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C'est pour quand la fin de la grève des Travailleurs des œuvres universitaires ?

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  • C'est pour quand la fin de la grève des Travailleurs des œuvres universitaires ?

    La fin de la grève universitaire
    Avez vous une réponse officielle ?
    La vie est belle ...

  • #2
    Allo !

    la grève de quoi ?

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    • #3
      deja une greve ....:22:
      Quand on ne travaillera plus les lendemains des jours de repos, la fatigue sera vaincue.

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      • #4
        ? .... aya meme samsouma a fait la greve pour me repondre lol

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        • #5
          wakila c'est grave qu'on ne l sait pas yazou
          Quand on ne travaillera plus les lendemains des jours de repos, la fatigue sera vaincue.

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          • #6
            Quelle greve???? Deja????

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            • #7
              surement glorious, meaculba :22:

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              • #8
                Sorry yazou !!

                La grève des employés de l'université
                La vie est belle ...

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                • #9
                  quel employes???? Les enseignants??

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                  • #10
                    c'est la greve des employés de l'administration des différends départements universitaire ainsi que les autres agents ( transport ,resto ..........) .

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                    • #11
                      Envoyé par semsouma'
                      La fin de la grève universitaire
                      Avez vous une réponse officielle ?
                      Désolée celà se présente pas sous les meilleurs auspices:

                      La grève enclenchée, le 23 septembre, par les employés des œuvres universitaires sera poursuivie jusqu’à satisfaction de la plateforme de revendications soumise au ministère de tutelle.

                      C’est l’une des décisions qui ont été prises, jeudi dernier, lors de la réunion tenue à Bordj Bou Arréridj entre les représentants syndicaux des travailleurs (UGTA) de 16 wilayas du pays. Les participants à cette rencontre ont rejeté carrément les résultats de la réunion ayant regroupé les membres de leur fédération et le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. «Les décisions prises à l’issue de ladite rencontre ne répondent pas aux aspirations des travailleurs et ne permettent pas de concrétiser leurs revendications», lit-on dans le communiqué sanctionnant la réunion de Bordj Bou Arréridj.

                      Les rédacteurs du document, dont nous disposons une copie, évoquent «la nécessité de poursuivre la grève et la dénonciation des dépassements et des pressions exercées à l’encontre des grévistes et de leurs représentants». Ils dégagent aussi toute responsabilité quant aux conséquences pouvant découler de ce genre de comportement à l’avenir et saluent la mobilisation, sans faille, des travailleurs des cités universitaires qui ont répondu massivement au mot d’ordre du syndicat pour faire valoir leurs droits légitimes.

                      Il est utile de souligner, dans ce cadre, que ce mouvement de grève n’a pas été sans conséquences sur le fonctionnement de certains services, tels que la restauration et l’hébergement. Des centaines d’étudiantes n’ont pas encore bénéficié de chambres pendant les examens de rattrapage. Par ailleurs, de nombreux syndicalistes de l’UGTA disent avoir décidé d’observer un sit-in de protestation devant la Maison du peuple, à Alger, demain pour faire entendre leur voix. Les revendications des grévistes portent essentiellement sur la révision du statut des travailleurs des corps communs, l’abrogation de l’article 87 bis de la loi 90-11, l’augmentation des salaires avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008, la valorisation du point indiciaire qui doit passer de 45 à 90 DA et la régularisation de la situation des contractuels et des retraités.

                      «La plupart d’entre nous touchent moins de 18 000 DA. Moi, j’ai 16 ans de service, mais mon salaire de base ne dépasse même pas les 10 000 DA», se plaint un agent de sécurité à la cité universitaire Ziani Lounès de Boumerdès.
                      Ce père de quatre enfants affirme qu’il éprouve du mal à joindre les deux bouts et à subvenir aux besoins les plus élémentaires de sa petite famille, notamment après l’augmentation des prix de certains produits de large consommation. 

                      Ramdane Koubabi, -el watan

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