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Si pour les fruits et légumes, les ménagères se sont accommodées avec les prix qui ne cessent de flamber jour après jour, en revanche, elles n'arrivent plus à suivre le cours des autres produits.
Cette fois-ci, c'est celui des œufs qui les préoccupe, avec le plateau de 30 unités cédé à un prix dépassant tout entendement. Celui-ci varie entre 300 et 350 dinars, voire plus dans les villages éloignés. " C'est impensable d'acheter un œuf à 13 dinars. Vraiment, on n’y comprend rien.
Pourtant, on dit que des aides ont été offertes aux éleveurs et aux producteurs", dit une femme au foyer étonnée de voir le prix affiché.
Du côté des commerçants, c'est aussi l'incompréhension la plus totale. "Cela dépend de l'offre et de la demande. Si on achète à un prix bas, on vend juste avec notre marge bénéficiaire. Et si le prix est élevé, on n'y peut rien. C'est peut être la période de renouvellement des poules pondeuses qui a fait que les prix atteignent ce niveau", nous expliquera l'un d'eux.
Quant aux producteurs, ils évoquent carrément la cherté de l'aliment et les charges. "Le prix d'un quintal a plus que doublé. N'oubliez pas, aussi, que les charges (notamment l’électricité, la location de batteries…) nous reviennent trop cher", nous répondra l'un d'eux. Ainsi dons, par ricochet, et à l'approche de l'Aïd, ce sont tous les gâteaux qui commencent eux aussi à subir cette hausse. On ne peut aussi oublier le prix du poulet.
Avant-hier, au marché, le poulet vif était cédé entre 300 et 320 DA. "Juste après le Ramadhan, il n'en restait pas assez. Et puis, je peux vous dire qu'à cause de la chaleur, nombreux sont les éleveurs qui ont renoncé à cette activité. Devant la cherté des viandes rouges, les consommateurs se sont rabattus sur la viande blanche", telle est la réponse d'un détaillant.
Le poulet évidé a atteint, quant à lui, les 450 dinars. D'ailleurs, certains restaurateurs ont carrément supprimé le poulet de leurs menus. De 600 dinars, le poulet grillé d'environ un kilogramme est vite passé, en début de semaine, à 700 DA.
Amar Ouramdane-la Dépêche de kabylie
Cette fois-ci, c'est celui des œufs qui les préoccupe, avec le plateau de 30 unités cédé à un prix dépassant tout entendement. Celui-ci varie entre 300 et 350 dinars, voire plus dans les villages éloignés. " C'est impensable d'acheter un œuf à 13 dinars. Vraiment, on n’y comprend rien.
Pourtant, on dit que des aides ont été offertes aux éleveurs et aux producteurs", dit une femme au foyer étonnée de voir le prix affiché.
Du côté des commerçants, c'est aussi l'incompréhension la plus totale. "Cela dépend de l'offre et de la demande. Si on achète à un prix bas, on vend juste avec notre marge bénéficiaire. Et si le prix est élevé, on n'y peut rien. C'est peut être la période de renouvellement des poules pondeuses qui a fait que les prix atteignent ce niveau", nous expliquera l'un d'eux.
Quant aux producteurs, ils évoquent carrément la cherté de l'aliment et les charges. "Le prix d'un quintal a plus que doublé. N'oubliez pas, aussi, que les charges (notamment l’électricité, la location de batteries…) nous reviennent trop cher", nous répondra l'un d'eux. Ainsi dons, par ricochet, et à l'approche de l'Aïd, ce sont tous les gâteaux qui commencent eux aussi à subir cette hausse. On ne peut aussi oublier le prix du poulet.
Avant-hier, au marché, le poulet vif était cédé entre 300 et 320 DA. "Juste après le Ramadhan, il n'en restait pas assez. Et puis, je peux vous dire qu'à cause de la chaleur, nombreux sont les éleveurs qui ont renoncé à cette activité. Devant la cherté des viandes rouges, les consommateurs se sont rabattus sur la viande blanche", telle est la réponse d'un détaillant.
Le poulet évidé a atteint, quant à lui, les 450 dinars. D'ailleurs, certains restaurateurs ont carrément supprimé le poulet de leurs menus. De 600 dinars, le poulet grillé d'environ un kilogramme est vite passé, en début de semaine, à 700 DA.
Amar Ouramdane-la Dépêche de kabylie
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