En prévision de la visite d’Etat que doit effectuer le Président français, François Hollande, en Algérie avant la fin de l’année en cours, (la date n’étant pas encore fixée), le ballet diplomatique de hauts responsables de l’Hexagone se poursuit.
S’il est acquis, aujourd’hui, que les relations entre les deux pays sont plutôt au beau fixe, une volonté commune d’édifier un partenariat d’exception fait son bonhomme de chemin. C’est ainsi qu’après Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, et Yamina Benguigui, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères en charge des Français à l’étranger et de la Francophonie, et avant Manuel Walls, ministre de l’Intérieur, dont la date de la visite à Alger n’est pas encore connue, c’est la ministre française du Commerce extérieur, Nicole Bricq, qui est, cette fois, attendue à Alger aujourd’hui. Comme pour les autres ministres français qui l’ont précédée, son séjour dans notre pays s’inscrit dans le cadre de la préparation de la visite du président François Hollande, prévue à la fin de l’année.
Nicole Bricq est chargée particulièrement du volet économique. Elle sera accompagnée, a-t-on appris, de plusieurs dirigeants de PME françaises et rencontrera des ministres algériens ainsi que les représentants de la sphère économique et commerciale, afin d’envisager ce que sera le nouveau partenariat économique entre l’Algérie et la France, son quatrième partenaire commercial et premier fournisseur, maintenant que ce sont les socialistes qui sont au pouvoir dans ce pays. Nicole Bricq a récemment fait part du projet français de créer un bloc commercial dans la région, en s’appuyant particulièrement sur l’Algérie. Elle milite pour les accords bilatéraux, face à l’échec du multilatéralisme. Elle pense que ce type de coopération va profiter à tous et avance le concept de co-localisation, pour créer une chaîne de valeur ajoutée. Sa visite intervient à peine quelques jours après la venue à Alger du représentant du Premier ministre britannique pour le Commerce et l’Investissement, Lord Marland. Ce qui attire les partenaires européens dans notre pays, c’est sans conteste la relative stabilité que connaît l’Algérie, qui reste, en même temps, le fer de lance de la lutte antiterroriste dans une région complètement chamboulée, du fait des changements imposés par la violence. Autre avantage non négligeable, l’Algérie dispose d’une manne financière consistante, qui va en augmentant, si on en croit les indications des experts qui prévoient que les prix des hydrocarbures ne baisseront pas de sitôt.
Ferhat Zafane, la dépêche de kabylie
S’il est acquis, aujourd’hui, que les relations entre les deux pays sont plutôt au beau fixe, une volonté commune d’édifier un partenariat d’exception fait son bonhomme de chemin. C’est ainsi qu’après Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, et Yamina Benguigui, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères en charge des Français à l’étranger et de la Francophonie, et avant Manuel Walls, ministre de l’Intérieur, dont la date de la visite à Alger n’est pas encore connue, c’est la ministre française du Commerce extérieur, Nicole Bricq, qui est, cette fois, attendue à Alger aujourd’hui. Comme pour les autres ministres français qui l’ont précédée, son séjour dans notre pays s’inscrit dans le cadre de la préparation de la visite du président François Hollande, prévue à la fin de l’année.
Nicole Bricq est chargée particulièrement du volet économique. Elle sera accompagnée, a-t-on appris, de plusieurs dirigeants de PME françaises et rencontrera des ministres algériens ainsi que les représentants de la sphère économique et commerciale, afin d’envisager ce que sera le nouveau partenariat économique entre l’Algérie et la France, son quatrième partenaire commercial et premier fournisseur, maintenant que ce sont les socialistes qui sont au pouvoir dans ce pays. Nicole Bricq a récemment fait part du projet français de créer un bloc commercial dans la région, en s’appuyant particulièrement sur l’Algérie. Elle milite pour les accords bilatéraux, face à l’échec du multilatéralisme. Elle pense que ce type de coopération va profiter à tous et avance le concept de co-localisation, pour créer une chaîne de valeur ajoutée. Sa visite intervient à peine quelques jours après la venue à Alger du représentant du Premier ministre britannique pour le Commerce et l’Investissement, Lord Marland. Ce qui attire les partenaires européens dans notre pays, c’est sans conteste la relative stabilité que connaît l’Algérie, qui reste, en même temps, le fer de lance de la lutte antiterroriste dans une région complètement chamboulée, du fait des changements imposés par la violence. Autre avantage non négligeable, l’Algérie dispose d’une manne financière consistante, qui va en augmentant, si on en croit les indications des experts qui prévoient que les prix des hydrocarbures ne baisseront pas de sitôt.
Ferhat Zafane, la dépêche de kabylie
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