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L’Aspect physique de notre Prophète Mohamed (saaws)
II était (S.A.W.S.) d’une stature dépassant légèrement la moyenne, avec de larges épaules et un corps parfaitement proportionné.Il avait la poitrine large et le corps uni, sans bourrelets nulle part, avec une ligne de poils qui reliait le haut de la poitrine à son nombril sans qu’il y en ait d’autres sur le haut du corps ou sur le ventre. Il avait trois grains de beauté à la base du cou, dont l’un était caché par le vêtement et les deux autres apparents.
Ses épaules étaient de grandes dimensions, avec des poils touffus. L’extrémité des os était toujours épaisse. Sa poitrine était vaste et entre les deux omoplates se trouvait le sceau de la Prophétie, juste à la descente de l’épaule droite. Sur ce sceau, il y avait un grain noir virant au jaune et, tout autour, des poils en touffe comme une crinière de cheval. Le haut de ses bras et ses avant-bras étaient épais, ses poignets longs. Il avait la paume vaste, avec des bords arrondis et ses doigts ressemblaient à des baguettes d’argent. L’intérieur de sa main était plus doux que la soie, pareil à celui d’un marchand de parfums. Quand il posait la main sur la tête d’un enfant, on reconnaissait ensuite celui-ci parmi tous les autres, comme si l’on avait placé sur sa tête des feuilles d’églantier.
En dessous de la tunique, il avait la cuisse et la jambe de corpulence moyenne, avec l’extrémité saillante. Sa chair était ferme, comme s’il se trouvait encore en son premier âge, les années n’avaient pas de prise sur lui.
Il avait le teint éclatant qui tenait de la blancheur de la lune [badr], la tête de grandes dimensions, le front large. Il avait le plus beau des cous, qu’on ne pouvait qualifier ni de long ni de court. Il ne l’exposait pas au soleil et au vent, en sorte que l’on croyait voir le col d’une aiguière d’argent avec des reflets d’or.
Ses grands yeux dessinaient de larges ovales protégés par des cils d’une longueur exceptionnelle et des sourcils bien dessinés, allongés, légèrement arqués séparés l’un de l’autre en leur milieu par une surface nette comme de l’argent pur. Ses yeux étaient noirs, grands et beaux où pétillait une flamme. Dans la plupart des descriptions les plus anciennes, il est dit que ses yeux étaient noirs, mais ou deux auteurs mentionnent des yeux bruns, et même brun clair.
Sa chevelure et sa barbe étaient noires, denses et légèrement bouclées. Les cheveux retombaient à mi-chemin entre les lobes des oreilles et les épaules, et la barbe était taillée à une longueur qui s’accordait à celle des cheveux. D’après Ibn Abbas (R.A), le Messager d’Allâh (S.A.W.S.) laissait ses cheveux descendre sur son front alors que les polythéistes séparaient les leurs au milieu de la tête. Les gens du livre laissaient leurs cheveux descendre sur leur front et le Prophète (S.A.W.S.) aimait faire comme eux en l’absence d’un ordre disant le contraire. Et puis il séparait ses cheveux en deux parties[1].
Il avait un nez aquilin et une bouche large et finement dessinée qui restait visible malgré le port de la moustache, dont il ne laissait jamais les poils descendre sur la lèvre supérieure. Ses dents écartées brillaient comme des grêlons.
En plus de sa beauté naturelle, il y avait sur son visage une lumière — la même que celle qui avait émané de son père, mais plus intense encore chez le fils — et cette lumière se voyait surtout sur son large front, ainsi que dans ses yeux qui étaient d’une remarquable clarté.Il marchait, comme s’il avait été arraché d’un rocher, et se déplaçait comme de l’eau qui coule sur une pente. Il se penchait en avant quand il esquissait un pas et progressait doucement, sans se balancer. Quand il se tournait en arrière, il le faisait avec tout le corps, sans bouger le cou. Sa peau était claire, mais hâlée par le soleil. Un autre rapporteur dit que sa peau avait la blancheur[2]de la perle et le parfum du musc. Celui qui l’a décrit ainsi a ajouté : « Je n’ai vu personne qui lui ressemblât, ni avant ni après l’avoir rencontré. »
[1]Al-Boukhari (hadith n°3365) et Mouslim (n°2336).
Ses épaules étaient de grandes dimensions, avec des poils touffus. L’extrémité des os était toujours épaisse. Sa poitrine était vaste et entre les deux omoplates se trouvait le sceau de la Prophétie, juste à la descente de l’épaule droite. Sur ce sceau, il y avait un grain noir virant au jaune et, tout autour, des poils en touffe comme une crinière de cheval. Le haut de ses bras et ses avant-bras étaient épais, ses poignets longs. Il avait la paume vaste, avec des bords arrondis et ses doigts ressemblaient à des baguettes d’argent. L’intérieur de sa main était plus doux que la soie, pareil à celui d’un marchand de parfums. Quand il posait la main sur la tête d’un enfant, on reconnaissait ensuite celui-ci parmi tous les autres, comme si l’on avait placé sur sa tête des feuilles d’églantier.
En dessous de la tunique, il avait la cuisse et la jambe de corpulence moyenne, avec l’extrémité saillante. Sa chair était ferme, comme s’il se trouvait encore en son premier âge, les années n’avaient pas de prise sur lui.
Il avait le teint éclatant qui tenait de la blancheur de la lune [badr], la tête de grandes dimensions, le front large. Il avait le plus beau des cous, qu’on ne pouvait qualifier ni de long ni de court. Il ne l’exposait pas au soleil et au vent, en sorte que l’on croyait voir le col d’une aiguière d’argent avec des reflets d’or.
Ses grands yeux dessinaient de larges ovales protégés par des cils d’une longueur exceptionnelle et des sourcils bien dessinés, allongés, légèrement arqués séparés l’un de l’autre en leur milieu par une surface nette comme de l’argent pur. Ses yeux étaient noirs, grands et beaux où pétillait une flamme. Dans la plupart des descriptions les plus anciennes, il est dit que ses yeux étaient noirs, mais ou deux auteurs mentionnent des yeux bruns, et même brun clair.
Sa chevelure et sa barbe étaient noires, denses et légèrement bouclées. Les cheveux retombaient à mi-chemin entre les lobes des oreilles et les épaules, et la barbe était taillée à une longueur qui s’accordait à celle des cheveux. D’après Ibn Abbas (R.A), le Messager d’Allâh (S.A.W.S.) laissait ses cheveux descendre sur son front alors que les polythéistes séparaient les leurs au milieu de la tête. Les gens du livre laissaient leurs cheveux descendre sur leur front et le Prophète (S.A.W.S.) aimait faire comme eux en l’absence d’un ordre disant le contraire. Et puis il séparait ses cheveux en deux parties[1].
Il avait un nez aquilin et une bouche large et finement dessinée qui restait visible malgré le port de la moustache, dont il ne laissait jamais les poils descendre sur la lèvre supérieure. Ses dents écartées brillaient comme des grêlons.
En plus de sa beauté naturelle, il y avait sur son visage une lumière — la même que celle qui avait émané de son père, mais plus intense encore chez le fils — et cette lumière se voyait surtout sur son large front, ainsi que dans ses yeux qui étaient d’une remarquable clarté.Il marchait, comme s’il avait été arraché d’un rocher, et se déplaçait comme de l’eau qui coule sur une pente. Il se penchait en avant quand il esquissait un pas et progressait doucement, sans se balancer. Quand il se tournait en arrière, il le faisait avec tout le corps, sans bouger le cou. Sa peau était claire, mais hâlée par le soleil. Un autre rapporteur dit que sa peau avait la blancheur[2]de la perle et le parfum du musc. Celui qui l’a décrit ainsi a ajouté : « Je n’ai vu personne qui lui ressemblât, ni avant ni après l’avoir rencontré. »
[1]Al-Boukhari (hadith n°3365) et Mouslim (n°2336).
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