lundi 1 octobre 2012
Contacté par Newsring, lundi 1er octobre, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Philippe Lalliot, a fait part de la position de la France sur la question du Sahara occidental. «Nous faisons confiance aux Nations Unies pour faciliter les progrès vers le règlement d’un conflit qui a trop duré et qui retarde les progrès de l’intégration régionale au Maghreb». Et le porte-parole du Quai d'Orsay de poursuivre : «Nous continuons de penser que le plan d’autonomie présenté par le Maroc en 2007, qui est aujourd’hui la seule proposition réaliste sur la table, constitue une base sérieuse et crédible d’une solution négociée».
Pas de changement donc dans la position française, déjà défendue par le précédent gouvernement. En mars dernier, dans le cadre d'une visite officielle au Maroc, l'ex-ministre des affaires étrangères Alain Juppé avait ainsi rappelé le soutien de Paris au plan d'autonomie du Sahara occidental, proposé par Rabat.
Présentée en avril 2007 à l'ONU, l'initiative marocaine pour la négociation d'un statut d'autonomie de la région du Sahara prévoit, pour les populations sahraouies, la mise en place d'un Parlement et d'un gouvernement autonomes. Projet qui s'inscrit dans le cadre de la souveraineté du royaume et de son unité nationale. Ce plan marocain d'autonomie a pour ambition affichée de résoudre définitivement ce conflit opposant, depuis plus de trois décennies, le royaume chérifien au Front Polisario.
Cette initiative, soutenue notamment par les États-Unis, est rejetée par le Front Polisario. Le mouvement indépendantiste conteste la souveraineté marocaine sur le territoire et appelle toujours à la mise en place d'un référendum d'autodétermination du peuple sahraoui.
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Contacté par Newsring, lundi 1er octobre, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Philippe Lalliot, a fait part de la position de la France sur la question du Sahara occidental. «Nous faisons confiance aux Nations Unies pour faciliter les progrès vers le règlement d’un conflit qui a trop duré et qui retarde les progrès de l’intégration régionale au Maghreb». Et le porte-parole du Quai d'Orsay de poursuivre : «Nous continuons de penser que le plan d’autonomie présenté par le Maroc en 2007, qui est aujourd’hui la seule proposition réaliste sur la table, constitue une base sérieuse et crédible d’une solution négociée».
Pas de changement donc dans la position française, déjà défendue par le précédent gouvernement. En mars dernier, dans le cadre d'une visite officielle au Maroc, l'ex-ministre des affaires étrangères Alain Juppé avait ainsi rappelé le soutien de Paris au plan d'autonomie du Sahara occidental, proposé par Rabat.
Présentée en avril 2007 à l'ONU, l'initiative marocaine pour la négociation d'un statut d'autonomie de la région du Sahara prévoit, pour les populations sahraouies, la mise en place d'un Parlement et d'un gouvernement autonomes. Projet qui s'inscrit dans le cadre de la souveraineté du royaume et de son unité nationale. Ce plan marocain d'autonomie a pour ambition affichée de résoudre définitivement ce conflit opposant, depuis plus de trois décennies, le royaume chérifien au Front Polisario.
Cette initiative, soutenue notamment par les États-Unis, est rejetée par le Front Polisario. Le mouvement indépendantiste conteste la souveraineté marocaine sur le territoire et appelle toujours à la mise en place d'un référendum d'autodétermination du peuple sahraoui.
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