Quand on lit ce qui suit, les cheveux nous dressent sur la tête! Écoutez
cette scientifique nous partager ses fantasmes (je vous colle le lien ainsi
que celui de ma critique sur la fameuse grippe H1N1) : «J’ai commencé à
croire que nous devrions forcer les gens à recevoir des traitements de la
même façon qu’on donne des vaccins – il faut probablement un juste milieu
entre la liberté personnelle et les coûts pour la société».
Mon Dieu, sauvez-nous de ces fous! Sauvez-nous de ce racisme
primaire! Autrefois, les eugénistes ont commencé leurs spéculations
scientifiques pour aboutir à la sélection des meilleurs spécimens, et que
fait-on aujourd'hui, en toute légitimité, en recommence de plus belle! Les
animaux ne jouissent pas des mêmes droits que les hommes; on peut les
faire souffrir toute leur vie l'enfer en condensé. Si on n'appelle pas ça du
racisme, il faudra alors supprimer carrément ce mot dépourvu de sens!
Et le peuple, tout ému par tant de savoir quasi divin, lit et observe avec
une crainte toute religieuse les annonces que trompettent régulièrement
les scientifiques.
Travaux sur la mémoire des souris
H1N1 ou quand le ciel vous tombera sur la tête
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