Tweet
La 4e édition du Festival international de théâtre de Béjaïa se tiendra du 29 octobre au 4 novembre prochains.L’événement coïncide, cette année, avec le cinquantenaire de l’indépendance et du théâtre algérien et sera placé sous cette même thématique et axée sur l’activité théâtrale en plein air, ou théâtre de rue, une façon de rendre au public son théâtre.
C’est ce qu’a essayé d’expliquer le commissaire du festival, Omar Fetmouche, également directeur du théâtre régional de Béjaïa, lors de la conférence de presse qu’il avait animée, dimanche dernier à la salle de conférences du complexe touristique Les Hammadites de Tichy.
Entouré de son staff, composé de huit personnes auxquels se joindront quatre cadres du théâtre national d’Alger pour les assister, l’orateur s’efforcera, tout au long de sa conférence, à expliquer l’avant-projet du programme, tout en répondant aux questions pertinentes des journalistes. Plusieurs artistes et personnalités du monde théâtral, venus de dix sept pays du Maghreb, d’Afrique, d’Arabie et d’Europe, animeront les différentes contrées de la wilaya de Béjaïa et même de Tizi Ouzou, Batna et Alger
. La République sahraouie (RASD), la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Togo et le Bénin inaugureront leur première participation en Algérie. Il est prévu une vingtaine de représentations par jour, tous spectacles confondus. Des monogrammes, des spectacles, des lectures de pièces théâtrales, un colloque scientifique, des ateliers sur la critique théâtrale, sur le chant, sur l’écriture dramatique, toutes ces activités y seront programmées, y compris des spectacles spéciaux tels que celui que présentera une troupe d’aveugles.
Plus d’une trentaine de sites, à Béjaïa ville, Tichy, Bordj Mira, Amizour, Timezrit, Akbou et Tazmalt, accueilleront ces artistes qui égayeront les autochtones une semaine durant.
Quatre carrosses magiques, tirés par des chevaux, sont aussi programmés pour passer par plusieurs écoles du chef-lieu et des communes avoisinantes, pour amuser les élèves l’espace d’une récréation.
Omar Fetmouche, commissaire du festival, dit compter sur l’aide du directeur de la culture, de la directrice de la Maison de la culture, du directeur du Musée, du président du Comité des fêtes et de tout le monde, pour la réussite de cette édition et arriver à ce que les pays étrangers se bousculent pour décrocher le droit à une participation aux prochaines éditions du festival international de Béjaïa. Cette belle région côtière possède tout ce dont il faut pour attirer et les touristes et les artistes. Belle et altière, construite en amphithéâtre sur le flanc du mont Gouraya, la ville de Béjaïa fait face au deuxième golfe (Golfe de Gouraya) du monde après celui de Rio de Janeiro. Région touristique par excellence ayant une histoire civilisationelle et culturelle ancienne, les invités de ce festival ne seront que ravis d’y séjourner.
La dépêche de Kabylie
C’est ce qu’a essayé d’expliquer le commissaire du festival, Omar Fetmouche, également directeur du théâtre régional de Béjaïa, lors de la conférence de presse qu’il avait animée, dimanche dernier à la salle de conférences du complexe touristique Les Hammadites de Tichy.
Entouré de son staff, composé de huit personnes auxquels se joindront quatre cadres du théâtre national d’Alger pour les assister, l’orateur s’efforcera, tout au long de sa conférence, à expliquer l’avant-projet du programme, tout en répondant aux questions pertinentes des journalistes. Plusieurs artistes et personnalités du monde théâtral, venus de dix sept pays du Maghreb, d’Afrique, d’Arabie et d’Europe, animeront les différentes contrées de la wilaya de Béjaïa et même de Tizi Ouzou, Batna et Alger
. La République sahraouie (RASD), la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Togo et le Bénin inaugureront leur première participation en Algérie. Il est prévu une vingtaine de représentations par jour, tous spectacles confondus. Des monogrammes, des spectacles, des lectures de pièces théâtrales, un colloque scientifique, des ateliers sur la critique théâtrale, sur le chant, sur l’écriture dramatique, toutes ces activités y seront programmées, y compris des spectacles spéciaux tels que celui que présentera une troupe d’aveugles.
Plus d’une trentaine de sites, à Béjaïa ville, Tichy, Bordj Mira, Amizour, Timezrit, Akbou et Tazmalt, accueilleront ces artistes qui égayeront les autochtones une semaine durant.
Quatre carrosses magiques, tirés par des chevaux, sont aussi programmés pour passer par plusieurs écoles du chef-lieu et des communes avoisinantes, pour amuser les élèves l’espace d’une récréation.
Omar Fetmouche, commissaire du festival, dit compter sur l’aide du directeur de la culture, de la directrice de la Maison de la culture, du directeur du Musée, du président du Comité des fêtes et de tout le monde, pour la réussite de cette édition et arriver à ce que les pays étrangers se bousculent pour décrocher le droit à une participation aux prochaines éditions du festival international de Béjaïa. Cette belle région côtière possède tout ce dont il faut pour attirer et les touristes et les artistes. Belle et altière, construite en amphithéâtre sur le flanc du mont Gouraya, la ville de Béjaïa fait face au deuxième golfe (Golfe de Gouraya) du monde après celui de Rio de Janeiro. Région touristique par excellence ayant une histoire civilisationelle et culturelle ancienne, les invités de ce festival ne seront que ravis d’y séjourner.
La dépêche de Kabylie