La rentrée à l’université des sciences islamiques Emir Abdelkader de Constantine a officiellement eu lieu le 8 octobre en cours. Statistiquement il s’agit de la 25ème rentrée universitaire accueillie par cette institution depuis que les premiers cours y ont été dispensés.
L’université Emir Abdelkader est, à présent, loin des 279 étudiants qu’elle comptait à ses débuts, sachant qu’actuellement leur nombre avoisine les 4000.
L’autre évolution signalée au niveau de cette université, reste essentiellement l’algérianisation du corps enseignant ainsi qu’une présence importante de femmes. Actuellement, en effet, l’enseignement à l’université des sciences islamiques de la ville du vieux rocher est assuré uniquement par des algériens qui se conforment aux préceptes édictés par la religion, mettant ainsi un terme à l’influence de certains théologiens issus du Moyen-Orient qui avaient cette faculté de distiller une pensée islamique différente et contradictoire.
Outre cela, l’on notera également que plus de 40% des enseignants sont des femmes. Ces dernières se sont ainsi imposées au sein de cette université antérieurement monopolisée par les hommes. Pour d’aucuns, cette présence conséquente des femmes dans l’enseignement des sciences islamiques est perçue comme un avantage sur le plan pédagogique en matière de transmission de savoir. Par ailleurs, il est important de souligner que l’incursion des femmes dans l’enseignement supérieur n’est qu’une suite logique d’autant que dans l’éducation nationale, notamment dans le cycle primaire et moyen, elles sont -depuis longtemps déjà- bien plus nombreuses que leurs collègues hommes.
Selon une étude réalisée, il y a quelques mois, par le ministère de l’Enseignement supérieur, les femmes représentent 34 % du personnel enseignant du secteur. Elles occupent également une place considérable en milieu hospitalo-universitaire avec un taux de 45 %.
el watan
L’université Emir Abdelkader est, à présent, loin des 279 étudiants qu’elle comptait à ses débuts, sachant qu’actuellement leur nombre avoisine les 4000.
L’autre évolution signalée au niveau de cette université, reste essentiellement l’algérianisation du corps enseignant ainsi qu’une présence importante de femmes. Actuellement, en effet, l’enseignement à l’université des sciences islamiques de la ville du vieux rocher est assuré uniquement par des algériens qui se conforment aux préceptes édictés par la religion, mettant ainsi un terme à l’influence de certains théologiens issus du Moyen-Orient qui avaient cette faculté de distiller une pensée islamique différente et contradictoire.
Outre cela, l’on notera également que plus de 40% des enseignants sont des femmes. Ces dernières se sont ainsi imposées au sein de cette université antérieurement monopolisée par les hommes. Pour d’aucuns, cette présence conséquente des femmes dans l’enseignement des sciences islamiques est perçue comme un avantage sur le plan pédagogique en matière de transmission de savoir. Par ailleurs, il est important de souligner que l’incursion des femmes dans l’enseignement supérieur n’est qu’une suite logique d’autant que dans l’éducation nationale, notamment dans le cycle primaire et moyen, elles sont -depuis longtemps déjà- bien plus nombreuses que leurs collègues hommes.
Selon une étude réalisée, il y a quelques mois, par le ministère de l’Enseignement supérieur, les femmes représentent 34 % du personnel enseignant du secteur. Elles occupent également une place considérable en milieu hospitalo-universitaire avec un taux de 45 %.
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