Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Il y a 24 ans, Lounès Matoub blessé par balles à Aïn El Hammam

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Il y a 24 ans, Lounès Matoub blessé par balles à Aïn El Hammam

    hommage au Rebelle à Tizi Ouzou. Cette commémoration sera clôturée par la remise du prix de la quatrième édition du concours de poésie Matoub Lounès.

    Pour commémorer le 24e anniversaire du 9 octobre 1988, jour où le chanteur kabyle, Matoub Lounes a été blessé par des balles tirées par un gendarme dans la région de Aïn El Hammam, la fondation qui porte le nom du Rebelle a mis sur pied un programme d’activités en hommage à l’artiste. Ainsi, à l’occasion, une table ronde est prévue, aujourd’hui, lundi, à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou. Cette rencontre portera essentiellement sur des témoignages sur les circonstances dont a été blessé le Rebelle au moment où il distribuait des tracts appelant au calme après le soulèvement d’octobre 1988.

    Lors de cet hommage, les organisateurs ont prévu également, pour la journée de mardi, le dépôt d’une gerbe de fleurs sur le lieu du drame, à Aïn El Hammam. Cette commémoration sera clôturée par la remise du prix de la quatrième édition du concours de poésie Matoub Lounès.

    La vie du Rebelle était émaillée de beaucoup de troubles. Outre la rafale de balles tirée contre lui par un gendarme, en octobre 1988, à Aïn El Hammam, Matoub a été enlevé le 25 septembre 1994, par un groupe d’individus armés à Takhoukht, près de Tizi Ouzou, avant d’être libéré par ses ravisseurs, après 15 jours de captivité et suite à une importante mobilisation populaire en Kabylie. Ce militant berbériste sera assassiné par «les forces du mal» le 25 juin 1998, à Talla Bounane, sur la route de Beni Douala. Aujourd’hui, le combat de Matoub est souvent revisité, notamment à travers les activités des associations qui lui rendent régulièrement hommage aussi bien en Algérie qu’à l’étranger.

    Chaque année aussi, à l’occasion de l’anniversaire de son assassinat, sa maison devient un lieu de pèlerinage pour des milliers de personnes qui viennent se recueillir sur la tombe de ce barde de la chanson kabyle. Et pour immortaliser le rebelle et son combat, des espaces publics ont été baptisés en son nom, notamment en France.En avril dernier, la mairie d’Arcueil, dans le département de Val-de-Marne, en région Ile de France, a décidé de baptiser sept rues du quartier Chaperon-Verts aux noms des hommes de culture et lettres, dont le chantre algérien d’expression Kabyle Matoub Lounès.

    Par Hafid Azzouzi-el watan

  • #2
    un homme un vrai
    un caractère affirmé et une volonté inébranlable
    quelqu'un que l'on n'aimerait pas avoir comme adversaire
    un homme libre

    mais dangereux

    Commentaire


    • #3
      c'etait le coup monté pour detruire l'algerie
      essayer de faire fouire tout la creme et la liquidation pouur ceux qui resiste et reste
      allah yerham chouhada, allah yerham maatoub et tout les resistant qui sont mort
      languee vie pour les resistant et tout les hommes libre vivant parmi nous
      المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

      Commentaire


      • #4
        le faux marocain b9at fih l'algerie

        Commentaire


        • #5
          Ce qu'ils n'avaient pas réussi en 88, ils l'ont réussi 10 ans aprés ces assoifés de sang...tfou à tous les gendarmes qui sont responsables de troubles en Kabylie, que ça soit en 80, en 88 ou 2001!
          Pas à la tique ..

          Commentaire

          Chargement...
          X