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Alger obtient la tête du patron de Sanofi Algérie

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  • Alger obtient la tête du patron de Sanofi Algérie

    Le groupe pharmaceutique tente d'apaiser ses relations avec Alger. Dans le collimateur des autorités algériennes depuis le scandale des surfacturations, le directeur général de Sanofi Algérie est remplacé.
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    Le groupe Sanofi, condamné pour surfacturations en Algérie, a désigné un nouveau directeur général à la tête de sa filiale algérienne pour apaiser ses relations avec les autorités locales. Thierry Lefebvre vient de céder sa place à Pierre Labbé, qui occupait précédemment les fonctions de directeur général de Diamal, filiale du groupe CFAO en Algérie, distributeurs de plusieurs marques de véhicules (Open, Chevrolet...). Le service de communication de Sanofi Algérie confirme le changement. "J'ai passé près de trois années très enrichissantes à la tête de Sanofi Algérie où j'ai eu la chance de rencontrer et de collaborer avec de grands professionnels, compétents et dévoués. Pierre Labbé, qui me remplacera le 28 octobre prochain, poursuivra les missions de Sanofi en liaison étroite avec les autorités et les professionnels de santé, au service des patients algériens", a déclaré Thierry Lefebvre, dont le départ a été réclamé par Alger depuis l'éclatement début 2011 du scandale des surfacturations.

    Pourtant, le groupe Sanofi avait renouvelé sa confiance à Thierry Lefebvre au lendemain de sa condamnation en juin dernier par un tribunal d'Alger à un an de prison avec sursis dans cette affaire, après une plainte des douanes algériennes. La filiale algérienne du géant pharmaceutique français a été également condamnée à une amende de 20 millions d'euros. La surfacturation des matières première des médicaments a été estimée, en 2012, à 153 millions de dollars contre 94 millions de dollars en 2011, par l'ancien ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès, à l'origine des déboires de Sanofi en Algérie.

    Sanofi, l'un des plus grands fournisseurs de médicaments de l'Algérie

    Le changement à la tête de Sanofi Algérie intervient dans un contexte difficile pour le groupe pharmaceutique, l'un des plus grands fournisseurs de médicaments pour l'Algérie qui importe annuellement pour plus de deux milliards d'euros de produis pharmaceutiques. Sanofi détient 12 % de ce marché avec un chiffre d'affaires de 210 millions d'euros en 2011. Sanofi Algérie, qui vient de lancer une campagne publicitaire pour améliorer son image dans le pays, est toujours poursuivi pour surfacturations. Un deuxième procès devrait avoir lieu prochainement.

    Si le départ de Thierry Lefebvre a été bien accueilli, la désignation de Pierre Labbé provoque quelques grincements dans les milieux de la santé en Algérie au moment où les filiales algériennes de tous les grands laboratoires pharmaceutiques sont dirigées par des managers algériens.

    Hamid Guemache, à Alger (LATRIBUNE.FR)

  • #2
    SANOFI premier labo français et algérien se place en quatrième position mondiale

    depuis son installation en Algérie, il s'est contenté de construire des bâtiments où il a installé des machines pour mettre en boites des matières premières fabriquées en Chine. De la matière du médicament jusqu'au papier d'emballage tout est importé et comme dit surfacturé.

    l'Algérie a obtenu la tête du DG ripoux de SANOFI

    les Français celle de DOA et mettent en branle leur publicité et leurs énormes moyens de corruption et de pression diplomatique.

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    • #3
      Pourtant, le groupe Sanofi avait renouvelé sa confiance à Thierry Lefebvre au lendemain de sa condamnation en juin dernier par un tribunal d'Alger à un an de prison avec sursis dans cette affaire, après une plainte des douanes algériennes. La filiale algérienne du géant pharmaceutique français a été également condamnée à une amende de 20 millions d'euros. La surfacturation des matières première des médicaments a été estimée, en 2012, à 153 millions de dollars contre 94 millions de dollars en 2011, par l'ancien ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès, à l'origine des déboires de Sanofi en Algérie.
      Deux ans de suite, on surfacture pour un cumul de 247 millions de dollars et Sanofi n'ecope que de 20 millions d'amende(QUINZE FOIS MOINS QUE LE PRÉJUDICE)!!!!!!!!!!
      Et par dessus le marché, l'indélicat escroc n'écope que d'un an de boite sarkhadji(nom d'une prison sur les hauteurs d'Alger) avec sursis, quelle justice repoublikaine !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
      Des FA calés en droit peuvent-ils nous éclairer sur ce tour de passe passe ? Et le hic de l'affaire on le pousse dans le premier vol vers FAFA & le scandale est étouffé: loin des yeux moins de curieux, pas de remous !!!!!!!!!!!!
      Et le ministere public ainsi que la partie civile (ministère de la santé) n'ont pas fait appel !!!!!!!
      ROUHI YA DZAÏR ROUHI !!!!!!!!!!!

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      • #4
        Deux ans de suite, on surfacture pour un cumul de 247 millions de dollars et Sanofi n'ecope que de 20 millions d'amende(QUINZE FOIS MOINS QUE LE PRÉJUDICE)!!!!!!!!!!
        L'amende devrait être :
        247 M x 3 = 741 M $

        On dirait qu'ils ont passé l'éponge, allez un petit 20 M $ on change le chef et on recommence!
        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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