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Pas d’importation de moutons pour l’Aïd El-Adha en Algérie

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  • Pas d’importation de moutons pour l’Aïd El-Adha en Algérie

    En Agérie Il n’y aura pas d’importation de moutons pour l’Aïd El-Adha”, a affirmé, jeudi, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, lors d’une conférence de presse tenue à Boumerdès en marge du 1er Salon agricole organisé par la Chambre d’agriculture de la wilaya.

    “Il n’y aura pas d’importation de moutons, d’autant que les opérateurs privés n’ont pas exprimé de demande”, a précisé encore le ministre, soulignant que certains acheteurs sont en train de commettre l’irréparable en profitant de la flambée des prix pour abattre des brebis et des agneaux. “Ce type de comportement est condamnable car de telles opérations ralentissent la progression du cheptel et sa reproduction.”

    À une question sur l’indemnisation des agriculteurs dont les exploitations ont été affectées par les feux de forêt, M. Benaïssa a indiqué qu’il n’y aurait pas d’indemnisations, mais juste des mesures d’accompagnement pour que ces fellahs reprennent leurs activités. “Nous allons les aider pour refaire leurs implantations, comme nous sommes disposés à les soutenir pour pouvoir irriguer leurs plantations, l’argent existe pour cette opération.”

    Le ministre a exhorté l’ensemble des responsables à veiller à la protection des terres agricoles, invitant les jeunes à profiter de cette conjoncture favorable pour travailler la terre. M. Benaïssa s’est dit satisfait des résultats obtenus par la wilaya de Boumerdès, classée 3e en termes de rendement agricole avec 107 milliards de dinars en 2012, alors que l’année précédente, le bilan ne dépassait pas 76 milliards de dinars.

    À noter que le ministre, lors de sa visite effectuée dans la wilaya à Khemis El-Kechna, s’est enquis de la situation du marché de gros avant de se rendre à Corso où il a visité le complexe Eriad d’Alger et a clôturé sa visite à la salle omnisports de Boumerdès où il s’est entretenu avec de nombreux agriculteurs qui exposaient leurs produits à l’occasion de le tenue du 1er Salon de l’agriculture de la wilaya de Boumerdès.

    Par ailleurs, le complexe Eriad de Corso sera opérationnel dès le mois de février 2013, a indiqué le ministre de l’Agriculture, Rachid Benaïssa, dans une déclaration à Liberté. Le représentant du gouvernement, qui a visité les silos de Corso, affectés par le séisme du 21 mai 2003, a précisé que “des dispositions ont été prises pour faire démarrer dans une première étape la semoulerie et la minoterie qui font partie du complexe, et ce, dès le 1er février 2013, alors que la boulangerie industrielle située à l’intérieur du complexe, elle commencera à fabriquer du pain avant le mois de Ramadhan prochain”.

    Le ministre a invité ses services a accompagner financièrement le groupe Eriad d’Alger et l’OAIC pour faire aboutir ces opérations

    . Sur la situation des silos, d’une capacité de 250 000 quintaux dont certains ont été affectés par le tremblement de terre, M. Benaïssa a affirmé que “des avis d’appel d’offres seront également lancés pour la réhabilitation de ces silos. C’est une affaire de spécialistes et de techniciens. Soit, ils seront démolis et reconstruits, soit ils seront confortés”, a-t-il souligné, précisant que “les accompagnements financiers sont achevés et tout sera fait pour faire revivre ce complexe qui est très important, non seulement pour la région mais aussi pour le pays car sa mise en service entre dans le cadre de la politique de sécurisation des approvisionnements d’une manière générale”.

    C’est la première fois qu’une visite est effectuée sur site par un représentant du gouvernement depuis plus de sept ans et c’est pour la première fois que des décisions concrètes sont prises pour le redémarrage de ce complexe qui employait plus de 800 travailleurs et qui semble abandonné, depuis 2004, à son triste sort.

    Mme Ikhneche, P-DG de l’Eriad d’Alger, récuse le terme “abandon”, expliquant que la complexité de l’opération de confortement des silos nécessitait des mesures de précaution.

    “La construction d’un silo coûte 7 milliards de centimes, c’est par mesure de précaution que tout ce temps a été observé, car il fallait une contre-expertise”, a-t-elle dit. Mme Ikhneche a révélé qu’une autre résolution du CPE (Conseil des participations de l’État) a été prise en mars 2012 par laquelle il a été décidé de “rendre” à l’Eriad d’Alger le complexe de Corso, à l’exception des silos qui seront gérés par l’OAIC. Il faut rappeler que le CPE avait affecté à l’OAIC, dans le cadre d’une première résolution du CPE portant le n°01/93 du 8 mars 2010, l’ensemble du complexe.

    Par Liberté

  • #2
    S'ils arrivent à retenir le cheptel qui est déjà en Algérie ça serait pas mal. Ils n'auront même pas besoin d'importer.

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    • #3
      a wé c'est pour ça qu'il ont fermer toutes les route , juste pour ce ministre
      il y a vais 3 tracteur et 2 vache indienne darou 3liha cinema :22:

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