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L'Espagne : pour une solution juste et durable au SAHARA OCCIDENTAL

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  • L'Espagne : pour une solution juste et durable au SAHARA OCCIDENTAL

    Le président du gouvernement espagnol , Marieno Rajoy a réaffirmé mardi, l’engagement de son pays en faveur d’une solution juste, durable et acceptable par les deux parties au conflit, le Front Polisario et le Maroc et qui garantit le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination conformément aux buts et principes de la charte de l’ONU .

    Dans son allocution devant la 67e Assemblée générale de l’ONU, Rajoy a souligné que l'Espagne en tant que membre du Groupe des Amis du Secrétaire général pour le Sahara occidental, réitère son soutien aux efforts du SG de l’ONU et son Envoyé personnel pour le Sahara occidental, Christopher Ross en vue de trouver une solution juste et durable au conflit.

    (SPS)
    SAHARA OCCIDENTAL LIBRE & INDÉPENDANT

    VIVA POLISARIO

  • #2
    l’Espagne se positionne cette fois clairement en faveur de l’Autodétermination du PEUPLE SAHRAOUI , et donc du referendum ! un fait nouveau qu'il faut souligner
    décidément toute la communauté international converge vers ce point de solution , le referendum
    SAHARA OCCIDENTAL LIBRE & INDÉPENDANT

    VIVA POLISARIO

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    • #3
      L'Espagne malgré la crise reste un membre de l'OTAN important

      responsable de l'impasse sahraouia , elle l'a , si elle veut des arguments de poids à mettre dans la balance

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      • #4
        .
        Malgré la prostitution du royaume en faveur de l'espagne pour le Sahara occidental




        .

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        • #5
          En fait rien de nouveau, c'est toujours la formule du "mutuellement acceptable..." qui est utilisée. La même chose qui est répétée à longueur de communiqués.

          Rajoy afirmó que España "mantiene su compromiso activo en favor de una solución política justa, duradera y mutuamente aceptable al contencioso del Sahara Occidental .....
          Dans ce discours où il a abordé de nombreux autres sujets tels que Gibraltar, un siège au conseil de sécurité...., il a également annoncé que vendredi prochain, l'Espagne et le Maroc présenteront une initiative pour promouvoir la médiation et développer les capacités nationales et locales dans la zone méditerranéenne.


          También ha anunciado que el próximo viernes España y Marruecos presentarán una iniciativa para promover la mediación y desarrollar las capacidades nacionales y locales en la cuenca mediterránea.

          Sinon, le plus urgent pour Madrid actuellement, c'est la crise économique et le désir d'indépendance de la Catalogne.

          Les quatre défis de Mariano Rajoy pour l’Espagne

          - Le gouvernement espagnol dévoile jeudi 27 septembre son projet de budget 2013 avec de nouvelles mesures de rigueur alors que la grogne sociale s’étend

          - Vendredi 28 septembre, il publiera l’audit sur la santé des banques, qui inquiètent autant que les régions.

          - Un appel à l’aide du pays à l’Europe semble imminent.


          Sur fond de grève générale en Grèce, la zone euro fait de nouveau l’objet de toutes les inquiétudes avec les incertitudes sur l’Espagne et son éventuel appel à un plan de sauvetage global. Après un répit en septembre, les nuages s’accumulent sur Madrid, confronté à l’impatience du peuple espagnol, aux difficultés des régions et des banques, et aux exigences de Bruxelles.

          L’IMPATIENCE DES ESPAGNOLS
          Mariano Rajoy se dit tout à fait conscient des difficultés qui s’amoncellent pour les Espagnols. « On surmonte les situations difficiles si on emprunte le chemin dicté par l’intérêt général, même si c’est impopulaire », a déclaré le président du gouvernement début septembre. Le message ne fait aucun doute sur sa détermination pour respecter les objectifs de réduction du déficit budgétaire pour 2012 (6,3 % du PIB) et les deux années suivantes (4,5 % en 2013 et 3 % en 2014).

          Jeudi 27 septembre, le gouvernement doit approuver en conseil des ministres extraordinaire son projet de budget 2013, toujours placé sous le signe de la rigueur. Les Espagnols savent qu’aucune bonne nouvelle n’en sortira pour leur porte-monnaie. D’ici à 2014, Madrid prévoit d’économiser plus de 102 milliards d’euros, une somme colossale. Le pays affrontera une année difficile puisqu’il reste en récession.

          La marge de manœuvre sera étroite, d’autant que les classes moyennes espagnoles ont déjà été mises à forte contribution depuis l’arrivée au pouvoir en novembre 2011 des conservateurs. L’âge de la retraite a été repoussé, les pensions gelées, les impôts ont augmenté, la TVA est passée de 18 à 21 % (et de 8 à 10 % pour le taux réduit), la prime de Noël des fonctionnaires a été supprimée, bref, l’austérité n’a épargné aucun secteur. Ni même la santé et l’éducation, des compétences gérées par les régions.

          Attachés à leurs services publics, les Espagnols multiplient les manifestations. Comme celle du co-paiement des médicaments depuis le 1er juillet pour les retraités. Ils n’obtiendront plus gratuitement leurs médicaments, mais devront en payer 10 %, avec un maximum mensuel (de 8 à 60 €) en fonction de leurs revenus. Les actifs supportaient 40 % du prix des médicaments, ils paient désormais entre 50 et 60 %, tandis que les chômeurs sans prestations bénéficient de la gratuité totale.

          Les réductions de personnel dans les milieux sanitaires et éducatifs se sont multipliées, ainsi que les baisses de salaires de ces fonctionnaires. Plusieurs régions ont proposé que les enfants apportent leur déjeuner à la cantine moyennant un prix inférieur au menu de l’école, ce qui a ulcéré les associations de parents, qui estiment devoir payer deux fois, alors qu’ils sont déjà en difficulté.

          LES DÉFICITS DES RÉGIONS
          C’est le casse-tête du président du gouvernement. Faire en sorte que les régions, qui ont fortement creusé en 2011 le déficit budgétaire de 8,9 % du PIB, respectent la limite imposée cette année : 1,5 % du PIB (contre 3,34 % en 2001). Les régions se sont tenues à un déficit de 0,93 % sur les six premiers mois de l’année. Mais ensuite, rien n’est garanti. L’agence Standard & Poor’s a rappelé que sur ces deux dernières années, presque 45 % du déficit de l’année a été généré au quatrième trimestre.

          Les régions focalisent donc les principales craintes des investisseurs. Plusieurs n’ont déjà plus accès aux marchés extérieurs et éprouvent des difficultés pour boucler leur trésorerie, comme la Catalogne qui n’a pas pu payer cet été ses organismes sociaux.

          Le Fonds d’aide financière aux régions, piloté par Madrid et doté de 18 milliards d’euros, vient d’entrer en vigueur. Mais il pourrait ne pas suffire. Déjà, les régions de Murcie, de Valence, de Catalogne et de l’Andalousie ont sollicité une aide qui couvre 80 % de ce fonds. Que se passera-t-il si d’autres appellent au secours ? Nombreuses sont celles qui étouffent. Souffrant d’une chute drastique des rentrées fiscales, elles consacrent presque 80 % de leur budget à la santé et à l’éducation.

          L’automne sera agité : deux élections régionales anticipées sont prévues en Galice et au Pays basque, le 21 octobre. Et mardi 25 septembre, le président nationaliste de Catalogne, Artur Mas, a ajouté le nom de sa région à cette liste, avec un scrutin prévu le 25 novembre. La Catalogne, poids lourd économique avec 20 % du PIB espagnol, développe un sentiment indépendantiste fort. Les nationalistes, qui visent la majorité absolue, viennent de se voir refuser une plus grande autonomie financière par Madrid. Ils revendiquent l’organisation d’un référendum d’autodétermination s’ils sont élus.

          LE SAUVETAGE DES BANQUES
          Une myriade de banques régionales, en grande partie responsables de la bulle immobilière des années 2000, a déjà fait l’objet d’une première vague de fusions afin de mieux contrôler le secteur. Mais il faut aller plus loin, et apurer leurs stocks de créances douteuses (1), qui ont atteint 9,86 % des prêts dans leur ensemble, en juillet, un taux record depuis février 1994. Ce sont les prêts aux activités immobilières qui affichent le plus fort taux d’impayés (27,3 %).

          Cet été, les Européens ont voté le déblocage de 100 milliards d’euros pour le secteur bancaire espagnol. Madrid doit dévoiler demain le résultat de l’audit réalisé par deux cabinets privés pour estimer les besoins des établissements ibériques. On saura alors si la totalité des 100 milliards d’euros promis seront nécessaires, ou une partie seulement. La réponse à cette question conditionnera fortement la stratégie de Mariano Rajoy à l’égard de ses partenaires européens.

          LA NÉGOCIATION AVEC LES EUROPÉENS
          Le gouvernement espagnol renâcle à demander un sauvetage plus large que celui des banques, car il ne veut pas d’un programme de surveillance internationale (FMI-Europe) comme dans les autres pays sous perfusion, Grèce, Irlande, Portugal. Politiquement, il serait difficile pour Mariano Rajoy d’assumer ce qu’il considère comme une mise sous tutelle.

          Mais après un apaisement en septembre, dû au soutien de la Banque centrale européenne, les taux d’emprunt à dix ans de l’Espagne sont repassés mercredi 26 septembre au-dessus des 6 %, seuil intenable à moyen terme. Mariano Rajoy a pourtant entrouvert la porte à une demande d’aide dans un entretien au Wall Street Journal du même jour. « Je peux vous assurer à 100 % que je demanderai ce plan de sauvetage » si les rendements de la dette ne sont pas tenables, a-t-il assuré, tout en ajoutant qu’il était trop tôt pour dire si son pays en aurait réellement besoin.

          La Commission européenne et la France pressent l’Espagne de sauter le pas, tandis que l’Allemagne multiplie les déclarations de soutien à Mariano Rajoy. La chancelière Angela Merkel ne veut pas avoir à demander à la chambre des députés, le Bundestag, l’autorisation d’un nouveau plan de sauvetage, tant l’issue de ce vote resterait incertaine. Dans cette confusion, le dirigeant espagnol négocie donc avec ses voisins la possibilité d’utiliser une partie seulement des 100 milliards pour les banques, et de garder le solde pour un autre usage. Une solution qui permettrait, parie-t-il, d’éviter la case Bundestag.

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          DÉSACCORD SUR LE MÉCANISME EUROPÉEN DE RECAPITALISATION DES BANQUES
          La Commission européenne a demandé mercredi 26 septembre que le mécanisme de recapitalisation directe des banques soit mis en place rapidement. En juin, la zone euro avait décidé que le fonds de secours permanent, le Mécanisme européen de stabilité (MES), puisse recapitaliser directement les banques d’un état – sans alourdir sa dette – dès la mise en place d’une supervision bancaire européenne, début 2013.

          Mais l’Allemagne, la Finlande et les Pays-Bas ont publié mardi 25 septembre une lettre où ils estiment que ce mécanisme ne pourra être actionné que pour des difficultés bancaires apparues à partir de janvier 2013. Cela signifierait que l’Espagne, par exemple, ne pourrait pas y faire appel puisque les difficultés y sont plus anciennes. Une source d’inquiétude supplémentaire pour les investisseurs.

          (1) Cet indicateur mesure la part des prêts non remboursés depuis plus de trois mois.

          La Croix
          MARIE DANCER et VALÉRIE DEMON, à Madrid

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          • #6
            l'espagne à un rôle déterminant dans ce conflit , en tan qu'ancien colon elle doit rectifier la colonisation actuel cette erreur de l'histoire et assister le PEUPLE SAHRAOUI dans son indépendance
            SAHARA OCCIDENTAL LIBRE & INDÉPENDANT

            VIVA POLISARIO

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