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Algérie : Recettes prévues par le budget de l’Etat pour l’exercice 2013

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  • Algérie : Recettes prévues par le budget de l’Etat pour l’exercice 2013

    le projet de loi de finances 2013, qui sera présenté demain dimanche devant l’Assemblée populaire nationale (APN), prévoit des recettes budgétaires 3.820 milliards de DA, répartis comme suit :

    1- Recettes budgétaires Montant (en milliers DA)

    - Ressources ordinaires :
    - Recettes fiscales 1.831.400.000
    - Recettes ordinaires 82.700.000
    - Autres recettes 290.000.000

    - Total des ressources ordinaires 2.204.100.000

    2- Fiscalité pétrolière 1.615.900.000

    Total général des recettes 3.820.000.000.

    APS

  • #2
    Ça ne couvre même pas le budget de fonctionnement. (4.335 milliards de DA)

    Sans parler du budget d'équipement.

    Ou va l'Algérie avec des dépenses pareilles ?! Purée..

    ∑ (1/i²) = π²/6
    i=1

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    • #3
      C normal tout est gratuit le peuple vis gratis en vérité cha3be houa Sarrak

      Recettes budgétaires
      4,806 (Quatre milliards huit cent six millions dollars)


      Budget de fonctionnement
      54,553 (Cinquante-quatre milliards cinq cent cinquante-trois millions de dollars)


      49,727 (Quarante-neuf milliards sept cent vingt-sept millions de dollars)

      Commentaire


      • #4
        C normal tout est gratuit le peuple vis gratis en vérité cha3be houa Sarrak
        chouf a sidi !

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        • #5
          Total des ressources ordinaires 2.204.100.000

          Fiscalité pétrolière 1.615.900.000
          En tous cas les ressources ordinaires dépassent largement les ressources générées par les hydrocarbures (fiscalité pétrolière). C'est déjà pas mal. Le tout est d'oeuvrer pour accentuer l'écart.

          Commentaire


          • #6
            En tous cas les ressources ordinaires dépassent largement les ressources générées par les hydrocarbures (fiscalité pétrolière). C'est déjà pas mal. Le tout est d'oeuvrer pour accentuer l'écart.
            C'est vrai si l'on ne prend pas en compte le fait qu'une bonne partie de la fiscalité ordinaire est générée par des activités financées grâce à la rente pétrolière.
            Prenons par exemple les commandes publiques du secteur BTP et hydraulique (BTPH), financées en grande partie par la fiscalité pétrolière. Les entrepreneurs vont facturer à l'Etat la TVA (17% du montant des factures) qui va leur être réglée en grande partie par recours à la fiscalité pétrolière. Les entrepreneurs vont reverser cette TVA à l'administration fiscale qui va la comptabiliser intégralement comme fiscalité ordinaire (à noter que dans la réalisation de telles opérations financées sur budget de l'Etat, l'évasion fiscale est extrêmement faible...)

            Un petit calcul pour clarifier:
            Supposons que budget d'équipement de l'Etat représente 45% du total du budget et que 80% de ce budget va aux entreprises du BTPH. Si ces dépenses sont couvertes à 80% par la fiscalité pétrolière et sachant que la TVA est de 17%, on aura :
            45% x 80% x 80% x 17 %= 4,90% de la fiscalité supposée ordinaire est en fait un retour vers le fisc de la fiscalité pétrolière.
            Là, on n'a pris que la TVA du secteur du BTPH. Le taux sera plus élevé si on étend le raisonnement à toutes les dépenses de l'Etat et à tous les autres impôts et taxes.
            Et si l'on s'amuse à prendre en compte les recettes fiscales générées par les dépenses en matériaux de construction, le taux calculé va encore augmenter...
            "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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