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L’Algérie perd en Chadli Bendjedid un de ses valeureux fils (partis et organisations nationales)

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  • L’Algérie perd en Chadli Bendjedid un de ses valeureux fils (partis et organisations nationales)


    DECES DE L’ANCIEN PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE CHADLI BENDJEDID

    ALGER - Des formations politiques et des organisations nationales ont estimé qu’avec le décès de Chadli Bendjedid, l’Algérie perdait un de ses valeureux enfants qui a voué sa vie et sa jeunesse pour sa patrie qu’il a servie avec abnégation.

    Nombreux responsables de partis et d’organisations nationales ont adressé à la famille du défunt et au peuple algérien leurs vives condoléances suite au décès de l’ancien président priant Le tout Puissant de lui accorder sa sainte miséricorde, de l’accueillir en son vaste paradis et de prêter réconfort aux siens.

    Le Rassemblement national démocratique (RND) s’est dit profondément affligé par le décès de l’ancien président et Moudjahid Chadli Bendjedid.

    "L’Algérie vient de perdre en son cinquantième anniversaire un de ses valeureux enfants qui a voué sa vie et sa jeunesse pour sa patrie qu’il a servie avec un haut sens de patriotisme", souligne le RND pour qui cette disparition est "une perte pour l’Algérie tout entière".

    "Une grande figure du nationalisme vient de s’éteindre", regrette le RND mettant en avant les hauts faits du Moudjahid Chadli Bendjedid durant la guerre de libération et son dévouement dans la mise en place des bases de l’armée nationale populaire au lendemain de l’indépendance.

    Le mouvement de la société pour la paix (MSP) a, de son côté, adressé ses condoléances attristées à la famille du défunt priant Dieu Tout-puissant d’accorder sa miséricorde au fondateur du multipartisme rappelant le contexte difficile dans lequel le défunt a présidé aux destinées du pays et marqué notamment par la chute des prix du pétrole et le soulèvement du 05 octobre".

    Dans des messages de condoléances, le Front national pour la justice sociale (FNJS), le Front de l’Algérie nouvelle (FAN), le Front pour la justice et le développement (FJD), le Front El Moustakbal, ont exprimé leur compassion avec la famille défunt et prié Dieu Tout-puissant d’accueillir "le père de la démocratie" parmi les intègres.

    En cette douloureuse circonstance le parti Ahd 54, le parti El Karama, le parti pour la liberté et la justice (PLJ) et le Rassemblement algérien (RA) ont exprimé pour leur part leur vives condoléances à la famille du défunt priant Dieu Tout puissant de l’accueillir en son vaste paradis. Ces formations ont estimé que l’Algérie "perdait en lui un des valeureux dirigeants de la guerre de libération".

    Le commandement général des scouts musulmans a qualifié le défunt de "fondateur du pluralisme politique" rappelant que l’Algérie a connu sous sa direction une ouverture sur différents domaines".

    L’ancien chef du gouvernement Sid Ahmed Ghozali a, de son coté, rendu hommage à l’ancien président, au "nationaliste qui a aimé et servi son pays comme il a pu".

    Le directeur général de la protection civile le colonel Mustapha Lehbiri a pour sa part salué "les réformes politiques initiées par l’ancien président Chadli Bendjedid notamment avec le multipartisme".

    Chadli Bendjedid, est décédé samedi à l’hôpital militaire Mohamed-Seghir-Nekkache (Aïn Naâdja) Alger à l’âge de 83 ans, suite à une longue maladie. A l’issue de l’annonce du décès de l’ancien chef d’Etat, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a décrété un deuil national de huit (08) jours sur l’ensemble du territoire national à compter de samedi.

    Afin de permettre aux membres des corps constitués et à la population de se recueillir à la mémoire du 3ème président de l’Algérie indépendante, la dépouille de celui-ci a été exposée au Palais du Peuple.

    L’enterrement aura lieu le lundi, après la prière du Dohr au Carré des Martyrs, au cimetière d’El Alia.
    APS
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    "Une grande figure du nationalisme vient de s’éteindre"
    Bande d'hypocrites erendi va!

    fondateur du multipartisme
    Fondateur du khobzizme oui, tous des hypocrites, personne ne dit ce qu'il pense, d'accord pour le politiquement correct mais ya des limites...

    y a que Ghozali qui a bien dit, "il a servi le pays comme il a pu", Zaâma, hada ma halbat el bagra.

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    • #3
      de ces partis, je ne trouve pas trace des principaux intéressés ceux du FLN parti proche du Président et du FIS bénéficiaire de l'action qui a coûté au même président son poste

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      • #4
        Quand on ne peut pas dire la vérité, il vaut mieux se taire...
        Chadli , allah yerehmou. Quand on parle de lui, cest quon parle d'une époque de notre pays, celle là elle était reactionnaire, pas tout á fait algerienne...

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        • #5
          L"Algerie n'a rien perdu , il serait mort en 85 , on aurait pas eu 250000 Morts .
          Faute de grives , nous mangeons des Merles

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          • #6
            Hypocrites !

            Les responsables politiques sont unanimes à dire, depuis que Chadli est mort, que ce dernier «était» juste et honnête, «était» proche de son peuple qu’il «aimait» par-dessus tout, «était» un président exceptionnel, «était» un démocrate convaincu, «avait» permis à l’Algérie de jouer les premiers rôles dans le monde, «avait» fait des choix stratégiques judicieux au lendemain de la mort de Boumediene, «avait» contribué à l’édification d’un Etat moderne et «avait» répondu au devoir national en choisissant de quitter le pouvoir de son propre gré en janvier 1992. Mais où étaient donc tous ces discoureurs qui flattent Chadli à titre posthume, lorsque les critiques les plus amères contre lui pleuvaient de toute part ? Où étaient-ils lorsque le président en exercice se demandait comment il avait bien pu tenir une discussion de dix heures avec son homologue français, parce qu’inculte ? Où étaient-ils, tous, lorsque louer les œuvres de Chadli relevait du crime de lèse-majesté contre l’occupant actuel d’El-Mouradia, qui a en horreur quelqu’un qui lui fait de l’ombre et abhorre qu’on ne dise pas de lui qu’il est l’unique bienfaiteur ? Où étaient-ils, tous ces complimenteurs qui applaudissaient l’invective d’un président au pouvoir contre un autre qui, ayant choisi de rentrer chez lui, n’avait plus l’aptitude de distribuer les prébendes, les beaux rôles, les jolis postes ? Où étaient-ils, tous ces pleureurs occasionnels, lorsque Chadli, sous le règne duquel ils ont appris les ficelles du métier pour être admis à la cour, se taisait pour ne pas gêner dans sa démarche celui qui, pourtant, l’accusait d’être LA cause de la décennie noire ? Ce sont ces mêmes louangeurs qui mettront sur le dos de l’actuel président tous les problèmes du pays une fois parti. Puis, lorsqu’à son tour il cessera d’exister, ils feront la queue devant son cercueil pour le glorifier de nouveau à l’imparfait.
            M. Aït Amara
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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            • #7
              Ali belhadj en dit quoi sur ce décès !

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              • #8
                C'est sûr que tout les pays nous le jalouse!
                ...tain d'APS, elle est restée bloquée aux années de la guerre froide!
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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