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250 nouveaux cas enregistrés chaque année en Algérie
C
ancer rare du sang et de la moelle osseuse, la leucémie myéloïde chronique (LMC) touche, chaque année, en Algérie, 250 nouveaux cas, survenant principalement après 50 ans
. L’état des lieux de la prise en charge de cette maladie, le suivi biologique des patients, et le projet Tasmax, ont été au cœur d’une rencontre internationale, intitulée «Leucémie myéloïde chronique : Diagnostic et perspectives», organisée, récemment, à l’hôtel Sheraton, à Alger, à l’initiative, de la Société algérienne d’hématologie et des laboratoires Novartis
Oncology Algérie.
Pas moins de 200 praticiens spécialistes ont pris part à cette manifestation, encadrée par des experts de renom tels que les professeurs Bekadja , Belhani, Hamladji et Grifi ainsi que les Pr. Michel Tulliez, consultant à l’hôpital Henri-Mondor, professeur d’Hématologie de l’université Paris XII et Jean-Michel Cayuela, responsable du secteur d’hématologie moléculaire de l’hôpital Saint-Louis au sein duquel il a développé les méthodes d’étude quantitative de la réponse au traitement des hémopathies. Précisant que la
biologie moléculaire, constitue un outil indispensable au diagnostic et au suivi biologique des LMC, le professeur Mohamed Amine Bekadja, président de la Société algérienne d’hématologie, a tenu à rappelé que, depuis le mois d’avril dernier, le laboratoire de biochimie du CHU de Beni Messous, effectue de manière officielle ce type d’examen spécialisé pour tous les patients algériens atteints de cette maladie. Il a ajouté que «la standardisation internationale de ce site, qui est parrainée par les laboratoires Novartis va s’étendre à d’autres structures sanitaires du pays». Il a, à ce propos, indiqué que «l’EHU d’Oran effectuera bientôt ces tests vitaux pour un bon traitement et un meilleur suivi du malade».
L’opération sera prochainement, élargie à d’autres structures sanitaires, telles que les CHU d’ Annaba, Constantine, Sétif et Batna. Une bonne nouvelle pour les patients qui ne seront plus obligés de se déplacer à l’étranger pour effectuer ces examens.
LATRIBUNE
C
ancer rare du sang et de la moelle osseuse, la leucémie myéloïde chronique (LMC) touche, chaque année, en Algérie, 250 nouveaux cas, survenant principalement après 50 ans
. L’état des lieux de la prise en charge de cette maladie, le suivi biologique des patients, et le projet Tasmax, ont été au cœur d’une rencontre internationale, intitulée «Leucémie myéloïde chronique : Diagnostic et perspectives», organisée, récemment, à l’hôtel Sheraton, à Alger, à l’initiative, de la Société algérienne d’hématologie et des laboratoires Novartis
Oncology Algérie.
Pas moins de 200 praticiens spécialistes ont pris part à cette manifestation, encadrée par des experts de renom tels que les professeurs Bekadja , Belhani, Hamladji et Grifi ainsi que les Pr. Michel Tulliez, consultant à l’hôpital Henri-Mondor, professeur d’Hématologie de l’université Paris XII et Jean-Michel Cayuela, responsable du secteur d’hématologie moléculaire de l’hôpital Saint-Louis au sein duquel il a développé les méthodes d’étude quantitative de la réponse au traitement des hémopathies. Précisant que la
biologie moléculaire, constitue un outil indispensable au diagnostic et au suivi biologique des LMC, le professeur Mohamed Amine Bekadja, président de la Société algérienne d’hématologie, a tenu à rappelé que, depuis le mois d’avril dernier, le laboratoire de biochimie du CHU de Beni Messous, effectue de manière officielle ce type d’examen spécialisé pour tous les patients algériens atteints de cette maladie. Il a ajouté que «la standardisation internationale de ce site, qui est parrainée par les laboratoires Novartis va s’étendre à d’autres structures sanitaires du pays». Il a, à ce propos, indiqué que «l’EHU d’Oran effectuera bientôt ces tests vitaux pour un bon traitement et un meilleur suivi du malade».
L’opération sera prochainement, élargie à d’autres structures sanitaires, telles que les CHU d’ Annaba, Constantine, Sétif et Batna. Une bonne nouvelle pour les patients qui ne seront plus obligés de se déplacer à l’étranger pour effectuer ces examens.
LATRIBUNE