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ette fois, il semblerait que les commerçants seront tenus d’ouvrir leurs magasins durant les deux journées de la fête de l’Aïd, contrairement aux années précédentes où s’approvisionner même en produits de première nécessité relevait de l’impossible.
En tout cas, c’est ce qui ressort de la directive émise par le ministre du Commerce, Mustapha Benbada à l’adresse des commerçants.
De plus, afin d’éviter le spectre des journées de disette durant les fêtes de l’Aïd, Benbada a menacé de sévir contre les commerçant récalcitrants qui ne respecteraient pas le programme des permanences d’ouverture des magasins.
La situation sera-t-elle différente cette année ? Oui, si l’on se referait aux directives adressées aux commerçants pour assurer aux citoyens le minimum vital. En effet, en marge de l'ouverture de la 21e édition de la Foire de la production algérienne et de l'exposition «Mémoire et Réalisations», organisée à la Safex à Alger, Benbada a averti que tout refus d'application de la part des commerçants concernés par la mesure, sera sanctionné.
«Les commerçants qui ne se soumettront pas à cette décision verront leurs commerces fermés pendant un mois», a-t-il déclaré, ajoutant «qu'il ne devrait pas y avoir de problèmes durant l'Aïd ».Quant à la permanence, il est à signaler qu’un programme portant sur les activités des commerçants concernés par la permanence durant les deux jours de l'Aïd sera établi par la wilaya. A cet effet, les walis vont réunir, aujourd’hui, les chefs de daïras, les directeurs du commerce, ainsi que les représentants de la sûreté nationale, avec pour objectif de tracer un programme de permanence pour assurer le service minimum durant ces deux journées de l’Aïd. L’on a également appris que, selon l’Union nationale des boulangers (UNB), sur les 1 500 boulangers qui exercent dans la wilaya d’Alger, quelque 800 devront ouvrir les deux jours de l’Aïd, pour ainsi garantir l’approvisionnement de l’Algérois en ce produit de première nécessité. Un appel a été lancé en ce sens aux boulangers, « même ceux qui ne seront pas désignés pour travailler, à faire preuve d’acte humanitaire durant ces deux jours en ne privant pas le citoyen de nourriture de base ».
la dépeche de kabylie
En tout cas, c’est ce qui ressort de la directive émise par le ministre du Commerce, Mustapha Benbada à l’adresse des commerçants.
De plus, afin d’éviter le spectre des journées de disette durant les fêtes de l’Aïd, Benbada a menacé de sévir contre les commerçant récalcitrants qui ne respecteraient pas le programme des permanences d’ouverture des magasins.
La situation sera-t-elle différente cette année ? Oui, si l’on se referait aux directives adressées aux commerçants pour assurer aux citoyens le minimum vital. En effet, en marge de l'ouverture de la 21e édition de la Foire de la production algérienne et de l'exposition «Mémoire et Réalisations», organisée à la Safex à Alger, Benbada a averti que tout refus d'application de la part des commerçants concernés par la mesure, sera sanctionné.
«Les commerçants qui ne se soumettront pas à cette décision verront leurs commerces fermés pendant un mois», a-t-il déclaré, ajoutant «qu'il ne devrait pas y avoir de problèmes durant l'Aïd ».Quant à la permanence, il est à signaler qu’un programme portant sur les activités des commerçants concernés par la permanence durant les deux jours de l'Aïd sera établi par la wilaya. A cet effet, les walis vont réunir, aujourd’hui, les chefs de daïras, les directeurs du commerce, ainsi que les représentants de la sûreté nationale, avec pour objectif de tracer un programme de permanence pour assurer le service minimum durant ces deux journées de l’Aïd. L’on a également appris que, selon l’Union nationale des boulangers (UNB), sur les 1 500 boulangers qui exercent dans la wilaya d’Alger, quelque 800 devront ouvrir les deux jours de l’Aïd, pour ainsi garantir l’approvisionnement de l’Algérois en ce produit de première nécessité. Un appel a été lancé en ce sens aux boulangers, « même ceux qui ne seront pas désignés pour travailler, à faire preuve d’acte humanitaire durant ces deux jours en ne privant pas le citoyen de nourriture de base ».
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