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Algérie : le traquenard malien

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  • Algérie : le traquenard malien

    L’OTAN, c’est les Etats-Unis plus quelques armées parmi les plus puissantes du monde. L'OTAN c'est, aussi et surtout, un gigantesque background industriel et technologique militaire de pointe.

    En Afghanistan, l'OTAN se casse les dents, depuis plus de 10 ans, à pourchasser les talibans qui, loin d'être affaiblis, rendent coup pour coup et gagnent en force et en initiative.


    En comparaison, l'Algérie est un pays qui peine à sortir du sous-développement, qui n'a pas encore résolu son équation économique, qui importe ses fusils et leurs balles, ses blindés, ses avions et leurs pièces détachées.


    Malgré cela, l'Algérie est poussée à aller fourvoyer son armée au Mali. Pressions diplomatiques, actionnement de relais médiatiques (émissions, articles «analytiques» sur le non algérien…), toute la panoplie d'une propagande qui stigmatise le refus d'ingérence dans les affaires d'un autre pays.


    Une seule question n'est pas posée :


    «Pourquoi l'armée algérienne devrait-elle pouvoir faire ce qui pourrait sans grand doute embourber les forces de l'OTAN ?».

    Question qui en entraîne une autre :

    «Et si le Mali n'était qu'un pion sacrifié de l'échiquier pour piéger l'Algérie ?».

    Aminata Traoré avait déclaré :


    «Les Maliens et les Maliennes ainsi que l'opinion publique internationale doivent savoir que si la France et les Etats-Unis n'avaient pas transformé la résolution 1973 du Conseil de sécurité de ‘’No Fly Zone’’ en mandat de renverser le régime de Mouammar Kadhafi, les rebelles et les islamistes, qui occupent le Nord-Mali n'auraient pas pu disposer de l'arsenal qui fait leur force sur le terrain», résumant les origines de la problématique d'ensemble de la crise, aggravée par le blocage des armes achetées par le Mali.


    Sans pousser cette conclusion dans ses limites qui la laissent raisonnablement faire douter qu'il y ait eu «négligence» de ce fait dans le plan atlantiste.


    Ainsi, l'ANP ferait une promenade de santé dans le désert malien et s'en retournerait ceinte des lauriers de la «communauté internationale», alors que, en dehors des groupes islamistes armés, les Maliens manifestent à Bamako contre toute atteinte à leur souveraineté nationale. Leurs cibles sont clairement désignées.


    Ce sont les pouvoirs supplétifs de la néo-colonisation en cours :


    «A bas la Cédéao, à bas Blaise Compaoré (Burkina Faso), à bas Yayi Boni (président du Bénin), à bas Alassane Ouattara (Côte d'Ivoire), président de la Cédéao)».


    Les souverainistes sont organisés, principalement, dans la Coalition des patriotes maliens (Copam), née d'un accord entre 22 regroupements de partis, syndicats et associations, qui privilégie «le droit absolu du peuple malien à décider de son propre sort et ceci à Bamako».


    Le dernier appel de la Copam : «La lutte des démocrates et patriotes maliens et maliennes triomphera inéluctablement de toutes les manœuvres et agressions contre la concertation nationale souveraine et notre droit à libérer notre patrie par nos propres forces et l'aide des véritables amis du Mali».


    Le scénario occidental étant de faire en sorte que la Cédéao empêche «…la libération du Nord-Mali» par les forces maliennes et garantisse «la partition du Nord sous couvert de fédéralisme, plan soutenu par les puissances de l'OTAN».


    Une concertation nationale (associant, peut-être, y compris les rebelles du nord) est en train de se mettre en place, impulsée par la menace d'une intervention extérieure.


    Vraiment, l'ANP a autre chose à faire.


    Par Ahmed Halfaoui 02 octobre 2012

  • #2
    Un projet impérialo-sioniste clair : diviser, balkaniser, re-coloniser l'Afrique par l'intermédiaire de régimes corrompus africains, l'Algérie est dans le collimateur.

    Après la Libye, l'Algérie est visée, l'impliquer dans la dislocation de l'Afrique...

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    • #3
      un projet où El Marikane et les Français , bien que concurrents sur le terrain actuel risquent de trouver leurs comptes dans une nouvelle distribution des richesse locales dans le démembrement et le dessin de nouvelles frontières des pays sahéliens.

      ceux qui poussent à l'intervention de l'Algérie désirent l'inclure dans une guerre qui n'est pas la sienne, pour qu'elle devienne partie prenante dans un bourbier qui ne pourrai d'assécher que par les accords imposés par les Grands et l'acceptation par l'Algérie de la modification de ses frontières au nom des états prétendues ethniquement plus stable.

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      • #4
        Elgifari : exactement, mais c'est de la faute des gouvernement arabe qu'on est arrivé ainsi quand on voit l'injustice, la corruption faut pas s'étonner que ces pays sont facilement déstabilisable!

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        • #5
          Un projet impérialo-sioniste clair : diviser, balkaniser, re-coloniser l'Afrique par l'intermédiaire de régimes corrompus africains, l'Algérie est dans le collimateur.
          le projet iimpéralo-sioniste ne concerne pas que le monde musulman
          tous les pays qui possèdent les richesses indispensables à la vie des hommes et à la prospérité des multinationales sont dans le même collimateur.

          les frontières des états n'ayant plus de signification dans la mondialisation du libéralisme sauvage, la foi et en particulier l'Islam sont devenus le refuge de tous les révolutionnaires. Les musulmans sont obligés d'assumer dans un monde où la fourberie est reine et où les arabes sont considérés comme des experts dans le domaine.

          des Emiratis qui pour ridiculiser les Qataris viennent lâcher des outardes dans notre Sud ? Ne pas se tromper d'adversaire !

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          • #6
            +1 KHORE , d'ailleurs je me demande qui détient réellement nos diplomates?

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            • #7
              Quand il faut y aller, il faut y aller !
              On ne peut refuser la guerre tout le temps. Lorsque vous êtes agressé, lorsque le danger peut à tout moment vous submerger, et, surtout, lorsque vous êtes dans votre droit, que vous prenez la précaution de bien calculer votre coup et d’avoir la bénédiction de vos voisins et des grandes puissances, lorsque votre mission et vos objectifs sont bien expliqués à tout le monde, il faut y aller. Dans la vie des hommes, comme dans celle des nations, il y a des moments où il ne faut pas reculer… Aujourd’hui, un grand danger terroriste persiste à nos frontières et peut évoluer facilement en quelque chose de plus grave, d’imprévisible et peut-être d’incontrôlable. Aqmi, déjà en activité au nord du pays, est présente en force au Sahel. Le Mujao, nouveau-né de la terreur islamiste, a pris possession du Nord-Mali et active à quelques kilomètres de notre frontière. Combattre ces factions n’est pas un luxe. Car elles agissent clairement contre les intérêts de notre pays. Nous n’avons pas besoin d’une nouvelle politique pour les mettre hors d’état de nuire : cela fait partie de notre stratégie antiterroriste. Les harceler, les empêcher de nuire, les poursuivre aux confins algéro-maliens fait partie de nos engagements et de nos objectifs majeurs en matière de sécurité nationale. Agir, y compris en dehors de nos frontières, ce n’est pas se compromettre dans un conflit qui nous est étranger, ni aller forcément vers «l’embourbement» et moins encore un piège néocolonial. Les voix qui appellent l’Algérie à croiser les bras devant les attaques incessantes de ces véritables machines de guerre sont en décalage avec la dure réalité qui nous est imposée. La question cruciale qui se pose aujourd’hui est de savoir comment répondre à ces attaques, comment les neutraliser, comment rendre à ces grandes étendues leur visage pacifique et de zone de coopération et de rencontres. Et ce n’est certainement pas en appelant assidûment à une «solution pacifique» aux contours flous que l’on va régler définitivement le problème. Les derniers développements du dossier nord-malien font état de rencontres secrètes, à Alger, entre Ansar Dine et des officiers supérieurs maliens. Mais, nous dit-on, l’Algérie n’encourage ces négociations que si les groupes y participant ne sont pas «terroristes». C’est aussi la position des Américains. Au même titre que le mouvement pour l’autonomie de l’Azawad, Ansar Dine est une mouvance politique qui veut avoir son mot à dire dans la construction du nouveau Mali. Ce qui est loin d’être le cas pour le Mujao et Aqmi. Les laissera-t-on torpiller tous les efforts de paix, torturer et tuer des innocents, détruire des mausolées classés au patrimoine universel et enlever des diplomates ou se décidera-t-on à les attaquer de front et à les chasser de ces régions où elles n’ont rien à faire ? Ce sont souvent des non-Maliens qui composent ces groupuscules : d’anciens mercenaires ayant donné un coup de main à la révolution libyenne ou prêté main-forte aux forces loyales, des terroristes dépêchés du nord de l’Algérie, etc. A la faveur de l’éclatement de la Libye, ils ont pu se renforcer en puisant dans le formidable arsenal abandonné aux quatre coins de la Tripolitaine.
              Qui pour faire le sale boulot ?
              Si combattre le Mujao et Aqmi au Nord-Mali s’impose comme une nécessité inéluctable, alors qui pour accomplir le sale boulot ? L’Algérie, fidèle à sa ligne diplomatique, n’acceptera certainement pas que des troupes occidentales ou même africaines se déploient à quelques kilomètres de Bord-Badji-Mokhtar ! Alors qui pour aller déloger ces intrus et redonner à Gao, Tombouctou, Kidal, etc. leur charme séculaire ? C’est l’Algérie qui est interpellée parce qu’elle est la première à subir les attaques frontales de ces terroristes et parce qu’elle doit le faire en tant que puissance régionale impliquée dans la guerre locale contre le terrorisme. Lorsque nous évoquons la nécessité de concevoir un rôle pour l’Algérie dans toute action qui visera à nettoyer le nord du Mali, nous ne pensons pas à une guerre de longue durée qui mettra en péril nos troupes et fragilisera notre position sur le plan diplomatique. Nous parlons d’actions spontanées, limitées dans le temps, extrêmement précises, fondées sur le renseignement militaire, qui viseront à porter un coup décisif aux terroristes du Nord-Mali.(*) Non à la guerre et non au plan néocolonial visant à pousser l’Algérie dans le bourbier malien. C’est ce que nous entendons ces derniers jours de la bouche d’Algériens jaloux pour l’indépendance de leur pays et craignant d’inévitables dérapages qui découleraient d’une implication algérienne dans ce conflit. Tout en respectant ce point de vue qui honore ses partisans, nous nous permettrons de rappeler que l’Algérie ne va pas à une guerre nouvelle. Elle est déjà en guerre contre le terrorisme islamiste. Et c’est une guerre qui lui est imposée. Après Aqmi, c’est le Mujao aux origines douteuses qui nous attaque ouvertement. En frappant à Tamanrasset, puis à Ouargla. En enlevant des humanitaires étrangers près de Tindouf (suivez mon regard !). En détenant nos diplomates au Nord-Mali. Et ces mercenaires devaient certainement préparer un grand coup lorsque leurs chefs ont été arrêtés à Ghardaïa. Vous remarquerez que l’axe de la terreur allait s’élargir tout en se rapprochant du Nord (Tam, Ouargla, Ghardaïa). Nous avons le devoir d’y aller. Un devoir moral que l’on peut déceler dans le regard de ces populations touaregs qui font partie du grand peuple berbère et qui nous observent sans comprendre nos hésitations. Des voyous sans foi, ni loi, des fous du désert sadiques et barbares tuent des innocents, torturent des femmes et des jeunes et imposent la terreur à quelques encablures de nos frontières. Ces Touaregs ont appris à compter sur l’Algérie, l’amie des temps difficiles. Agir, c’est dire notre espoir de rebâtir un Sahel pacifique et fraternel, loin de l’agitation et de la terreur islamistes, mais aussi loin des plans néocoloniaux qui ne visent qu’à exploiter ses richesses et à asservir ses peuples. Lorsque les peuples du Nord Sahel sont en danger, ils savent qu’ils ne peuvent compter ni sur la France, ni sur l’Amérique… Alors Algérie, oublies-tu ton passé si proche et tes engagements solennels en faveur de l’Afrique, oublies-tu la Transsaharienne et le pipeline qui amènera les richesses du Nigeria vers la Méditerranée ?
              Assumer notre rôle de puissance régionale
              Nous avons le droit d’agir parce que nous sommes attaqués par ces forces hostiles qui n’ont explosé ni la gendarmerie de Marseille, ni celle de Doubs. Ils ont agressé Tamanrasset et Ouargla. Les laissera-t-on frapper Laghouat et Djelfa ? Nous avons le droit d’agir parce que c’est la continuité logique du combat que nous menons contre les forces du mal. Ce n’est pas une «nouveauté» que de tenter d’encercler les terroristes du Mujao ou d’Aqmi, même si le terrain de chasse est une terre étrangère, mais néanmoins amie. Ce titre, il est évident que toute action en territoire malien doit avoir l’aval des autorités de Bamako. Agir vite et bien, ce n’est pas une opération belliciste contre un ou plusieurs voisins, ni une action entrant dans le cadre d’une quelconque stratégie néocoloniale. C’est de la légitime défense. L’Algérie n’est pas un simple canton dépourvu de moyens de défense et ce Mujao a dépassé toutes les bornes. Se taire encore et accepter sa loi nous met dans la position d’une puissance régionale qui refuse d’assumer son rôle. Cette Algérie craintive et attentiste n’est pas l’Algérie qui a envoyé des troupes au Golan et au Sinaï. Ce n’est pas l’Algérie qui a combattu le Makhzen à Amgala.
              M. F.

              (*) : Il y aura des risques, c’est sûr. Il faut savoir les calculer. Il y aura l’éventuelle perte d’hommes – toujours difficile à supporter – mais aussi la manipulation. Il n’y aura aucune surprise à voir ces terroristes liquider des familles entières et incriminer les troupes algériennes. Al Jazeera, qui filme déjà les «prouesses» des islamistes à Gao et Tombouctou, est toute prête à «témoigner»… Mais ce sont des risques inévitables…
              Le Soir d'Algérie
              "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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              • #8
                @hben

                Tu vas dans le sens des désirs impérialo-sionistes, c'est ce qu'ils cherchent que l'Algérie fasse leur travail d'ingérence et d'occupation à leur place.

                Ces groupes "terroristes" sont des milices des impérialo-sionistes et l'Algérie officielle est au courant de cela.

                Ils sont utilisés pour semer le division dans chaque Etat et aussi comme appât pour attirer l'Algérie dans l'ingérence; Le kidnapping des diplomates algériens a été organisé par les services secrets américano-israéliens sous le couvert de ces "groupes terroristes" selon mes déductions personnelles afin de pousser l'Algérie à intervenir au Mali.

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                • #9
                  @hben

                  y a milles façons comment agir pour combattre le terrorisme au delà de la frontière algérienne , sans y participer militairement , ni piétiner la souveraineté des états voisins ...
                  A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                  Commentaire


                  • #10
                    @Elghifari & Houari

                    Non Elghifari! je ne vais pas dans le sens des sionisto-israelo-impérialo-américano-maçonique!...
                    Je veux juste donner un autre son de cloche!
                    Mon sentiment perso est qu'il n'est pas question que le moindre soldat algérien aille mourir pour rétablir l'intégrité territoriale du Mali!

                    Mais comme l'a magistralement démontré Israël, il faut toujours porter le conflit sur les terres de l'ennemi plutôt que de l'attendre et le combattre sur ses propres terres!
                    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                    Commentaire


                    • #11
                      Tu vas dans le sens des désirs impérialo-sionistes, c'est ce qu'ils cherchent que l'Algérie fasse leur travail d'ingérence et d'occupation à leur place.

                      Elghifari
                      La question est de savoir qui a attiré ces puissances dans la région ?

                      SI la dictature algérienne avait su BIEN gérer la transition FIS qui a foiré en donnant des groupes extrémistes genre GIA et GSPC ( reconvertit en AQMI)qui déstabilisent le sahel aujourd'hui cette ingérence n'aurait jamais eu lieu.

                      Idem pour le conflit factice du sahara qui obligent , pour avoir gain de cause.le Maroc et l’Algerie à faire allégeance à ces puissances

                      Il faut apprendre à faire son autocritique au lieu de tout mettre sur le dos de la main de l’étranger

                      Commentaire


                      • #12
                        le Mali qui va resoudre le probleme du SO !

                        posté par Serpico

                        La question est de savoir qui a attiré ces puissances dans la région ?
                        .

                        stratagème politique marocain dévoilé à l ONU ..ainsi de la France au sujet du Mali

                        le SO qui était la cause , c est détourner les regards de la communauté internationale vers cette région ..

                        Le Maroc mis dans l embarras :

                        le terrorisme , les narcotrafiquants et le blanchissement d argent pour financer le terrorisme dans la région maghrébine ( dont l Algérie en priorité )
                        Heureusement que le Maroc est tombé dans son propre piège , les agissements des services marocains dans cette région

                        l effet boomerang qui va résoudre définitivement le conflit Polisario -Maroc : le referendum d autodetermination
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                        Commentaire


                        • #13
                          @hben

                          Non Elghifari! je ne vais pas dans le sens des sionisto-israelo-impérialo-américano-maçonique!...
                          Je veux juste donner un autre son de cloche!
                          Mon sentiment perso est qu'il n'est pas question que le moindre soldat algérien aille mourir pour rétablir l'intégrité territoriale du Mali!
                          Mais comme l'a magistralement démontré Israël, il faut toujours porter le conflit sur les terres de l'ennemi plutôt que de l'attendre et le combattre sur ses propres terres!
                          "Israel" est un pur produit du nazisme, du colonialisme britannique, une colonie qui occupe la Palestine, une base avancée impérialiste implantée au coeur du monde arabe, il est pour moi un contre-modèle à ne pas prendre en exemple, car toute sa stratégie jusqu'ici est un programme de faillite et d'échec, l'ennemi sioniste creuse sa propre tombe. Ses erreurs sont innombrables, les succès qu'il a obtenetus sont éphémères, son apparence de puissance réside dans le soutien qu'il reçoit des régimes occidentaux (USA, Allemagne...) sans eux il aurait été anéanti, son autre élément de puissance est le mensonge, la propagande et la tromperie...

                          L'ennemi sioniste cherche à impliquer l'Algérie dans le conflit malien qui est un problème créé par l'Occident et le sionisme israélien, entre autres, les "groupes terroristes" sont des milices formées et entretenus par les services secrets israélo-américains, ils font le sale travail de l'OTAN et de l'ennemi sioniste au Mali.

                          Commentaire


                          • #14
                            @serpico

                            La question est de savoir qui a attiré ces puissances dans la région ?
                            SI la dictature algérienne avait su BIEN gérer la transition FIS qui a foiré en donnant des groupes extrémistes genre GIA et GSPC ( reconvertit en AQMI)qui déstabilisent le sahel aujourd'hui cette ingérence n'aurait jamais eu lieu.
                            Idem pour le conflit factice du sahara qui obligent , pour avoir gain de cause.le Maroc et l’Algerie à faire allégeance à ces puissances
                            Il faut apprendre à faire son autocritique au lieu de tout mettre sur le dos de la main de l’étranger
                            "Qui a attiré ces puissances dans la région" Réponse : ces puissances ont un plan d'ingérence et d'occupation de la région, elles ont commencé par la Libye, ce pays est occupé (comme la Palestine est occupée par "Israel"); Les tonnes d'armes de la Jamahyria ont été distribué aux "groupes terroristes" qui sont des milices de l'impérialo-sionisme; ces armes ont permis à ces groupes mercenaires de réaliser le deuxième volet du plan d'invasion et d'ingérence impérialo-sioniste : la partition du Mali, l'occupation de sa partie nord...

                            La nature féodalo-bourgeoise et servile à l'impérialisme des deux régimes marocain et algérien a permis la non-résolution du problème du Sahara Saguiet el Hamra, qui est un problème de décolonisation et d'autodétermination. Ces régimes anti-populaire et anti-patriotique leur but premier est la conservation de leur pouvoir illégitime et la peur de l'unité des nos deux peuples ; Ces deux régimes ont trouvé dans ce litige sahraoui un motif de diversion et de division de nos deux peuple, occuper l'attention de nos deux peuples et surtout semer la haine entre nos deux peuple qui sont opprimés à égalité par ces deux régimes... C'est une chance pour eux trouvée dans ce conflit pour empêcher l'union de lutte, un front de combat uni de nos deux peuples contre leurs régimes oppresseurs et serviteurs de l'impérialo-sionisme...

                            Ces deux régimes anti-populaires appliquent à la lettre contre nos deux peuples la devise sioniste : "diviser pour mieux régner"...

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