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Réfugiés syriens : Le RAS-LE-BOL Turc

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  • Réfugiés syriens : Le RAS-LE-BOL Turc

    23/09/2012

    Ce dimanche soir, la chaîne publique belge (RTBF) a une fois encore eu le courage de décrire la tragédie syrienne dans sa complexité en diffusant un reportage sur les répercussions turques de la tragédie syrienne.

    Intitulé "Réfugiés syriens : Le ras-le-bol turc", le reportage réalisé à Antioche dans le Sud de la Turquie commence par le témoignage poignant d'une espionne connue de l'Armée "syrienne" "libre" (ASL) .
    La RTBF interroge ensuite des habitants de la ville voisine de Samandag (Sweydiye en arabe) qui s'inquiètent de la présence de groupes armés syriens.



    Pour les habitants de cette petite ville paisible où cohabitent Arabes alaouites, sunnites, chrétiens et arméniens , les groupes armés syriens qui utilisent le territoire turc pour lancer des attaques militaires dans le pays voisin menacent la coexistence pacifique de la région.

    Refik Eryilmaz, député kémaliste (opposition parlementaire) fait lui aussi partie des personnes interviewées. Il y a quelques semaines, Refik Eryilmaz et ses camardes de parti s'étaient vu refuser l'accès au camp de réfugiés syriens d'Apaydin par des soldats de l'armée turque. Le député avait voulu en savoir plus après que des habitants de la région ait remarqué la présence de terroristes syriens et de djihadistes "internationalistes" à l'intérieur et autour de ces camps.

    Comme la plupart des habitants de Samandag et d'Antioche, Eryilmaz regrette l'arrêt du commerce transfrontalier et s'inquiète du climat de méfiance intercommunautaire qui s'installe des suites de la guerre syrienne.

    Ce n'est pas la première fois qu'une équipe de la RTBF va à contre-courant dans le dossier syrien. L'année dernière, des reporters de la RTBF avaient eu l'audace d'évoquer les souffrances des Syriens se trouvant de l'autre côté de la ligne de front.

    Cette aventure journalistiques menée à l'intérieur des lignes ennemies leur avait coûté une attaque à peine voilée de la part d'une patrouille pro-ASL de la presse belge.

  • #2
    çà change des nouvelles vues sous l'angle de la majorité de la presse européenne

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    • #3
      Beaucoup de ces habitants sont alaouite, pas etonnant du tout. Au lieu de soutenir la demochratie, ils soutiennent leur correligionnaire alaouite

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