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Ittij n w arrac

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  • Ittij n w arrac

    I3da flagh yiwen n lwaqt d aberkan, At taddart a tidiren udhan di ccek d ukukru
    Ghef ayen id idhran di kra n tuddrin yettwattun, yettwa3zlen ghef laman n Dewla merra
    Yal idh a tudert. Akukru, rehba teghelid ma d yeghli idh. Madyerzu fellassen w aggu, d ussemidh axxabit ni iddurar. Maca tasbhith ad tamghra ussirem. Bu tHanutt yelli taburt, tulawin ceghlented d ukkerfi. Imekssawen taba3en ulli, negh ma d ulli itni taba3en.
    Maca ayen yesewhamen attas… Ad tikli ak ad tazzla n warac deg abrid gher lakkul nsen. Id tdhilin-ed si yal tamma, Defir iddurar, gar tjjur n umadagh, gar ixxamen. Tullas am yallas cebhent s lebssa ak d rawayeH. Arrac zediggit cebHen… d assirem muqren I w ath taddart.

    Athan kra seg ussmekti n temezzi :


    Ittij y ullid idhalled. Gar iddurar I ttnernid
    Taffat is yeHman tekkes tlam yessan agris
    Yekkes fellagh akukru, ad tebrrek n lweHcis
    Idyerzan fellagh di lmeghreb mi tefrra tzzalit
    At taddart ad tqara3en am yal tasbHit
    S tmughli igezmen, Ittij ni ad ibegen adrar-is
    ArtaHen w ullawen m itwalan yekmel umeqyas-is

    Idh ad tilli ines adjan-agh assagi, deg ubrid yal yiwen yugh abrid-is
    Wa yelHa gher innurar n y idles, wa yelHa gher innurar n tfelaHt-is
    Assirem illuled am 3djadj n LferH d zhhu
    Yedda d usughu n w arrac rif n webrid, gher udhar n tbburt ughrbaz
    Am targit deg zzal, n ssaram targit ur t smettat ur t Habbes,
    Aken tella zdat wallen, ad tidett tecbaH yal tasbHit
    Tagi ad tighri n inelmaden imectaH, s lebssa nsen tamellalt
    Am tebratin n telwit urugadent kra, yessent in-umen in lemmed tissass
    LaPoStR@
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

  • #2
    traduction de :
    Soleil des enfants
    C’était une époque de tragédie. Les gens du village vivent des nuits d’incertitude après les massacres qui ont eu lieu dans certaines bourgades isolées et oubliées de la sécurité étatique déjà dépassé. Chaque nuit est une vie à part, la peur s’installe avec le noir, l’invisibilité et le froid méchant de la montagne. Le matin tout un symbole, le petit commerçant ouvre, les femmes sont déjà au taquet, les bergers suivent leurs troupeaux. La chose la plus significative c’était la quotidienne course des petits écoliers qui affluent derrière les montagnes, les maisons, les virages, les forets. Les belles petites filles, ça sent bon, des jeunes frisés et propres, des bombons... un signe d’espoir.. Voici le piètre souvenir d’une enfance

    Le Soleil levant au travers le périple des montagnes
    D’un rayon de chaleur décape le glas de la nuit
    Dissipant les incertitudes de l’obscurité passagère
    Qui dominait l’horizon depuis son couché, après la prière
    Les gens du village à l’affut de la moindre éclaircie
    Entrevoient le flanc de la montagne d’un regard percé
    Histoire d’être rassuré, que le disque flamboyant est bien tracée
    La nuit des ombres est bien partie pour la journée
    Sur les routes on entreprend son chemin
    Qui va vers les chantiers de la culture
    Qui va vers les chantiers d’agriculture
    L’espoir renait comme un tourbillon de joie et d’allégresse
    Avec les cris des enfants qui jonchent les abords de route
    Pour aller au pied du portail de la petite école
    Nous souhaitions que ce rêve recommence et ne cesse
    Une scène presque imaginaire
    Mais elle était bien là et belle à chaque matin
    C’était les cris des petits écoliers, vêtus de leurs blancs tabliers
    Des messagers de paix insouciants, indifférents à la nonchalance
    On réapprenait avec eux les leçons de la résistance
    La Postr@
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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    • #3
      tgarrez tira agi inek, a postra.

      tanemirt.
      "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
      Socrate.

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      • #4
        tanmirt
        tira s teqbaylit dayen igerzzen déja !
        Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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        • #5
          Sahits iwesmekthi ayi a Postra; tham3ich'th g'thoudhrin itourfan machi dhayen issehlen.

          Je pense à un membre de la famille éloigné, jeune père de famille qui a été sauvagement enlevé à la vie en ce temps-là, laissant derrière lui, des enfants, une épouse et une mère désemparés; cette dernière ayant par la suite perdu la raison...Comme lui, il y en a des dizaines...Paix à leurs âmes...

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          • #6
            Sahits iwesmekthi ayi a Postra; tham3ich'th g'thoudhrin itourfan machi dhayen issehlen.

            Je pense à un membre de la famille éloigné, jeune père de famille qui a été sauvagement enlevé à la vie en ce temps-là, laissant derrière lui, des enfants, une épouse et une mère désemparés; cette dernière ayant par la suite perdu la raison...Comme lui, il y en a des dizaines...Paix à leurs âmes...
            22/09/2012 19h30
            Tanmirt ghef awal agi nek
            nettmektayed merra ussan ni, imdanen ayen 3acen di l'époque ni d ayen yesseqrahen. Gujjlen warrac, djllent tlawin, qiment ed tyemmatin attrunt ghef araw nsent urriban lather nssen. atnirham Rabbi s umatha w ad yilli dwid id yeqqimen ...
            Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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