Neuf marins ont failli périr en mer, dans la nuit de dimanche à lundi, au large des côtes de Tichy, à une dizaine de kilomètres à l’Est du chef-lieu de la wilaya de Béjaïa.
La chaloupe à bord de laquelle ils étaient a chaviré, suite à une inattendue panne de moteur. « Il était 3h du matin, quand le moteur a lâché suite à l’éclatement de la durite, alors que nous étions en train de remonter les filets. Notre embarcation a vite été submergée par les eaux, ce qui a provoqué son naufrage », témoigne le « Raïs » de la chaloupe Wissam-Béjaïa 268, qui précise qu’un membre de son équipage, pris de panique, a failli mourir par noyade.
« Il ne sait pas nager, contrairement aux autres, ce qui a nécessité notre intervention pour le remonter en catastrophe à bord d’un canot de sauvetage qu’on remorque à chaque sortie en mer », explique-t-il. Les membres de l’équipage du bateau de pêche s’étaient entassés à neuf à bord d’un petit canot de sauvetage, tanguant au gré des vagues des heures durant, avant d’être secourus.
« A défaut d’appeler les gardes-côtes directement, j’ai contacté l’un de mes clients pour le faire à ma place », a déclaré, hier, le « Raïs » de Wissam, encore sous le choc, ajoutant que les gardes-côtes de Bejaia n’ont pas mis beaucoup de temps à venir à leur secours. Alertés, ces derniers sont intervenus en un temps record, dépêchant un canot de sauvetage jusqu’au large des côtes de Tichy. « Une fois que l’information nous est parvenue, nous avons immédiatement mis sur pied un plan de sauvetage, en envoyant au large de Tichy nos éléments pour secourir les neuf marins », a indiqué un officier des gardes-côtes de Béjaïa, sur les ondes de la Radio locale. Selon la même source, les marins secourus ont été transférés à l’Amirauté de Béjaïa, avant d’être confiés à la Protection civile.
Par Dalil S.,La dépêche de kabylie
La chaloupe à bord de laquelle ils étaient a chaviré, suite à une inattendue panne de moteur. « Il était 3h du matin, quand le moteur a lâché suite à l’éclatement de la durite, alors que nous étions en train de remonter les filets. Notre embarcation a vite été submergée par les eaux, ce qui a provoqué son naufrage », témoigne le « Raïs » de la chaloupe Wissam-Béjaïa 268, qui précise qu’un membre de son équipage, pris de panique, a failli mourir par noyade.
« Il ne sait pas nager, contrairement aux autres, ce qui a nécessité notre intervention pour le remonter en catastrophe à bord d’un canot de sauvetage qu’on remorque à chaque sortie en mer », explique-t-il. Les membres de l’équipage du bateau de pêche s’étaient entassés à neuf à bord d’un petit canot de sauvetage, tanguant au gré des vagues des heures durant, avant d’être secourus.
« A défaut d’appeler les gardes-côtes directement, j’ai contacté l’un de mes clients pour le faire à ma place », a déclaré, hier, le « Raïs » de Wissam, encore sous le choc, ajoutant que les gardes-côtes de Bejaia n’ont pas mis beaucoup de temps à venir à leur secours. Alertés, ces derniers sont intervenus en un temps record, dépêchant un canot de sauvetage jusqu’au large des côtes de Tichy. « Une fois que l’information nous est parvenue, nous avons immédiatement mis sur pied un plan de sauvetage, en envoyant au large de Tichy nos éléments pour secourir les neuf marins », a indiqué un officier des gardes-côtes de Béjaïa, sur les ondes de la Radio locale. Selon la même source, les marins secourus ont été transférés à l’Amirauté de Béjaïa, avant d’être confiés à la Protection civile.
Par Dalil S.,La dépêche de kabylie
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