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Spécialisé dans le domaine de l’industrie électrique, électromécanique et des énergies renouvelables, le groupement d’entreprises Remelec booste son partenariat avec le groupe international Schneider Electrics.
Par le biais d’un accord, la société Remelec, basée dans la zone industrielle de Rouiba, s’engage dans la fabrication locale d’équipements électriques (transformateurs, cellules moyenne tension...) sous licence Schneider et sur la base d’un transfert de technologies. Comme l’explique le président du conseil de surveillance de ce groupement, Chérif Aberkane, ce partenariat porte notamment sur la fabrication de 1 000 cellules MT, dans une première phase, et de trois mille cellules par la suite.
Il est également question de développer la formation ingéniorale dans le domaine de la moyenne tension et des énergies renouvelables (le solaire). En ce sens, une école de formation algéro-française sera lancée avec le concours également de Schneider France.
En d’autres termes, il s’agit de passer à une phase offensive en matière de promotion de la production nationale, comme le relève Abdelaziz Mehenni, président de la Confédération des industriels et producteurs algériens (Cipa) à laquelle Remelec est affiliée. Et d’autant que Remelec, qui fournit déjà plusieurs institutions et entreprises publiques dont Sonelgaz, compte parmi les rares fabricants nationaux réellement opérationnels dans ce domaine même s’il pâtit de certaines contraintes financières. Pour autant, il s’agit de booster le partenariat «gagnant-gagnant» et le transfert de savoir-faire de manière effective, hors toutes velléités et convoitises étrangères inconsidérées. Une problématique que les staffs dirigeants de Remelec et de la Cipa ont dû certainement débattre, au siège de ce groupement, avec des représentants de chambres françaises de commerce, en visite de prospection.
Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) -
Par le biais d’un accord, la société Remelec, basée dans la zone industrielle de Rouiba, s’engage dans la fabrication locale d’équipements électriques (transformateurs, cellules moyenne tension...) sous licence Schneider et sur la base d’un transfert de technologies. Comme l’explique le président du conseil de surveillance de ce groupement, Chérif Aberkane, ce partenariat porte notamment sur la fabrication de 1 000 cellules MT, dans une première phase, et de trois mille cellules par la suite.
Il est également question de développer la formation ingéniorale dans le domaine de la moyenne tension et des énergies renouvelables (le solaire). En ce sens, une école de formation algéro-française sera lancée avec le concours également de Schneider France.
En d’autres termes, il s’agit de passer à une phase offensive en matière de promotion de la production nationale, comme le relève Abdelaziz Mehenni, président de la Confédération des industriels et producteurs algériens (Cipa) à laquelle Remelec est affiliée. Et d’autant que Remelec, qui fournit déjà plusieurs institutions et entreprises publiques dont Sonelgaz, compte parmi les rares fabricants nationaux réellement opérationnels dans ce domaine même s’il pâtit de certaines contraintes financières. Pour autant, il s’agit de booster le partenariat «gagnant-gagnant» et le transfert de savoir-faire de manière effective, hors toutes velléités et convoitises étrangères inconsidérées. Une problématique que les staffs dirigeants de Remelec et de la Cipa ont dû certainement débattre, au siège de ce groupement, avec des représentants de chambres françaises de commerce, en visite de prospection.
Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) -