Si tu avais voulu que je me pare de mensonges pour paraître plus belle
Il fallait chercher ailleurs les petites douceurs de jouvencelles
Qui aiment briller de leurs omissions et qui font partie de celles
Que tu loues, yeux fermés dans ton alcôve, à les rêver en jolies petites pucelles...
J'ai acquis assez d'estime pour ne plus me mentir, me faire souffrir
Au détriment de l'hypocrisie des pauvres d'esprit, des charlatans du sourire
Je n'ai pas besoin de voiler mes erreurs dans le but de te faire plaisir
Car je n'ai pas eu besoin d'être un leurre pour que d'autres m'admirent...
Je ne suis pas déçue par ta franchise, par ta sincérité tardive
Qui s'apparente plus à de la lâcheté, à de la fourberie abusive
Je ne peux pas dire que j'en suis blessée, même si je te reste agressive
Contente-toi de remercier le Seigneur pour la déférence que je t'accorde adoptive...
Je dois peut-être m'aimer plus que toi pour voir la vérité en face
Les artifices, les simulacres ne réussissent à distraire que les faux pugnaces
Qui se pensent sûrement bien trop bons pour finir au sein de la populace
Mais sache que je n'irais jamais ramasser mon saint honneur dans ta fichue crevasse...
Je n'ai jamais voulu t'attendrir, et encore moins te séduire
La fille de joie que tu me crois être n'a pas la prétention de fuir
Devant ses maladresses du passé, qui font partie aujourd'hui de ses souvenirs,
Et dire que c'est grâce aux masques des faux prudes comme toi que je finis par jouir...
Ne te méprends pas sur le sens de mes mots, le sens de mes vers
La vérité n'est pas toujours belle, mais c'est la seule perle dont je me sers
Car si "Je mens donc je suis" je finis par "Je meurs donc je perds"
Ainsi, je te laisse ce goût amer de mon naturel que tu as aimé, pour nourrir ta cordialité mensongère...
Il fallait chercher ailleurs les petites douceurs de jouvencelles
Qui aiment briller de leurs omissions et qui font partie de celles
Que tu loues, yeux fermés dans ton alcôve, à les rêver en jolies petites pucelles...
J'ai acquis assez d'estime pour ne plus me mentir, me faire souffrir
Au détriment de l'hypocrisie des pauvres d'esprit, des charlatans du sourire
Je n'ai pas besoin de voiler mes erreurs dans le but de te faire plaisir
Car je n'ai pas eu besoin d'être un leurre pour que d'autres m'admirent...
Je ne suis pas déçue par ta franchise, par ta sincérité tardive
Qui s'apparente plus à de la lâcheté, à de la fourberie abusive
Je ne peux pas dire que j'en suis blessée, même si je te reste agressive
Contente-toi de remercier le Seigneur pour la déférence que je t'accorde adoptive...
Je dois peut-être m'aimer plus que toi pour voir la vérité en face
Les artifices, les simulacres ne réussissent à distraire que les faux pugnaces
Qui se pensent sûrement bien trop bons pour finir au sein de la populace
Mais sache que je n'irais jamais ramasser mon saint honneur dans ta fichue crevasse...
Je n'ai jamais voulu t'attendrir, et encore moins te séduire
La fille de joie que tu me crois être n'a pas la prétention de fuir
Devant ses maladresses du passé, qui font partie aujourd'hui de ses souvenirs,
Et dire que c'est grâce aux masques des faux prudes comme toi que je finis par jouir...
Ne te méprends pas sur le sens de mes mots, le sens de mes vers
La vérité n'est pas toujours belle, mais c'est la seule perle dont je me sers
Car si "Je mens donc je suis" je finis par "Je meurs donc je perds"
Ainsi, je te laisse ce goût amer de mon naturel que tu as aimé, pour nourrir ta cordialité mensongère...
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