intervient alors que les étudiants s’apprêtent à entamer leurs examens de rattrapage. Les grévistes mettent en cause la tutelle qui n’a pas accédé à leurs revendications exprimées en mai.

    Ayant approuvé à l’unanimité le mot d’ordre de grève à l’issue de cette réunion, les « conclavistes » durcissent le ton en rendant le ministère de l’Enseignement supérieur responsable de toutes les conséquences qui pourraient découler du mouvement social et ils prennent à témoin la communauté estudiantine du marasme qui entoure l’exercice de leur profession.

    « C’est une grève qui intervient vraiment dans un moment inopportun. Comme nous nous apprêtons à amorcer les examens de rattrapages à partir de dimanche prochain, c’est à dire le 23 septembre, voilà que cette décision tombe comme un couperet et perturbe complètement notre élan volitif et nous coupe carrément les jambes », nous fait remarquer Nassima, étudiante à l’université de Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou. Le syndicat des travailleurs du secteur de l’enseignement supérieur (UGTA), qui accuse la tutelle de continuer à faire la sourde oreille, et maintient son attachement à la satisfaction de leurs revendications socio-professionnelles. Celle-ci s’articule notamment autour de la révision du statut des travailleurs des corps communs, de l’augmentation des salaires avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008 et de la revalorisation du point indiciaire qui doit être doublé, ainsi que de la titularisation des travailleurs contractuels.

    Ce mouvement de grève qui intervient à un moment d’ébullition dans les autres secteurs d’activités risque de compromettre sérieusement la rentrée universitaire prévue pour le dimanche 23 septembre au niveau national. Après le débrayage décidé par le syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (Snapap), le nouveau gouvernement n’est pas en manque de travail face à cette grève du secteur de l’enseignement supérieur.

    AFRIK
    *Nobody is perfect..I'm Nobody*

  • #2
    les travailleurs de l’administration qui sont appelé par certain les agents de l’administration comme les agents de l'ordre pour la police, que font t'ils?? déjà ils n'ont aucun diplôme ensuite ils ne servent a rien, des bureaux sur bondés; ils vont dans certaine facultés même d'acheter des diplôme pour redevenir des maitres de conférence..tous connait une telle qui était réceptionniste de dossiers et le lendemain l'ont vu valise diplomatique a la main entrain de donner des cours a l’Amphitrite..je me demande quand ET OU cette mascarade va s’arrêter??? ..En europe et en france dans un département il y avait qu'une seule secretaire qui travaillait tenez vous bien a mis temps...a l'université y'a rien que des chercheur des enseignants et des étudiants meme au Niger et au Mali et au burakano fasso c'est la regle..y'a que dans ce bled que tu trouves cette débandade..n'importe qui dirige n'importe qui, fait cours, n’importe qui, fait étudiant ;le ministère ne peut pas parler terre a terre a ces université
    de la sorte
    ''ya khoutna hachmou..kidourou haja dirouha bassatroua..hadhi kanate takhdame fibirou hadha kan yakhdame fi birou a coté, il n'ont pas le bac, kifache iwoulou mou3limine fel jami3a??
    Sahha ya sidi bghitou troudouha mou3lima douha fi jami3a b3ida win may3afouhache ...''
    lttrealemnt

    ''ayer un peu de dignité et ne soyer pas de la sorte vulgaire dans vos gestes dans votre façon de marché de boire de parler et lorsque vous regarder faite comme le coran vous ledit baissez vos regards...comment cette administrateur et comme son collègue sans diplôme sans bac deviennent des profs dans la même université connu et su par tout le monde..même si vous êtes forcé de le faire faites d'une manière fine pas vulgaire envoyer là ou jetez la dans une autre université et qu’elles fasse tet qu'ils fassent ce qu'il veut..

    le vulgaire dans le coran est nommé ''El Fajir'' celui qui s'éclate ou qui pete a a dechirer son pantalon ....c'est la vulgarité du vendredi

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    • #3
      encore un chantage aux examens dans un monde universitaire d'assistés et de tricheurs

      des étudiants incapables du minimum pour réussir un examen, qui sont invités à des séances de rattrapage, merci les frais et la perte de temps et des enseignants qui en profitent pour réclamer plus de fric et de primes. Qui réclame le risque, qui la recherche alors que la majorité veut celle du panier...

      en bout de course çà nous donne quoi ? des étudiants chômeurs , englués dans la prétention de diplômes qui ne leur sont d'aucune utilité alors que les patrons manquent de main d'oeuvre à tous niveaux et que pour le BTP que ce soit niveau conception ou exécution nous sommes dépendants des étrangers.

      qui a déjà, il y a une vingtaine d'années souhaitée la fermeture de quelques universités le temps de remettre les Algériens au travail ?

      * cette fois, il n'est pas question d'hôpitaux et DOA est en retraite forcée

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      • #4
        lorsque tu poses la question qui a fermé les grandes écoles d’ingénieur et foutu en l'air; la mission de l'université et les écoles, ils disent c'est le FMI

        Lorsque tu va chez le FMI et tu leurs demande pourquoi ils ont fait cela, il te réponde que ce n'est pas leur mission et qu'ils agissent dans pas mal de pays comme le Niger la Mauritanie le Sénégal et Madagascar et d'autres sans que ces pays aient changer leur plan de formation....le problème et chez vous..des gens qui ne savent rien et qui sont entrain de tout mélanger c'est tout, ils croivent qu'ils savent ..voila la réalité de certain pays..nous sommes aucunement responsable

        tu reviens ici tu entends dire et c'est connu par tout le monde
        ''pour prendre un titre d'un titre ou le sac d'une prime ou pour un étudiant avoir ces module par la force tu dois faire le syndicaliste''....

        et dans les pays socialiste en général seul les bras cassé font du syndicalisme....

        a part les vrai qui sont sur le terrain entrain de travailler dure et défendre dans les normes pour protéger en premier l'outil du travail et ensuite aspirer aux augmentation..ces gens sont nombreux et méritent tous nos considération ......
        mais la majorité c'est des bandits qui prennent par la force et la violence

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