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Cinq caméras brisées - une histoire Palestinienne

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  • Cinq caméras brisées - une histoire Palestinienne

    Essalamu aleikoum

    les regards de ces petits garçons montrent à quel point leur détermination est telle ! subhanAllah, un documentaire sans langue de bois fait par un palestinien qui montre la réalité du terrain et la haine des colons israéliens... ça m'a attristée profondément



    Un Palestinien et un Israélien ont réalisé ce film à la première personne qui raconte le quotidien d’un village de Cisjordanie dépossédé de ses terres et confronté à la violence. Il aura fallu cinq caméras successives pour filmer une part de cette histoire dans l’Histoire.

    Emad Burnat est paysan. Il vit dans le village de Bil’in, en Cisjordanie. Il y a cinq ans, invoquant des impératifs de sécurité, les Israéliens décident de construire un « mur de séparation » à côté de la colonie juive voisine, ce qui prive les habitants de Bil’in de la moitié de leurs terres. Les villageois s’engagent dès lors dans une lutte non violente pour préserver leur droit d’en rester propriétaires.
    A la naissance de son quatrième enfant, Emad reçoit une caméra pour filmer ses proches et le début du conflit. Pendant cinq années, il brosse ainsi le portrait des siens, famille et amis, tels qu’ils sont affectés par ces événements. Cinq années d’une chronique intime de la vie d’un village plongé dans un affrontement de tous les instants. Emad a en tout utilisé cinq caméras, chacune s’étant brisée au cours de différents incidents. L’une d’elles a même protégé le paysan-cinéaste d’une balle qui aurait pu l’atteindre à la tête. Chacune de ces caméras rend compte d’un chapitre de la longue marche pour la justice des habitants de Bil’in : les manifestations, les arrestations, l’accident grave d’Emad, la mort des amis, les espoirs… Emad filme sans relâche pour témoigner, pour la mémoire de son village. De sa rencontre avec Guy Davidi, réalisateur israélien qui connaît bien Bil’in, naît Cinq Caméras brisées, un film d’auteur primé dans de nombreux festivals.

  • #2
    Je l'ai vue hier, reportage Subjectif qu'ils n'arrêtaient pas de répéter sur le plateau !!!!

    ça m'a beaucoup émue aussi !!

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    • #3
      effectivement, après le doc il y eut un débat mais dès que j'ai vu l'autre gros porc d'adler (excusez moi du terme) y participer, j'ai pas pu m'empêcher de zappé, trop d'émotions ce document, entendre des hyènes débattre sur le sujet (même constructif) m'aurait donné la nausée... plusieurs passages du doc m'ont marqué comme ces petits garçons qui n'ont pas froid aux yeux et prennent déjà l'habitude d'inhaler les gaz lacrymogène comme pour s'en immuniser ou bien les oliviers en feu pour faire décamper les palestiniens... c'est vraiment malheureux

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