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Football - MCO : décès de Freha Abdelkader

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  • Football - MCO : décès de Freha Abdelkader

    L’ancien joueur du MCO et l’équipe nationale Abdelkader Freha dit Bekka est décédé lundi matin à l’age de 68 ans, suite a une occlusion intestinale.

    Freha surnommée «tête d’or» a fait les beaux jours du football oranais aux cotés de Nehari, Megueni, Beddiar, et Bessol. L’annonce de son décès a provoqué une vive émotion dans la ville d’Oran


    El Watan

  • #2
    Un trés grand joueur, trés sportif, trés fair play.

    Allah yarhmou oua iwwassa3 3lih
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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    • #3
      Un trés grand joueur, trés sportif, trés fair play
      Allah yarahmou !
      Grand chasseur de buts,mais je crois qu'il avait la mauvaise réputation de mettre KO ses adversaires par de coups de boule à la zizou ! A confirmer !

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      • #4
        mais je crois qu'il avait la mauvaise réputation de mettre KO ses adversaires par de coups de boule à la zizou ! A confirmer !
        Je te confirme que les Seuls coups de boules qu'il donnait c'était sur le ballon .

        Il etait grand de taille et était reputé pour ses buts de la tête .

        Dans le topic il est écrit qu'on le surnommé " tête d'or "
        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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        • #5
          le surnommé " tête d'or "
          Ses qualités footbalistiques sont indéniables, mais je crois ken assez hagar, comme par ex les joueurs de CRB de l'epoque n'oublie pas l'Algerie de ce temps joueur et policier ça donnait le "droit" à tous les dépassements !

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          • #6
            joueur et policier ça donnait le "droit" à tous les dépassements !
            Pas Freha, trés sportif .

            Par contre il y avait chez le CRB El Kabch qui etait mauvais perdant , et comme il etait en même temps flic, on lui passait tout .
            " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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            • #7
              Par contre il y avait chez le CRB El Kabch qui etait mauvais perdant , et comme il etait en même temps flic, on lui passait tout
              Alors Kalem et l'arriere gauche, je me rapelle plus son nom des vrais chikours sur le terain !
              Peut être que je me trempe mais ce qui est sûr Hadefi était un véritable libero avant l'heure et un Gentleman, je sais pas s'il est encore de ce monde, je l'aime bien lui !

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              • #8
                Alors Kalem et l'arriere gauche, je me rapelle plus son nom des vrais chikours sur le terain !
                Je pense que tu parles de Amar...
                mais ni Lalmas, ni Kalem n'étaient violents du tout.

                A cette époque, la violence était du côté de Khenchela et un peu à el Harrach.

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                • #9
                  Peut être que je me trempe mais ce qui est sûr Hadefi était un véritable libero avant l'heure et un Gentleman, je sais pas s'il est encore de ce monde, je l'aime bien lui !
                  Tuas raison un véritable Gentleman.

                  Il est toujours vivant, il à même était entraineur d'un club de nationale II, mais je n'ai plus souvenir de son nom .
                  " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                  • #10
                    Envoyé par BACHI
                    Je pense que tu parles de Amar...
                    mais ni Lalmas, ni Kalem n'étaient violents du tout.

                    A cette époque, la violence était du côté de Khenchela et un peu à el Harrach.
                    Oui c'est ça le fameux Amar, une vraie faucheuse de tibias, il enchainait pas 3 matchs sans se faire expulser et pourtant en ce temps là rare les arbitres qui osaient appliquer le règlement contre le grand CRB !
                    Si Kalem & elkabch n'étaient pas violents, alors moi je peux me reconsidérer un ange !

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                    • #11
                      Allah yera7mou.
                      Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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                      • #12
                        Salem

                        Miloud Hadefi (Arabic: ميلود هدفي‎; born in March 12, 1949 in Oran - died in June 17, 1994)

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                        • #13
                          La Tête d’Or du football algérien s’est éteinte

                          L’ancien international algérien, Abdelkader Fréha, est décédé lundi dans une clinique à Oran des suites d’une occlusion intestinale. L’ancien attaquant du MC Oran avait 69 ans. Si la nuit du samedi au dimanche a dû être belle pour l’équipe du MCO qui a contraint la JSK au partage de points, elle a aussi été dévastatrice pour un des plus grands footballeurs du pays : Abdelkader Fréha, l’une des légendes du football algérien et du MCO qu’il n’a jamais quitté d’ailleurs.


                          Ce décès touche des millions de personnes, même ceux qui ne l’ont pas connu ni vu jouer. Car la Tête d’Or, c’était un caractère bien trempé, une démarche reconnue entre mille, un sérieux et une conduite exemplaires, une générosité sans pareille, un capital sympathie qui dépassait toute mesure et une technique hors norme. Il n’y a aucun doute, les nombreux buts réussis de la tête ont marqué plusieurs générations qui restent encore sous le charme de sa technique et de sa double détente. C’est un grand footballeur africain qui raccroche à jamais ses crampons. L’ex-releveur de compteurs de la Sonelgaz et ses trois frères dont l’histoire est intimement liée au MCO, n’a connu qu’un seul club en l’occurrence le MCO.

                          L’attaquant vedette jouissait d’une grande popularité même si par la suite, le club d’El Hamri a connu d’autres noms tels les Belloumi, Bensaoula ou Tasfaout. Depuis la création du MCO en 1946, son frère Ahmed, Mohamed l’officier de l’ALN et Benyoucef, le gardien international de classe, et Abdelkader le benjamin de la famille ont juré fidélité au club d’El Hamri. Si les trois premiers ont joué de 1946 à 1956, Abdelkader fit ses premiers pas en 1962. Après avoir attiré tous les regards en étant jeune, le joueur spectaculaire autant qu’efficace, personnage fort et pas avare en gestes de classe, coqueluche de toute une ville a gagné des galons. Il a tellement brillé qu’à partir de la deuxième année il devint titulaire à part entière.


                          En club comme en sélection, son instinct de buteur, sa mentalité de guerrier, celui qui a vu le jour à El Hamri, a évolué en compagnie de ses potes et coéquipiers du même quartier Meguenine, Nehari, Bediar et Bessol, qui ont fait accéder le MCO en première division. En quelques années, il deviendra l’attaquant emblématique du MCO et de la sélection nationale algérienne (10 sélections) de la fin des années 1970 et du début des années 1960, aux côtés de grands noms du football algérien, inscrivant 5 buts avec les Fennecs. Il honora sa première sélection le 26 mai 1956 contre l’AS Saint Étienne et la dernière le 11 mai 1971 contre le Mali. L’idole des Hamraouas terminera sa carrière de joueur là où il l’avait commencée, c’est à dire à El Hamri dans la ville qui l’a vue naître un 29 octobre 1942. Son long parcours footballistique est plein d’exploits. Il a gagné la Coupe d’Algérie avec l’équipe oranaise et plusieurs autres titres. Son excellence dans le championnat algérien lui a ouvert les portes de l’équipe nationale. Il était unanimement considéré comme un joueur exemplaire. Depuis les tous premiers débuts de sa carrière footballistique dans l’équipe du MCO, il montra des signes précoces de créativité qui ont fait de lui, très rapidement, l’élément le plus important et le principal pilier de la formation d’El Hamri. Ainsi, avec son redoutable heading, il réalisa les buts les plus extraordinaires et battit les plus grands gardiens du championnat national. Abdelkader est considéré comme le plus grand avant-centre que le football algérien ait jamais connu. Il a forgé, pour lui-même et pour son équipe, une grande gloire qui le rendit digne de porter les couleurs algériennes. Le football va continuer sans lui, mais, pour autant, il nous accompagnera toujours car, à chaque fois que l’on regardera le gazon, notre pensée ira forcément vers Fréha Abdelkader, à jamais.

                          A ses amis, à ses enfants, à ses fans et à tous ceux à qui il est cher, notre pensée les accompagne. Adieu l’ami !


                          Par M. Gemmill La Tribune

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                          • #14
                            paix a son ame
                            g encore de vagues souvenirs de lui et du mco
                            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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