La première réunion du Dialogue stratégique algéro- américain tenue à Washington aura confirmé ce que ces dernières années avaient laissé entrevoir.
C’est-à-dire une synergie sur la majorité des dossiers relevant du domaine bilatéral et international. Alger et Washington, bien que séparées par des milliers de kilomètres, n’en sont pas moins arrivées à partager la même perception de leurs relations futures, en mettant en place une coopération bénéfique aux deux pays.
Il en est de même pour ce qui est des démarches à mettre en œuvre pour la prise en charge de l’épineuse question sécuritaire et de la lutte contre le terrorisme et le crime organisé. Les résultats de cette coopération intensifiée face à la persistance de la menace que présentent les groupes extrémistes, toujours en activité sont mis en avant non pas pour se targuer d’une quelconque supériorité militaire mais juste pour dire qu’à travers la mise en place de mécanismes et de moyens adéquats il est possible de réduire considérablement cette menace, en attendant de l’anéantir définitivement.
L’instauration d’un dialogue stratégique, ne pourra, à terme, que conforter ce rapprochement des points de vue entre les deux pays puisque désormais, cette réunion qui se tiendra annuellement et alternativement entre Washignton et Alger sera le cadre idoine pour aplanir toute divergence susceptible d’apparaître sur une question donnée.
Et c’est l’objectif qu’Alger et Washigton se sont assignées. Car, faut-il en convenir, dans un monde en perpétuel changement et où les équilibres internationaux tiennent surtout compte des intérêts des uns et des autres, il faudra agir en fonction des objectifs et des ambitions que les Etats-Unis tout comme l’Algérie sont en droit de nourrir. Un véritable partenariat « exige d’affronter et de discuter des sujets difficiles avec franchise et respect » a estimé à juste titre la sous-secrétaire d’Etat américaine chargée des affaires politiques, selon elle. Une vision à laquelle les deux pays œuvreront à donner un contenu encore, plus concret dans les mois à venir.
Nadia Kerraz
el moudjahid
C’est-à-dire une synergie sur la majorité des dossiers relevant du domaine bilatéral et international. Alger et Washington, bien que séparées par des milliers de kilomètres, n’en sont pas moins arrivées à partager la même perception de leurs relations futures, en mettant en place une coopération bénéfique aux deux pays.
Il en est de même pour ce qui est des démarches à mettre en œuvre pour la prise en charge de l’épineuse question sécuritaire et de la lutte contre le terrorisme et le crime organisé. Les résultats de cette coopération intensifiée face à la persistance de la menace que présentent les groupes extrémistes, toujours en activité sont mis en avant non pas pour se targuer d’une quelconque supériorité militaire mais juste pour dire qu’à travers la mise en place de mécanismes et de moyens adéquats il est possible de réduire considérablement cette menace, en attendant de l’anéantir définitivement.
L’instauration d’un dialogue stratégique, ne pourra, à terme, que conforter ce rapprochement des points de vue entre les deux pays puisque désormais, cette réunion qui se tiendra annuellement et alternativement entre Washignton et Alger sera le cadre idoine pour aplanir toute divergence susceptible d’apparaître sur une question donnée.
Et c’est l’objectif qu’Alger et Washigton se sont assignées. Car, faut-il en convenir, dans un monde en perpétuel changement et où les équilibres internationaux tiennent surtout compte des intérêts des uns et des autres, il faudra agir en fonction des objectifs et des ambitions que les Etats-Unis tout comme l’Algérie sont en droit de nourrir. Un véritable partenariat « exige d’affronter et de discuter des sujets difficiles avec franchise et respect » a estimé à juste titre la sous-secrétaire d’Etat américaine chargée des affaires politiques, selon elle. Une vision à laquelle les deux pays œuvreront à donner un contenu encore, plus concret dans les mois à venir.
Nadia Kerraz
el moudjahid
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