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Selon une étude épidémiologique réalisée par un groupe de spécialistes algériens sur le cancer du sein, celui-ci serait la première cause de mortalité chez la femme en Algérie
Selon l’étude en question, sur 150 femmes hospitalisées dans des services de gynécologie, la tumeur est maligne à 70%. Le drame est que 65% d’entre elles ne viennent en consultation que sur le tard. Ce qui est d’ailleurs, dans un ordre général, le cas dans tous les types de cancer comme celui du poumon.
La particularité dans le cancer du sein est qu’il peut être précoce, trois cas ayant été recensés sur des femmes âgées de 17 à 25 ans.Comme évoqué précédemment, le cancer du sein est non seulement le premier cas de mortalité chez la femme mais est tout aussi incident à hauteur de 14,5% sur une population de 100 000 habitants, un taux qui indiquerait l’émergence de 2 000 nouveaux cas annuellement dont les deux tiers surviennent après 45 ans. Cette évolution est à mettre sur le compte du changement de mode de vie des Algériens dont les conséquences sont souvent le stress, l’obésité, une alimentation riche en graisse et pauvre en fibre. L’allaitement sur deux ans diminuerait de moitié les risques de cancer du sein, ce qui n’est pas le cas des antibiotiques qui le doublent sur une fréquence répétée
.Le cancer du sein est facile à diagnostiquer du fait de l’accessibilité facile à la glande mammaire. Quant au motif de consultation, il est dû à la fréquence d’un nodule, écoulement mammaire, abcès ou micro-calcification.Le meilleur moyen de dépister le cancer du sein consiste évidemment en une visite médicale annuelle régulière en plus d’une mammographie tous les deux ans en ce qui concerne les personnes de sexe féminin et un travail d’information et de dépistage de masse pour les structures relevant du secteur de la santé. Ce qui n’est pas évident dans la mesure où dans leur rapport, les chercheurs dénoncent le refus de collaboration de certaines structures hospitalières (Anapath et oncologie)
r A.Lemili- La tribune
Selon l’étude en question, sur 150 femmes hospitalisées dans des services de gynécologie, la tumeur est maligne à 70%. Le drame est que 65% d’entre elles ne viennent en consultation que sur le tard. Ce qui est d’ailleurs, dans un ordre général, le cas dans tous les types de cancer comme celui du poumon.
La particularité dans le cancer du sein est qu’il peut être précoce, trois cas ayant été recensés sur des femmes âgées de 17 à 25 ans.Comme évoqué précédemment, le cancer du sein est non seulement le premier cas de mortalité chez la femme mais est tout aussi incident à hauteur de 14,5% sur une population de 100 000 habitants, un taux qui indiquerait l’émergence de 2 000 nouveaux cas annuellement dont les deux tiers surviennent après 45 ans. Cette évolution est à mettre sur le compte du changement de mode de vie des Algériens dont les conséquences sont souvent le stress, l’obésité, une alimentation riche en graisse et pauvre en fibre. L’allaitement sur deux ans diminuerait de moitié les risques de cancer du sein, ce qui n’est pas le cas des antibiotiques qui le doublent sur une fréquence répétée
.Le cancer du sein est facile à diagnostiquer du fait de l’accessibilité facile à la glande mammaire. Quant au motif de consultation, il est dû à la fréquence d’un nodule, écoulement mammaire, abcès ou micro-calcification.Le meilleur moyen de dépister le cancer du sein consiste évidemment en une visite médicale annuelle régulière en plus d’une mammographie tous les deux ans en ce qui concerne les personnes de sexe féminin et un travail d’information et de dépistage de masse pour les structures relevant du secteur de la santé. Ce qui n’est pas évident dans la mesure où dans leur rapport, les chercheurs dénoncent le refus de collaboration de certaines structures hospitalières (Anapath et oncologie)
r A.Lemili- La tribune
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