Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le GARDASIL détruit les ovaires d'une jeune fille

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Le GARDASIL détruit les ovaires d'une jeune fille

    Le Gardasil détruit les ovaires d'une jeune fille


    Les ovaires d'une jeune-fille ont été détruits ; le Gardasil étant la seule cause possible.

    Pire encore, Merck n'aurait pas pris la peine d'examiner les effets potentiels du vaccin sur les ovaires ou les aurait camouflés - alors que ce fabricant avait fait des études sur les effets du vaccin sur les testicules des rats mâles.

    Le British Medical Journal (BMJ) a publié le cas d'une jeune australienne de 16 ans en parfaite santé dont la féminité semble avoir été volée par le vaccin Gardasil. Avant de devenir femme, cette jeune-fille a été propulsée dans un état de ménopause à part entière, ses ovaires s'étant définitivement arrêtés de fonctionner.

    Les auteurs, Deidre Therese Little et Harvey Rodrick Greenville Ward [1], ont directement attiré l'attention sur le fait que malgré que la jeune-fille avait été complètement examinée et testée, il n'y avait pas, à son état, d'explication connue autre que la série des trois vaccins Gardasil qu'elle avait reçus.

    Le plus terrible, c'est qu'il y a peut-être beaucoup d'autres cas semblables, mais la plupart d'entre eux sont probablement masqués par le traitement de routine des menstruations irrégulières ou rares, au moyen de contraceptifs oraux.

    En effet, c'est parce que la jeune-fille a refusé ces traitements que la vérité sur son état de santé a pu être établie. Combien d'autres jeunes-filles ont, sans le savoir, perdu leur chance d'un jour pouvoir devenir mamans parce que la vérité sur leur état reste voilée ?

    Les auteurs de l'article ont noté que, bien que la Therapeutic Goods AdministrationAustralienne (TGA) fournisse, dans le rapport public d'évaluation pour le vaccin quadrivalent (Papilloma virus humain) des données sur l'histologie des testicules et l'épididyme du rat,aucune information n'est fournie concernant les ovaires de rats femelles.

    Ils ont cependant envoyé une demande d'information sur l'histologie de l'ovaire du rat après vaccin quadrivalent HPV au cas où cette étude aurait été réalisée par le promoteur et transmise à la TGA

    Note : il n'existe qu'un seul vaccin HPV quadrivalent. C'est le Gardasil

    Voici leur rapport au sujet des ces importantes données manquantes :
    On ne sait pas si cette insuffisance ovarienne prématurée est liée au vaccin quadrivalent contre le HPV. Une information plus détaillée concernant l'histologie de l'ovaire du rat, ainsi que de la fécondité après vaccination HPV a été demandée à la « Therapeutic Goods Administration ».

    Bien que le rapport public d'évaluation du vaccin quadrivalent contre le HPV de la TGA australienne réalisé en février 2011 ait communiqué une information sur l'histologie des testicules des rats vaccinés et des épididymes, aucun rapport histologique n'a été disponible pour les ovaires des rats vaccinés...
    Pourquoi le fabricant a-t-il fourni des informations sur les testicules des rats mâles, et pas sur les ovaires des rats femelles ? La chose est plus que choquante. C'est absolument accablant ! N'aurait-on pas le droit de remettre en question la sincérité tant du fabricant Merck et de la TGA - sans parler des autres organismes comme la FDA américaine et le MHRA Britannique.

    Risque potentiel du Gardasil pour les ovaires

    Est-il concevable que Merck n'ait pas envisagé la possibilité de dommages aux ovaires ?

    En fait, il n'est pas raisonnable de penser qu'ils n'étaient pas au courant du risque potentiel pour les ovaires. Un ingrédient du Gardasil, le polysorbate 80 (appelé aussi Tween 80, Alkest ou Canarcel) est connu pour provoquer des déformations de l'ovaire, des follicules dégénératifs, des modifications hormonales, des modifications de l'utérus et du vagin chez les rats. [2], [3] Pire, il est connu que des injections de polysorbate 80 provoquent des dégâts aux ovaires - or c'est ce même produit qui est injecté avec le Gardasil.

    Un autre ingrédient du Gardasil, la L-histidine, un acide aminé naturel, comporte aussi des risques significatifs et qui ressemblent à ceux que peut provoquer le squalène. C'est une substance qui est naturellement présente dans le corps humain, mais dont l'injection pourrait provoquer une réaction auto-immune vis-à-vis de cette substance où qu'elle se trouve dans le corps. Il y aurait encore plus à dire sur ce sujet, mais tout cela aurait dû être étudié et prévu.

    Toute une partie de la vie de cette jeune-fille a été détruite, et la seule explication plausible est la vaccination avec le Gardasil. Ce vaccin est vendu pour protéger contre le cancer du col de l'utérus, bien qu'il n'ait jamais été démontré qu'il ait pu prévenir un cancer de quelque espèce que ce soit. La prévention du cancer n'a jamais été plus qu'une supposition fondée sur un lien possible entre le papilloma virus et le cancer du col de l'utérus. Aucune relation de cause à effet n'a jamais été documentée. Les rapports de décès et de complications ne cessent cependant d'affluer. Comme le montre le cas de cette jeune-fille, le Gardasil ne peut être considéré comme sûr. Les données manquantes sont hautement significatives et suspectes.

    Nous ne savons évidemment pas si Merck a volontairement omis de faire des études sur les ovaires ou si la firme refuse de dévoiler les données au vu de leur caractère accablant.

    Il est certain que la combinaison de tous ces éléments : la perte des ovaires chez cette jeune-fille, la probabilité d'autres cas semblables et le mépris tout à fait impitoyable pour les effets potentiellement dévastateurs de ce vaccin, représente une raison plus que suffisante pour éliminer le Gardasil du marché. Il doit en tout cas être éliminé des listes gouvernementales de vaccins obligatoires.



    source :WikiStrike

  • #2
    la pub qui en fait la promotion de ce vaccin :

    Commentaire


    • #3
      SANTE - Le taux d'effets secondaires graves de ce vaccin contre le cancer du col de l'utérus est élevé...

      Vaccin indiqué en prévention du cancer du col de l'utérus dû à certaines infections à papillomavirus humains (HPV), le Gardasil suscite la controverse. En cause, une efficacité théorique et des effets secondaires graves désormais connus après la vaccination.

      Océane (voir photo), 16 ans, a été victime de six attaques cérébrales depuis sa deuxième injection de Gardasil en février 2011. «Ma fille, c'était la joie de vivre. Depuis huit mois, elle enchaîne les séjours à l'hôpital.

      Le lien entre l'état de santé d'Océane, qui souffrirait d'une encéphalomyélite, et le Gardasil a été fait par un médecin de l'hôpital de Dax», explique Jean-Jacques Bourguignon, son papa.

      L'Agence française de sécurité sanitaire et des produits de santé (Afssaps), qui a dénombré 351 victimes*, établit un taux d'effets indésirables graves de 8,1 cas pour 100.000 vaccinations.

      Chiffres obtenus en fonction du nombre de doses de Gardasil vendues en France, à savoir 4,3 millions depuis la fin 2006.

      «Bonne tolérance de ce vaccin», selon Sanofi-Pasteur MSD
      Or, on sait que seul 1,5 million de femmes ont été vaccinées, les jeunes filles recevant pour la plupart d'entre elles trois doses de vaccin.

      Aussi, le taux d'effets indésirables graves (EIG) est en fait de 23,4 pour 100.000 femmes. Un chiffre explosif! A titre de comparaison, le taux d'incidence du cancer du col de l'utérus est de 6,4 pour 100.000 femmes en 2010.

      Ainsi, le nombre d'effets secondaires graves après une vaccination est près de trois fois plus important que le risque d'être atteinte d'un cancer du col utérin.
      «Ces chiffres ne constituent pas un signal d'alerte, mais nous maintenons une surveillance renforcée sur ce vaccin, explique l'une des responsables de la pharmacovigilance de l'Afssaps.

      Concernant l'évaluation du bénéfice et du risque, le comité technique des vaccinations pourra l'estimer à l'issue de la réunion de la Commission nationale de pharmacovigilance du 22 novembre.»

      Pour Yann Leocmach, directeur médical France pour Sanofi-Pasteur MSD, qui commercialise le Gardasil, «plus de 78 millions de doses ont été vendues dans le monde, et toutes les données confirment une bonne tolérance de ce vaccin».

      Effets indésirables

      Pour le député Gérard Bapt (PS), qui, après le Mediator, s'intéresse désormais de près au Gardasil, «les chiffres de la pharmacovigilance montre que les effets indésirables graves liées à la vaccination sont supérieurs au bénéfice hypothétique escompté en termes de réduction du cancer du col utérin, chez des personnes s'astreignant au dépistage par frottis! Il est urgent de réévaluer la balance bénéfice-risque», ajoute-t-il.

      En 2008, le DTPolio a été retiré du marché en raison d'un ratio d'EIG équivalent à 10,7/100.000 doses, chiffre donné par le laboratoire Sanofi-Pasteur. Le Gardasil pourrait-il subir le même sort?


      * chiffres 2011

      Virginie Belle


      source : 20minutes

      Commentaire


      • #4
        C'est grace a la vaccination que bcp de maladies ont ete eradiquees. Il ne faut pas voir la conspiration partout. Il y avait un chercheur dont le nom m'echappe qui avait refuse son invention de vaccin. Juste pour montrer que la recherche n'est pas juste pour l'argent mais il y a des humanitaires dans la recherche.

        Les anecdotes des effets secondaires ne sont pas tj des preuves de toxicite du traitement. Sinon, des etudes de cohortes s'imposent pour determinser la correlation entre la mort des fillettes et GARDASIL.

        Commentaire

        Chargement...
        X