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Étonnante sortie du ministre de l’intérieur : Ould Kablia défend le marché parallèle des devises.

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  • Étonnante sortie du ministre de l’intérieur : Ould Kablia défend le marché parallèle des devises.

    Les cambistes sont rassurés. Ils ne seront pas inquiétés. Daho Ould Kablia, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, trouve de l’utilité au change de devises sur le marché parallèle.

    Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - D’un air naturel, comme s’il commentait un fait d’importance réduite, le ministre de l’Intérieur a estimé, hier, lors d’une conférence de presse animée à l’issue du conclave qui a regroupé, au palais des Nations, les chefs de daïra, les Drag, les DAL et les inspecteurs généraux, que «le marché parallèle de la devise peut prémunir contre la fausse monnaie qui pourrait être introduite sur le marché» et que «les citoyens trouvent leur compte ». Considérant que le marché informel de la devise est un problème mineur, Daho Ould Kablia a affirmé également que les cambistes sont «dans une limite correcte » et qu’«ils sont moins d’une trentaine, identifiés et connus». Citant ce nombre, le ministre de l’Intérieur pensait certainement à ceux qui s’adonnent à cette activité au grand jour au square Port-Saïd. Mais il est évident que l’activité a lieu non seulement en ce lieu mais partout dans toutes les villes algériennes et que de grosses sommes transitent par ce circuit.

    Le ministre de l’Intérieur a clairement dit que l’Etat n’allait pas engager la résorption de ce commerce informel et qu’en même temps, il ne sera pas délivré d’autorisation pour l’ouverture légale des agences de change de devises. «Je ne pense pas que l’Etat permette l’ouverture d’agences de change.» Paradoxalement, cette exonération du marché informel de devises d’éradication intervient à un moment où le gouvernement fait présentement de la résorption du commerce informel l’essentiel de son action. Durant la rencontre avec les responsables de l’administration locale, il a été d’ailleurs essentiellement question de résorption du commerce informel et de salubrité publique. Même le Premier ministre Abdelmalek Sellal, qui a improvisé une longue allocution à l’ouverture de la rencontre, a focalisé sur cette opération entamée depuis la fin du mois de Ramadan.

    S. A. I.
    Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

  • #2
    un ane ON NE PEUT PAS EN FAIRE UN CHEVAL DE COURSE.
    c est triste ce qui ce passe en Algerie, etre gouverné par des anes et des voleurs.

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    • #3
      Tant que le Dinar n'est pas officiellement convertible, l'échange informel de devises se fera d'une manière ou d'une autre. Et ce même si l'état fera en sorte qu'il n'y ait plus de places pour la vente de devises.

      En effet, les Algériens continueront, de toute façon, à se le procurer sous le manteau (avec un risque plus grand de faux billets), et à l'étranger (dépot des dinars en Algérie, et récup des devises à l'étranger).

      Maintenant, si le Dinar devient convertible, et avec notre l'économie algérienne très très faible, le dinar ne va valloir rien du tout, et ceci du jour au lendemain. :22: :22: :22: !

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      • #4
        Venant de lui ça m'étonne guère!

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        • #5
          sidmark : si le dinar est convertible l'Algerie courent à la catastrophe car tout ce qui posséde des grande fortune en dinar les échangeront en euro ou en dollars et les placeront à l'étranger dans des compte ou acheteront des biens ce qui réduira les réserves de change en miettes et l'Algerie importera comment des besoins alimentaire à l'étranger?

          La crise argentine ne te dis rien?

          La solution serait de créer des bureaux de change et de laisser le marché libre mais ne pas injecter les devises issuent des recettes pétrolière dans ces bureaux de change protéger les recettes pétrolière pour éviter qu'elle s'évaporent dans les bureaux de change!

          l'avantage serait qu'avec les bureaux ont sait qui échangent quoi donc ça éviterait le blanchiement d'argent en euros

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          • #6
            sidmark : si le dinar est convertible l'Algerie courent à la catastrophe car tout ce qui posséde des grande fortune en dinar les échangeront en euro ou en dollars et les placeront à l'étranger dans des compte ou acheteront des biens ce qui réduira les réserves de change en miettes et l'Algerie importera comment des besoins alimentaire à l'étranger?
            C'est déjà fait et il a fallu que les douaniers Espagnoles alertent les autorités Algériennes, pour prendre des mesures contre les boucs émissaires comme toujours, car il ne faut pas oublier qu'il y a les intouchables, mais bon, ils n'ont pas échangé tout, tant que leur argent rapporte gros en Algérie.
            Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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            • #7
              Le change parallèle est principalement alimenté par les revenus des émigrés, notamment les retraites. Beaucoup de monde vit de cette rente. Le titulaire en premier, le cambiste, les commerces, les travailleurs du secteur de la construction etc...

              Mis à part le fait qu'il encense une activité illégale, surtout venant d'un ministre de l'intérieur, il n'a pas totalement tord en disant que beaucoup de monde y trouve son compte!
              "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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              • #8
                Hben : non seul les riches y trouvent leur compte car je te rappelle que l'euro est compté à 150 dinars ceux qui est énorme du temps de zeroual tu avaix 1FF=9 dinars soit l'équivalent de 1 euro=65 DA
                Or quand l'euro vaut 150 DA un importateur qui va acheter un fromage en europe l'équivalent de 1 euro il devra déboursé 150 DA au marché parrallèle pour avoir un euro donc l'achat du formage en europe sera de 150 dinars alors si on ajoute les frais ect... le bénéfice qu'il doit prendre faudra pas s'étonner que le fromage frôle les 200 DA en Algerie

                Biensure pour ould kablia tout le monde trouve son compte à acheter son fromage à 200 DA alors parlons pas des autres produits.......

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                • #9
                  Robocop : depuis l'instauration du credoc par Ouyahia il a été difficile de faire un achat en euro à l'étranger donc bcq se sont tourné sur le marché parralèlle qui est alimenté par l'argent des immigrés!d'ou le prix exorbitant de l'euro à 150 DA mais c'est mauvaix pour le simple algerien

                  C'est vraix que certain trouve leur compte je l'avoue quand je descend au bled ça me fait plaisir de donner 100 euros pour 15.000DA

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                  • #10
                    @Samybey

                    Hben : non seul les riches y trouvent leur compte car je te rappelle que l'euro est compté à 150 dinars ceux qui est énorme du temps de zeroual tu avaix 1FF=9 dinars soit l'équivalent de 1 euro=65 DA
                    Vu sous cet angle tu as tout à fait raison, mais je ne soutenais pas le fait que tout le monde peut consommer des produits importés avec des fonds issus du change parallèle.
                    Je rappelais que le change parallèle profitait, in fine, au titulaire de la pension en euro d'abord puis aux commerçants qui auront un client à fort pouvoir d'achat, puis au cambiste qui, autrement, serait chômeur et qui prend sa commission lors du change, puis au maçons car les détenteurs de l'euro construisent beaucoup, puis aux manœuvres. etc...
                    Or quand l'euro vaut 150 DA un importateur qui va acheter un fromage en europe l'équivalent de 1 euro (toute charge comprise) il devra déboursé 150 DA au marché parrallèle pour avoir un euro donc l'achat du formage en europe sera de 150 dinars alors si on ajoute les frais ect... le bénéfice qu'il doit prendre faudra pas s'étonner que le fromage frôle les 200 DA en Algerie
                    En fait, c'est 950da le kg de Gouda (hollandais) et 1100da le Gruyère.

                    Biensure pour ould kablia tout le monde trouve son compte à acheter son fromage à 200 DA alors parlons pas des autres produits.......
                    L'avantage que donne le statut d'un ministre au pays des mirages!
                    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                    Commentaire


                    • #11
                      Hben: pour le fromage je te parlais d'un camembert à 200DA, certes la majorité des produits n'est pas issue du marché parallèle mais l'euro vaut 100 DA à la banque algerienne ceux qui est excessive d'ou la cherté des produits importés ainsi que la cherté de l'euro au marché parallèle !

                      la solution un dinar dont la valeur est plus élevé exemple 1 euro =50DA donc si l'importateur achète son formage qui vaut 1 euro en europe ça donnera l'équivalent du fromage à 50 DA après bénéfice ect...on aura un fromage dans le marché algerien à environs 80 ou 100 dinars!
                      Donc si la banque d'Algerie facilite l'autorisation de change avec un euro à 50 DA l'importateur laissera tombera le marché parallèle car pourquoi acheté un euro à 150 DA alors que je l'achète à 50 DA à la banque algerienne ceux qui induira une chute du prix de l'euro au marché parallèle !

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                      • #12
                        Donc si la banque d'Algerie facilite l'autorisation de change avec un euro à 50 DA l'importateur laissera tombera le marché parallèle car pourquoi acheté un euro à 150 DA alors que je l'achète à 50 DA à la banque algerienne ceux qui induira une chute du prix de l'euro au marché parallèle !
                        C'est justement ce qui s'est passé en Argentine en 1998 avec la mise en place de la currency board pour juguler l'inflation que subit le pays de puis la fin de la 2 eme guerre mondiale. L'erreur à ne pas faire c'est de permettre la convertibilité totale du dinar qui est en réalité une monnaie de singes reposant uniquement sur la rente pétrolière.

                        Mais n'empêche que les devises qui sont vendues en algérie sont en grande partie recyclées par les importateurs pour payer leurs opérations en cash. La partie que les algériens achètent pour voyager à l'étranger ne représente qu'une infime partie.
                        Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

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                        • #13
                          Au lieu de penser à réguler ce flux ..... mais bon que faire dans un pays d'import-import on gère ce pays comme on gère une épicerie.


                          Donc si la banque d'Algerie facilite l'autorisation de change avec un euro à 50 DA l'importateur laissera tombera le marché parallèle car pourquoi acheté un euro à 150 DA alors que je l'achète à 50 DA à la banque algerienne ceux qui induira une chute du prix de l'euro au marché parallèle !
                          et encouragera l'importation.... pour vider les caisses de l'état et réduire ce pays à a une boutique.. vous me direz c'est déjà le cas.


                          il est plus malin d'exiger de chaque importateur de ne convertir en dollars que l'équivalent de ce qu'il exporte (au à la limite une partie) c'est la meilleurs façon pour encourager l'exportation et eviter de vider les caisses de la banque central (c'est déjà appliqué en AFS sur l'industrie automobile)
                          شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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                          • #14
                            Histo : je te signale que les importation sont déjâ excéssive plus de 40 milliards de dollars dû au grand chantier et aux importations de service, la seule solution pour diminuer les importation serait une production!
                            6 milliards pour l'importations de produits alimentaire + 3millirads pour l'importations de véhicule environs 10 milliards pour la consommation donc le reste c'est à dire 30 milliards ne concernent pas la consommation

                            3 milliards pour les véhicule acheté,la solution serait des usine de voitures en Algerie!


                            j'ai vu dernièrement que sonatrach a commandé pour 1000 kms de tubes d'acier a acelor mital algerie c'est déja un bon début!

                            la solution encourager des usine de production en Algerie genre Lafarge/acelor/condor/cevital ect...... réduirait les importations et encouragerait l'emploi

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                            • #15
                              Massnsen : qui t'as parlé de convertir le dinar ça serait la plus grande erreur ce qu'il faut c'est protéger la rente pétrolière! encourager la production hors hydrocarbure et l'exportation , pour les bureau de change je te parle seulement d'échanger les euro qui rentre en Algerie par le fait des pensions et des immigrés (comme au maroc) et pourquoi pas ceux de l'export et par nécessité avec accord de la banque algerienne sortir des euro de la rente par nécessité avec autorisation!


                              En créant des bureaux de change on pourrait contrôler qui échangent et combattre le blanchiment!

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