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Le Canard en avait parlé dans son édition et ce serait même 6,9 millions d'euros que toucherait Forgeard pour sa démission car selon les clauses de son contrat Forgeard a droit à deux ans de salaire plus un an complémentaire au titre d'une clause de non concurence ce qui revient à ces 6, 9 millions d'euros en sus de tout ce qu'il a déja touché, notament les 3 750 000 euros grâce à ses stocks options et ce qu'il touchera car il n'est pas possible de connaitre les stocks options qu'il pourra lever après sa démission car octroyés alors qu'il présidait Airbus , non cotée et rien ne l'oblige à rendre publique les attributions et sans compter aussi le montant de sa "retraite chapeau " réservée aux cadres dirigeants. Bref elle est quand même belle la vie.
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Le président de Publicis Maurice Lévy reconnaît avoir négocié les indemnités de départ du co-président d'EADS. Résultat : en plus de deux ans de salaire, Noël Forgeard obtiendrait une prime de non-concurrence, indemnisée à raison de 50% de son salaire. Soit une somme évaluée à 6 millions d’euros.
Deux ans de salaire.
Le président de Publicis Maurice Lévy a reconnu mardi matin sur France Info que Noël Forgeard, co-président du groupe EADS «aurait droit à deux ans de salaire» d’indemnités de départ. Et d’ajouter : Noël Forgeard «a droit en outre à une clause de non-concurrence»: «S'il la respecte, conformément à la loi, cette clause de non-concurrence est indemnisée à raison de 50% de son salaire».
Polémique
Soit une somme évaluée à plus de 6 millions d’euros. En effet, Noël Forgeard a touché une rémunération brute de 2,33 millions d'euros en 2005, comprenant un salaire fixe annuel de 1,13 million d'euros et un bonus de 1,2 million au titre de l'année écoulée, selon le rapport annuel du groupe européen d'aéronautique et de défense.
«La polémique sur les stock-options est une polémique injuste», a également estimé Maurice Lévy, saluant Noël Forgeard comme «une personnalité de premier plan, un grand industriel et un homme absolument honnête et rigoureux».
Par Le Figaro
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Le président de Publicis Maurice Lévy reconnaît avoir négocié les indemnités de départ du co-président d'EADS. Résultat : en plus de deux ans de salaire, Noël Forgeard obtiendrait une prime de non-concurrence, indemnisée à raison de 50% de son salaire. Soit une somme évaluée à 6 millions d’euros.
Deux ans de salaire.
Le président de Publicis Maurice Lévy a reconnu mardi matin sur France Info que Noël Forgeard, co-président du groupe EADS «aurait droit à deux ans de salaire» d’indemnités de départ. Et d’ajouter : Noël Forgeard «a droit en outre à une clause de non-concurrence»: «S'il la respecte, conformément à la loi, cette clause de non-concurrence est indemnisée à raison de 50% de son salaire».
Polémique
Soit une somme évaluée à plus de 6 millions d’euros. En effet, Noël Forgeard a touché une rémunération brute de 2,33 millions d'euros en 2005, comprenant un salaire fixe annuel de 1,13 million d'euros et un bonus de 1,2 million au titre de l'année écoulée, selon le rapport annuel du groupe européen d'aéronautique et de défense.
«La polémique sur les stock-options est une polémique injuste», a également estimé Maurice Lévy, saluant Noël Forgeard comme «une personnalité de premier plan, un grand industriel et un homme absolument honnête et rigoureux».
Par Le Figaro