Washington : Invitée à discourir sur la transformation à la démocratie au Maghreb, Hillary Clinton a livrée le portrait de la région illustré à travers le prisme américain.
Hillary Clinton a donné vendredi 13 octobre, au Centre of Strategic & International Studies CSIS, une conférence sous le thème, ‘Maghreb in transition ‘.
Clinton a dit avoir averti les leaders arabes avant l’éclatement des révoltes du printemps démocratique :
«J’ai été à Doha pour le sommet de la ligue arabe et je leur avais dis que vos fondations s’effilochent comme sable … Les révoltes éclatèrent malgré tous, et d’aucun n’est en droit de croire que le chemin allait être facile à franchir» remarqua t elle.
«Ses peuples veulent la liberté, plus de justice, d’opportunité pour l’avenir, et refuse la violence et l’oppression, et veulent surtout de bonnes relations avec les USA» relève Clinton, qui a dit son refus de laisser se faire portes paroles de la région, dixit «les extrémistes et les voyous» invitant les américains à ne point douter ni s’inquiéter du futur des révolutions arabes, dont les fruits politiques, ont tous profiter aux seuls mouvances islamistes.
MAROC, LE MODÈLE
«Au Maroc il n’a point eu de révolte populaire, mais le peuple marocain a exiger des réformes, chose qui lui fut exaucée par son souverain le Roi Mohammed VI … Il introduisit des refontes constitutionnelles majeures, suivie d’un scrutin législatif anticipé, qui donna un parlement aux prérogatives complètes et un gouvernement dirigé par des islamistes marocains, élus après avoir été opposants 13 ans durant» rappelle Clinton.
Et d’ajouter «Nous avons été fortement enthousiasmé par le comportement du PJD une fois au pouvoir, il a cherché à fédérer les marocains et ont concentré leurs forces à créer la richesse au pays et développer l’emploi et combattre la corruption» jugera la secrétaire d’Etat américaine.
Elle promit que «les USA continueront à les encourager à tenir leurs promesse électorales et à persister sur la voie de l’affinement des reformes».
«Ils sont valable» juge t elle, «le mois dernier des manifestants marocains ont protester devant le consulat américain à Casablanca, des jours plutard le ministre des affaires étrangères marocain est venu à Washington pour amorcer avec nous un dialogue stratégique, il aurait pu éviter les caméra, mais non, devant tout le monde et sans se cacher, le ministre marocain condamna les attaques de Benghazi qui a fait, tué, l’ambassadeur US en Libye … Il a exprimé l’engagement du Maroc pour un partenariat global avec les USA, et son engagement aussi pour la démocratie et l’Etat de droit» relata t elle.
ALGÉRIE, PEUT MIEUX FAIRE
«L’Algérie peut beaucoup gagner si elle prend exemple sur ses voisins, mais elle a néanmoins fait quelques pas en avant» juge Clinton.
«Elle a organisé des élections législatives en Mai dernier, et fait inédit, elle a autorisé des observateurs internationaux pour suivre sur place le scrutin» remarque t elle.
«L’Algérie a également réussit à désamorcer les tensions de sa rue, mais il reste gros à faire» a-t-elle estimé.
«Il faut soutenir les droits fondamentaux des citoyens, et autoriser la société civile à travailler en pleine liberté … c’est ce que j’avais recommandé au président Bouteflika en février dernier» rapporte elle.
E marrakech
Hillary Clinton a donné vendredi 13 octobre, au Centre of Strategic & International Studies CSIS, une conférence sous le thème, ‘Maghreb in transition ‘.
Clinton a dit avoir averti les leaders arabes avant l’éclatement des révoltes du printemps démocratique :
«J’ai été à Doha pour le sommet de la ligue arabe et je leur avais dis que vos fondations s’effilochent comme sable … Les révoltes éclatèrent malgré tous, et d’aucun n’est en droit de croire que le chemin allait être facile à franchir» remarqua t elle.
«Ses peuples veulent la liberté, plus de justice, d’opportunité pour l’avenir, et refuse la violence et l’oppression, et veulent surtout de bonnes relations avec les USA» relève Clinton, qui a dit son refus de laisser se faire portes paroles de la région, dixit «les extrémistes et les voyous» invitant les américains à ne point douter ni s’inquiéter du futur des révolutions arabes, dont les fruits politiques, ont tous profiter aux seuls mouvances islamistes.
MAROC, LE MODÈLE
«Au Maroc il n’a point eu de révolte populaire, mais le peuple marocain a exiger des réformes, chose qui lui fut exaucée par son souverain le Roi Mohammed VI … Il introduisit des refontes constitutionnelles majeures, suivie d’un scrutin législatif anticipé, qui donna un parlement aux prérogatives complètes et un gouvernement dirigé par des islamistes marocains, élus après avoir été opposants 13 ans durant» rappelle Clinton.
Et d’ajouter «Nous avons été fortement enthousiasmé par le comportement du PJD une fois au pouvoir, il a cherché à fédérer les marocains et ont concentré leurs forces à créer la richesse au pays et développer l’emploi et combattre la corruption» jugera la secrétaire d’Etat américaine.
Elle promit que «les USA continueront à les encourager à tenir leurs promesse électorales et à persister sur la voie de l’affinement des reformes».
«Ils sont valable» juge t elle, «le mois dernier des manifestants marocains ont protester devant le consulat américain à Casablanca, des jours plutard le ministre des affaires étrangères marocain est venu à Washington pour amorcer avec nous un dialogue stratégique, il aurait pu éviter les caméra, mais non, devant tout le monde et sans se cacher, le ministre marocain condamna les attaques de Benghazi qui a fait, tué, l’ambassadeur US en Libye … Il a exprimé l’engagement du Maroc pour un partenariat global avec les USA, et son engagement aussi pour la démocratie et l’Etat de droit» relata t elle.
ALGÉRIE, PEUT MIEUX FAIRE
«L’Algérie peut beaucoup gagner si elle prend exemple sur ses voisins, mais elle a néanmoins fait quelques pas en avant» juge Clinton.
«Elle a organisé des élections législatives en Mai dernier, et fait inédit, elle a autorisé des observateurs internationaux pour suivre sur place le scrutin» remarque t elle.
«L’Algérie a également réussit à désamorcer les tensions de sa rue, mais il reste gros à faire» a-t-elle estimé.
«Il faut soutenir les droits fondamentaux des citoyens, et autoriser la société civile à travailler en pleine liberté … c’est ce que j’avais recommandé au président Bouteflika en février dernier» rapporte elle.
E marrakech
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