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Voici ce qu'on a pu lire sur Le Soir d'Algérie et qui est repris sur le site de JIl Jadid et sur de nombreuses pages sur facebook:
"En effet, malgré plusieurs courriers de protestation et une demande d’audience restée vaine, le ministère de l’Intérieur a autorisé la tenue du congrès constitutif d’un nouveau parti se dénommant «Jil Jadid Horr».
A Jil Jadid de Soufiane Djilali, on s’interroge sur cette décision d’autant plus que le ministère d’Ould Kablia avait précédemment montré son inflexibilité dans son refus d’agréer de nouveaux partis pour de vagues ressemblances de sigles. Le pouvoir veut-il créer la confusion car Jil Jadid dérangerait quelque part ?"
La question que je me pose, est de savoir si ce pouvoir se rend compte à quel point il est en train de polluer la scène politique.
Peu importe si Jil Jadid est bon ou pas, il a ses adeptes et ses détracteurs, mais il a au moins le mérite d'exister, de vouloir participer à la construction du pays, avec un esprit démocratique ( seul parti qui inclut dans ses statuts la limitation à deux mandats à la présidence...), une opposition franche et déclarée au pouvoir, essayant de mettre en place une brèche pour la sortie de crise sans violence, et dans le respect des institutions...
Eh! Ben, c'est déjà de trop, on pousse à la création d'un parti qui reprend le même nom, en rajoutant le mot "HORR" qui veut dire "LIBRE", alors que ce "HORR" annonce en même temps que sa création, son allégeance au pouvoir, et son soutien au programme présidentiel...
Programme sans définition véritable, changeant, et adulé comme s'il émanait d'une divinité, transmuté en véritable religion aux multiples ramifications, répandue non pas à travers la bonne parole, mais à coups de milliards provenant de la rente pétrolière.
Dans l'espoir de mêler le vrai au faux, Saïd Bouteflika aux commandes de leviers pour lesquels il n'a reçu aucun mandat fut-il la falsification des résultats d'une quelconque élection pollue ce qui a échappé à son mort-vivant défunt-frère-président de façade, incapable de gérer le pays et d'assumer sa fonction usurpée, tente de se frayer un chemin vers la continuité de cette position de pouvoir providentiel... A cet effet ils constituent une multitude de partis comme le TAJ de Ghoul qui lui aussi se réclame de la mouvance présidentiel pour laquelle il a quitté non-seulement le parti HAMES et ses anciens camarades, mais aussi la mouvance islamiste...
IL reste aux autres de constituer un pôle anti-pouvoir dans l'espoir de sortir de cette impasse dans laquelle le clan Boutefika nous enfonce...
"En effet, malgré plusieurs courriers de protestation et une demande d’audience restée vaine, le ministère de l’Intérieur a autorisé la tenue du congrès constitutif d’un nouveau parti se dénommant «Jil Jadid Horr».
A Jil Jadid de Soufiane Djilali, on s’interroge sur cette décision d’autant plus que le ministère d’Ould Kablia avait précédemment montré son inflexibilité dans son refus d’agréer de nouveaux partis pour de vagues ressemblances de sigles. Le pouvoir veut-il créer la confusion car Jil Jadid dérangerait quelque part ?"
La question que je me pose, est de savoir si ce pouvoir se rend compte à quel point il est en train de polluer la scène politique.
Peu importe si Jil Jadid est bon ou pas, il a ses adeptes et ses détracteurs, mais il a au moins le mérite d'exister, de vouloir participer à la construction du pays, avec un esprit démocratique ( seul parti qui inclut dans ses statuts la limitation à deux mandats à la présidence...), une opposition franche et déclarée au pouvoir, essayant de mettre en place une brèche pour la sortie de crise sans violence, et dans le respect des institutions...
Eh! Ben, c'est déjà de trop, on pousse à la création d'un parti qui reprend le même nom, en rajoutant le mot "HORR" qui veut dire "LIBRE", alors que ce "HORR" annonce en même temps que sa création, son allégeance au pouvoir, et son soutien au programme présidentiel...
Programme sans définition véritable, changeant, et adulé comme s'il émanait d'une divinité, transmuté en véritable religion aux multiples ramifications, répandue non pas à travers la bonne parole, mais à coups de milliards provenant de la rente pétrolière.
Dans l'espoir de mêler le vrai au faux, Saïd Bouteflika aux commandes de leviers pour lesquels il n'a reçu aucun mandat fut-il la falsification des résultats d'une quelconque élection pollue ce qui a échappé à son mort-vivant défunt-frère-président de façade, incapable de gérer le pays et d'assumer sa fonction usurpée, tente de se frayer un chemin vers la continuité de cette position de pouvoir providentiel... A cet effet ils constituent une multitude de partis comme le TAJ de Ghoul qui lui aussi se réclame de la mouvance présidentiel pour laquelle il a quitté non-seulement le parti HAMES et ses anciens camarades, mais aussi la mouvance islamiste...
IL reste aux autres de constituer un pôle anti-pouvoir dans l'espoir de sortir de cette impasse dans laquelle le clan Boutefika nous enfonce...