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Hotellerie : Mehri créera 6000 emplois en Algérie

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  • Hotellerie : Mehri créera 6000 emplois en Algérie

    Mehri créera 6000 emplois en Algérie

    Le groupe Mehri annonce la création en Algérie de 6000 emplois dans l’hôtellerie en partenariat avec le géant français Accor, et avance la date du 22 octobre prochain pour la réouverture de l’hôtel Royal à Oran.
    lundi 17 juillet 2006.


    L’établissement, dont les travaux ont été très longs et coûteux, est pourvu de 102 chambres, des suites, d’un hammam traditionnel, d’un sauna et d’une bibliothèque et occupera à plein temps 180 à 200 travailleurs. Une première sélection se fera en septembre et le personnel retenu sera formé sur place. Mais indépendamment de cet hôtel qui reste sa propriété privée, M. Djillali Mehri s’étalera très longuement sur les différents projets hôteliers qu’il compte concrétiser dans le cadre de son partenariat avec la chaîne internationale Accord. “En fait Accord fait surtout de la gestion, grâce à mes rapports privilégiés avec les membres du conseil d’administration, j’ai réussi à impliquer ce trust dans l’investissement en Algérie.
    En l’espace d’une année seulement, nous avons réussi à monter la société, à libérer le capital qui est de 1 milliard de dinars, à faire les statuts et à obtenir le registre du commerce. Mieux encore, nous avons réussi à acheter des terrains, à lancer des avis d’appel d’offres et dans certains cas même à commencer les premiers travaux de terrassement”. Sur les 36 agglomérations qui seront touchées par ces investissements hôteliers, le groupe Mehri a dégagé une première sélection des dix plus grandes villes d’Algérie dont Alger bien sûr, Oran, Constantine, Mostaganem, Mascara entre autres. Pour ce qui est de la capitale, les assiettes de terrain ont été acquises (au niveau de Dar El-Beïda), les entreprises de construction bientôt ciblées (surtout étrangères du fait de la consistance des projets) et les différents permis réglés.
    Des entreprises turques pour le gros œuvre et françaises vont commencer incessamment le terrassement du futur hôtel Ibiso. “Cet établissement, dira M. Mehri, qui sera réalisé dans les environs de l’aéroport, s’adressera surtout aux bourses moyennes et sa clientèle viendra des petites et moyennes entreprises. Si tout va bien, il sera opérationnel dans deux ans”. S’agissant de Constantine, le groupe vient de racheter le seul et grand terrain encore disponible au centre-ville d’une superficie de 6 000 m2. L’établissement, un Ibis également, comprendra 300 chambres dont 140 en 5 étoiles et 160 en 4 étoiles. Quant à Oran dans l’ouest de l’Algérie, le groupe s’est montré apparemment plus entreprenant puisqu’il envisage de construire dans l’environnement même de l’hôtel Sheraton un ensemble hôtelier de deux établissements, un Ibis 3 étoiles et un Novotel 5 étoiles haut de gamme de 130 chambres.

  • #2
    Djillali Mehri à Oran
    « Nous avons perdu beaucoup de temps »
    Djillali Mehri a organisé, hier à Oran, un point de presse où il a annoncé, entre autres, l’ouverture prochaine de son établissement hôtelier, Le Royal, situé sur le boulevard de la Soummam, à Oran.

    En fait, cette rencontre avec la presse a été provoquée par un incident avec des riverains qui s’offusquaient du déplacement d’un palmier qui gênait l’entrée de son hôtel dont l’ouverture officielle est prévue pour le mois d’octobre. A ce propos, Djillali Mehri nous confiera : « Je suis un homme qui voue un profond respect à la nature. J’ai planté à travers l’Algérie 60 000 palmiers sans l’aide de personne, car j’ai ouvert les yeux sur cet arbre du désert. J’ai aménagé plusieurs espaces publics à Oran. » Abordant Le Royal, notre interlocuteur dira : « Cet établissement hôtelier est le plus bel hôtel cinq étoiles du pays et même d’Afrique. » Et d’ajouter : « Il sera à lui seul une destination, car la ville d’Oran mérite une infrastructure raffinée et de classe. » En marge de cette rencontre, Djillali Mehri reviendra, avec la presse locale, sur les nombreux investissements et projets consentis par son groupe. Il annoncera l’achat de plusieurs assiettes foncières à travers le pays (Alger, Oran, Constantine, Tlemcen…) pour la réalisation, dans le cadre d’un partenariat avec le groupe français Accor, de plusieurs hôtels Ibis de trois et quatre étoiles dont le financement est assuré à hauteur de 40% par les actionnaires et 60% par un emprunt bancaire. Il dira à ce propos qu’une société par action, Sieha, au capital social d’un milliard de dinars, a été créée et un an après sa création, elle a prospecté une dizaine de villes pour son implantation. L’investissement global représente 250 millions d’euros, la réalisation de 3600 chambres et la création de 5 800 emplois directs et autant d’emplois indirects. A propos de ce partenariat, Djillali Mehri nous confiera : « Le groupe Accor n’investit jamais, il est surtout porté sur la gestion, c’est grâce à mes relations que j’ai pu les convaincre d’investir en Algérie et de nous accompagner dans ce projet. » Toujours sur le volet investissements, notre interlocuteur annoncera le lancement prochain d’un hôtel Ibis de 264 chambres à Alger, mitoyen du Mercure, et d’un ensemble hôtelier à Oran, mitoyen du Sheraton Oran. Cet ensemble comprendra, sur une assiette foncière de 15 000 m2, un hôtel Novotel cinq étoiles, un hôtel Ibis de trois et quatre étoiles et deux tours commerciales. Sur un autre registre, notre interlocuteur nous confiera : « L’avenir de l’Algérie, c’est le tourisme et l’agriculture. Mais il est regrettable que pour l’acquisition d’une assiette foncière, les pouvoirs publics ne fassent aucune différence entre un promoteur immobilier, dont l’investissement est amorti au bout d’une année, et un véritable investisseur. D’où l’importance d’instituer des fourchettes de prix en fonction du type et de l’importance de l’investissement. » Et de conclure : « Nous avons perdu beaucoup de temps. »

    Ahcene S.A.

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    • #3
      Je trouve que Mehri et Rabrab sont les seuls investisseurs privés algériens qui pensent à faire des projets ambitieux créateurs d'emplois. J'ai vu l'hotel Royal, nouveau Sofitel d'Oran, il est vraiment beau. Mehri à raison nous avons perdu beaucoup de temps. Il faut aller de l'avant maintenant.
      Dernière modification par shadok, 17 juillet 2006, 22h29.
      Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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      • #4
        j'espere qu'ils n'aurons pas les meme problemes que khalifa.

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        • #5
          Khalifa n'a pas eu des problèmes..... il s'en est crée à la pelle.
          Rebrab, Mehri .... c'est pas des personnages sulfureux. Khalifa, c'est un peu le "fils Basri" algerien.

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          • #6
            Nos premiers Capitaines d'Entreprises

            De l'Algerie moderne .

            Ils ont investis tôt ..

            L'Algerie est grande et les opportunités sont immenses .

            Sans nul doute que d'autres grands capitaines Algeriens vont rejoindre Abrab et Mehri ..

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            • #7
              @auscasa

              >> j'espere qu'ils n'aurons pas les meme problemes que khalifa.

              Mehri et Rabrab sont des hommes d’affaires sérieux de longue date. Rafik Khalifa est un homme d'affaires flamboyant qui a surgi du néant. Il a créé un empire dans le but était le blanchissement d’argent.
              Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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              • #8
                Khalifa le pantin des généraux

                Mehri et Rabrab sont des hommes d’affaires sérieux de longue date. Rafik Khalifa est un homme d'affaires flamboyant qui a surgi du néant. Il a créé un empire dans le but était le blanchissement d’argent.
                Oui justement Rafik Khalifa était un pur inconnu qui est arrivé de nul par. La vraie histoire raconte que Rafik Khalifa était le pantin des généraux il blanchissait des milliards à tour de main pour leurs comptes. En moins de deux ans Rafik Khalifa possédait déjà une compagnie aérienne, une compagnie maritime, plusieurs compagnie de bus, il était l'un des gros actionnaires de Saïdal, il a créé une chaine de télévision, plusieurs entreprises BTP, il avait des intérêts dans la communication il possédait une banque qui a causée la faillite de milliers d'entreprises et de familles algériennes. L'histoire raconte de Rafik commençait à faire de l'ombre aux généraux en leur faisant du chantage en jouant sur le question du qui tu tues qui ? Son jeu a fini par lui être fatal nos généraux se sont occupé de lui et ils l'ont coupés court.

                http://www.algerie-dz.com/article1711.html

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