Voilà ce que donne la nomination des enfants gâtés de "bonnes familles" à la direction des sociétés semi public ou à apparence privée !!!!!!
Le tribunal de grande instance de Montpellier (France) devait se prononcer hier, vendredi 14 septembre, sur la transformation en saisie exécution de la saisie conservatoire des navires du groupe Comarit-Comanav ferry Marrakech, Bni Nsar et Bilad
Une fois le jugement prononcé, la vente aux enchères des navires pourrait avoir lieu, dans le délai d’un mois.
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Le PDG du groupe Comarit-Comanav ferry, Abdelali Abdelmoula, qui avait promis une solution à la crise durant cette saison d’automne, n’a toujours pas annoncé d’avancées majeures dans ses discussions avec des repreneurs potentiels. De même, à ce jour, aucune nouvelle sur la mise en redressement judiciaire du groupe n’a été confirmée alors qu’elle avait été annoncée il y plus de deux mois.
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Aujourd’hui, l’actif et le passif de la compagnie maritime marocaine Comarit-Comanav ferry compte principalement :
— 11 navires immobilisés En France , En Espagne et au Maroc : Al Mansour, Marrakech, Marrakech Express, Mistral Express, Ibn Battouta, Boughaz, Banassa, Bni Ansar, Berkane, Biladi, Bissat et Boraq;
— Plusieurs mois de retard dans le paiement des salaires et de cotisations sociales pour plus de 1800 salariés;
— 400 Millions de DH de dettes fournisseurs;
— 1,2 Milliard de DH de dettes Bancaires.
Si les créances salariales ne sont toujours pas placées au premier rang, un arrêt de la Cour de cassation a admis que les tribunaux français sont compétents pour juger de la créance salariale d’un marin étranger lorsque son navire est saisi en France.
Le Groupe fait face également à une autre menace, celle de se voir retirer par l’autorité compétente des autorisations d’exploitation des lignes dont il détient la jouissance, et cela pour défaut du respect de l’engagement de performance souscrit dans le cahier des charges.
http://www.lejournaldetanger.com/article.php?a=4007
Le tribunal de grande instance de Montpellier (France) devait se prononcer hier, vendredi 14 septembre, sur la transformation en saisie exécution de la saisie conservatoire des navires du groupe Comarit-Comanav ferry Marrakech, Bni Nsar et Bilad
Une fois le jugement prononcé, la vente aux enchères des navires pourrait avoir lieu, dans le délai d’un mois.
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Le PDG du groupe Comarit-Comanav ferry, Abdelali Abdelmoula, qui avait promis une solution à la crise durant cette saison d’automne, n’a toujours pas annoncé d’avancées majeures dans ses discussions avec des repreneurs potentiels. De même, à ce jour, aucune nouvelle sur la mise en redressement judiciaire du groupe n’a été confirmée alors qu’elle avait été annoncée il y plus de deux mois.
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Aujourd’hui, l’actif et le passif de la compagnie maritime marocaine Comarit-Comanav ferry compte principalement :
— 11 navires immobilisés En France , En Espagne et au Maroc : Al Mansour, Marrakech, Marrakech Express, Mistral Express, Ibn Battouta, Boughaz, Banassa, Bni Ansar, Berkane, Biladi, Bissat et Boraq;
— Plusieurs mois de retard dans le paiement des salaires et de cotisations sociales pour plus de 1800 salariés;
— 400 Millions de DH de dettes fournisseurs;
— 1,2 Milliard de DH de dettes Bancaires.
Si les créances salariales ne sont toujours pas placées au premier rang, un arrêt de la Cour de cassation a admis que les tribunaux français sont compétents pour juger de la créance salariale d’un marin étranger lorsque son navire est saisi en France.
Le Groupe fait face également à une autre menace, celle de se voir retirer par l’autorité compétente des autorisations d’exploitation des lignes dont il détient la jouissance, et cela pour défaut du respect de l’engagement de performance souscrit dans le cahier des charges.
http://www.lejournaldetanger.com/article.php?a=4007
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