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Six universités nippones ont été mises à contribution pour la réussite de ce projet. Oran, qui participe avec deux laboratoires, s’est associée avec Saida et Adrar par le biais des unités « énergies renouvelables en milieu saharien ».
Les équipements pour l’installation à Saïda d’une première centrale solaire photovoltaïque destinée notamment à la recherche scientifique arriveront en décembre prochain à partir du Japon, a indiqué Dr Khiat du laboratoire de génie électrique de l’Université des sciences et de la technologie d’Oran (USTO) Mohamed Boudiaf. Cette première installation entre dans le cadre d’un partenariat universitaire algéro-japonais portant sur la transformation de l’énergie solaire mais aussi sur l’optimisation des moyens de transport (les supraconducteurs) de l’électricité produite, intitulé SSB (Sahara solar breeder). Six universités nippones ont été mises à contribution pour la réussite de ce projet..
Côté algérien, Oran, qui participe avec deux laboratoires dont celui de la « microscopie électronique et des sciences des matériaux », s’est associée avec Saïda et Adrar par le biais des unités « énergies renouvelables en milieu saharien ». Ce projet ouvert aux doctorants ainsi qu’aux chercheurs, et qui emploie déjà une quarantaine d’ingénieurs, est aujourd’hui dans sa phase dite académique, c’est-à-dire au stade de faisabilité incluant une série de tests sur les matériaux qui seront utilisés pour sa concrétisation. Les experts des deux pays communiquent via le système de visioconférence en attendant la deuxième tranche, plus concrète, qui concernera la fabrication locale des modules solaires photovoltaïques utilisant le silicium extrait de la silice abondant dans le sable du désert..
« Au Sahara, nous avons le soleil durant toute l’année et la silice pour la fabrication du silicium », indique la même scientifique pour signifier que toutes les conditions sont réunies pour une contribution optimale de l’Algérie dans le domaine de la transformation de l’énergie solaire. Les scientifiques estiment déjà que l’exploitation d’un vingtième de la superficie du Sahara suffirait pour satisfaire la totalité de la consommation électrique du monde..
Djamel Benachour, El Watan
Les équipements pour l’installation à Saïda d’une première centrale solaire photovoltaïque destinée notamment à la recherche scientifique arriveront en décembre prochain à partir du Japon, a indiqué Dr Khiat du laboratoire de génie électrique de l’Université des sciences et de la technologie d’Oran (USTO) Mohamed Boudiaf. Cette première installation entre dans le cadre d’un partenariat universitaire algéro-japonais portant sur la transformation de l’énergie solaire mais aussi sur l’optimisation des moyens de transport (les supraconducteurs) de l’électricité produite, intitulé SSB (Sahara solar breeder). Six universités nippones ont été mises à contribution pour la réussite de ce projet..
Côté algérien, Oran, qui participe avec deux laboratoires dont celui de la « microscopie électronique et des sciences des matériaux », s’est associée avec Saïda et Adrar par le biais des unités « énergies renouvelables en milieu saharien ». Ce projet ouvert aux doctorants ainsi qu’aux chercheurs, et qui emploie déjà une quarantaine d’ingénieurs, est aujourd’hui dans sa phase dite académique, c’est-à-dire au stade de faisabilité incluant une série de tests sur les matériaux qui seront utilisés pour sa concrétisation. Les experts des deux pays communiquent via le système de visioconférence en attendant la deuxième tranche, plus concrète, qui concernera la fabrication locale des modules solaires photovoltaïques utilisant le silicium extrait de la silice abondant dans le sable du désert..
« Au Sahara, nous avons le soleil durant toute l’année et la silice pour la fabrication du silicium », indique la même scientifique pour signifier que toutes les conditions sont réunies pour une contribution optimale de l’Algérie dans le domaine de la transformation de l’énergie solaire. Les scientifiques estiment déjà que l’exploitation d’un vingtième de la superficie du Sahara suffirait pour satisfaire la totalité de la consommation électrique du monde..
Djamel Benachour, El Watan