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L’extraction de sable dans les Oueds, même en étant interdite, est une pratique courante qui ne semble interpeller personne. Au cours de la semaine écoulée, les forces de police ont instruit une procédure judiciaire à l’encontre de deux jeunes pour extraction de sable sans autorisation.
C’est ce que fait ressortir la sûreté de wilaya dans un communiqué rendu public, vendredi dernier. Les deux individus, âgé de 28 et 45 ans, signalera le communiqué, ont été présentés au parquet de Tizi-Ouzou et seront mis en détention provisoire. Cette arrestation prouve que les éléments de la sûreté de wilaya tentent de mettre enfin un terme à l’anarchie et à la multiplication des ces actes d’extraction clandestine qui constitue un réel danger pour l’environnement.
Néanmoins, les réelles menaces qui pèsent sur l’équilibre de la nappe phréatique au niveau des oueds et rivières de la wilaya ne sont sûrement pas du fait de ces deux individus, ou de quelques particuliers, qui pour les besoins d’une construction, munis de pelles, vont s’approvisionner en sable. Il y a lieu de chercher le fond du problème et stopper ceux qui constituent un réel danger et une menace permanente pour les différents Oueds de la région, à savoir, les gros engins qui s’attaquent sans relâche aux lits des rivières.
En effet, le pillage du sable, de nuit, par des camions qui sillonnent les oueds est une activité banalisée à Tizi-Ouzou. Et ce n’est sûrement pas l’arrêté interdisant l’extraction de sable, ayant été mis en place l’année dernière (voir la Dépêche de Kabylie du 09 novembre 2011), qui mettra fin à ce massacre. En effet, malgré l’existence de ces textes répressifs, leur application sur le terrain fait défaut et l’impunité encourage d’autre à venir profiter de la situation. L’Oued Sébaou est, de loin, le plus sollicité par les gros engins. Sur tout son long, des machines ne cessent de grignoter son lit.
Chaque soir, un nombre infini de camions le prennent d’assaut, emportant d’énormes quantités de sable, le fragilisant de plus en plus et fragilisant du même coup les ouvrages qui le surplombent, à l’image des ponts se retrouvent menacés d’effondrement. Le pillage est tellement banalisé que certains osent même le faire de jour. Il serait peut-être temps que les lois, puisqu’elles existent, soient appliquées
la depêche de kabylie
C’est ce que fait ressortir la sûreté de wilaya dans un communiqué rendu public, vendredi dernier. Les deux individus, âgé de 28 et 45 ans, signalera le communiqué, ont été présentés au parquet de Tizi-Ouzou et seront mis en détention provisoire. Cette arrestation prouve que les éléments de la sûreté de wilaya tentent de mettre enfin un terme à l’anarchie et à la multiplication des ces actes d’extraction clandestine qui constitue un réel danger pour l’environnement.
Néanmoins, les réelles menaces qui pèsent sur l’équilibre de la nappe phréatique au niveau des oueds et rivières de la wilaya ne sont sûrement pas du fait de ces deux individus, ou de quelques particuliers, qui pour les besoins d’une construction, munis de pelles, vont s’approvisionner en sable. Il y a lieu de chercher le fond du problème et stopper ceux qui constituent un réel danger et une menace permanente pour les différents Oueds de la région, à savoir, les gros engins qui s’attaquent sans relâche aux lits des rivières.
En effet, le pillage du sable, de nuit, par des camions qui sillonnent les oueds est une activité banalisée à Tizi-Ouzou. Et ce n’est sûrement pas l’arrêté interdisant l’extraction de sable, ayant été mis en place l’année dernière (voir la Dépêche de Kabylie du 09 novembre 2011), qui mettra fin à ce massacre. En effet, malgré l’existence de ces textes répressifs, leur application sur le terrain fait défaut et l’impunité encourage d’autre à venir profiter de la situation. L’Oued Sébaou est, de loin, le plus sollicité par les gros engins. Sur tout son long, des machines ne cessent de grignoter son lit.
Chaque soir, un nombre infini de camions le prennent d’assaut, emportant d’énormes quantités de sable, le fragilisant de plus en plus et fragilisant du même coup les ouvrages qui le surplombent, à l’image des ponts se retrouvent menacés d’effondrement. Le pillage est tellement banalisé que certains osent même le faire de jour. Il serait peut-être temps que les lois, puisqu’elles existent, soient appliquées
la depêche de kabylie