Syrie : Alger appelle toutes les parties à observer un cessez-le-feu
Rafik Tadjer
L’Algérie a appelé, ce samedi 20 octobre, les parties en conflit en Syrie à répondre favorablement à l’appel lancé par l’émissaire de l’ONU et de la Ligue arabe, Lakhdar Brahimi. « Nous appelons toutes les parties prenantes en Syrie à répondre positivement aux sollicitations de l'émissaire conjoint ONU‑Ligue arabe concernant l'observation d'un cessez‑le‑feu a l'occasion de l'Aïd al‑Adha et si possible au‑delà », a déclaré Amar Belani, porte‑parole du ministère des Affaires étrangères, dans un message écrit. « Ce cessez‑le‑feu pourrait servir de déclic et de base pour le lancement d'un processus politique en vue d'une sortie de crise », a‑t‑il ajouté.
Lakhdar Brahimi est arrivé vendredi à Damas, avec la volonté d'obtenir un cessez‑le‑feu. À son arrivée en Syrie, le diplomate algérien a indiqué que les discussions porteraient sur « la nécessité de diminuer la violence actuelle et si possible de l'arrêter à l'occasion de l'Aïd al‑Adha », qui sera célébré les 26 et 27 octobre. Il devait rencontrer ce samedi le chef de la diplomatie Walid Mouallem, et le président Bachar al‑Assad à une date non précisée.
L’appel algérien rejoint celui du secrétaire général de l'ONU Ban Ki‑moon et celui de la Ligue arabe Nabil al‑Arabi. Dans un communiqué commun, les deux hommes ont exhorté « toutes les parties en guerre en Syrie à tenir compte de la demande (de M. Brahimi) […] d'un arrêt de la violence sous toutes ses formes » pendant l'Aïd al‑Adha. Cette trêve doit être de longue durée, soulignent les deux responsables, qui estiment qu'elle peut ouvrir la voie à « un processus politique pacifique ». Ils appellent « en particulier le gouvernement syrien […] à faire preuve de sagesse et de hauteur de vue en mettant fin aux tueries et aux destructions ».
TSA
Rafik Tadjer
L’Algérie a appelé, ce samedi 20 octobre, les parties en conflit en Syrie à répondre favorablement à l’appel lancé par l’émissaire de l’ONU et de la Ligue arabe, Lakhdar Brahimi. « Nous appelons toutes les parties prenantes en Syrie à répondre positivement aux sollicitations de l'émissaire conjoint ONU‑Ligue arabe concernant l'observation d'un cessez‑le‑feu a l'occasion de l'Aïd al‑Adha et si possible au‑delà », a déclaré Amar Belani, porte‑parole du ministère des Affaires étrangères, dans un message écrit. « Ce cessez‑le‑feu pourrait servir de déclic et de base pour le lancement d'un processus politique en vue d'une sortie de crise », a‑t‑il ajouté.
Lakhdar Brahimi est arrivé vendredi à Damas, avec la volonté d'obtenir un cessez‑le‑feu. À son arrivée en Syrie, le diplomate algérien a indiqué que les discussions porteraient sur « la nécessité de diminuer la violence actuelle et si possible de l'arrêter à l'occasion de l'Aïd al‑Adha », qui sera célébré les 26 et 27 octobre. Il devait rencontrer ce samedi le chef de la diplomatie Walid Mouallem, et le président Bachar al‑Assad à une date non précisée.
L’appel algérien rejoint celui du secrétaire général de l'ONU Ban Ki‑moon et celui de la Ligue arabe Nabil al‑Arabi. Dans un communiqué commun, les deux hommes ont exhorté « toutes les parties en guerre en Syrie à tenir compte de la demande (de M. Brahimi) […] d'un arrêt de la violence sous toutes ses formes » pendant l'Aïd al‑Adha. Cette trêve doit être de longue durée, soulignent les deux responsables, qui estiment qu'elle peut ouvrir la voie à « un processus politique pacifique ». Ils appellent « en particulier le gouvernement syrien […] à faire preuve de sagesse et de hauteur de vue en mettant fin aux tueries et aux destructions ».
TSA
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