Lu dans le quotidien EL WATAN:
Les voyageurs en provenance de Djeddah et de Damas ont vécu à l’aéroport international d’Alger deux heures d’attente interminables dans l’après-midi du 16 juillet 2006. En effet, après être arrivés à 13h45 à Alger (avec plus de deux heures de retard sur l’horaire initialement prévu) et après avoir accompli l’ensemble des formalités de police, lesdits voyageurs ont constaté par la force des choses les aléas de la gestion « lacunaire » d’une œuvre aussi importante que la nouvelle aérogare Houari Boumediène. Des bagages qui arrivaient au compte-gouttes, des agents désemparés et des responsables (français et algériens) « impuissants » ont constitué les principaux ingrédients du calvaire subi par les passagers dont il s’agit, lesquels, en laissant transparaître leur ire, ont récolté une seule, mais néanmoins étonnante, réplique : « Le scanner est défectueux, il ne peut supporter ce volume de bagages, car il n’est adapté qu’aux petits aéroports... » Ainsi, inauguré il y a uniquement deux semaines, l’aéroport tant attendu commence à défrayer la chronique, et pour cause, les pannes de scanner, les défauts du tapis à bagages et la défectuosité des passerelles passagers feraient partie, selon les agents de ce site stratégique, du lot d’évènements quotidiens depuis maintenant une quinzaine de jours.
Les voyageurs en provenance de Djeddah et de Damas ont vécu à l’aéroport international d’Alger deux heures d’attente interminables dans l’après-midi du 16 juillet 2006. En effet, après être arrivés à 13h45 à Alger (avec plus de deux heures de retard sur l’horaire initialement prévu) et après avoir accompli l’ensemble des formalités de police, lesdits voyageurs ont constaté par la force des choses les aléas de la gestion « lacunaire » d’une œuvre aussi importante que la nouvelle aérogare Houari Boumediène. Des bagages qui arrivaient au compte-gouttes, des agents désemparés et des responsables (français et algériens) « impuissants » ont constitué les principaux ingrédients du calvaire subi par les passagers dont il s’agit, lesquels, en laissant transparaître leur ire, ont récolté une seule, mais néanmoins étonnante, réplique : « Le scanner est défectueux, il ne peut supporter ce volume de bagages, car il n’est adapté qu’aux petits aéroports... » Ainsi, inauguré il y a uniquement deux semaines, l’aéroport tant attendu commence à défrayer la chronique, et pour cause, les pannes de scanner, les défauts du tapis à bagages et la défectuosité des passerelles passagers feraient partie, selon les agents de ce site stratégique, du lot d’évènements quotidiens depuis maintenant une quinzaine de jours.
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